AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782010208959
217 pages
Hachette Jeunesse (30/11/-1)
3.86/5   84 notes
Résumé :
Madame Bartolotti déteste par-dessus tout les mots sagesse, ordre et bonne éducation. Un jour, elle reçoit une énorme boîte de conserve. En l'ouvrant, elle découvre Frédéric, 7 ans, qui prétend être son fils. Madame Bartolotti est bien décontenancée : grande fervente de la vente par correspondance, elle est pourtant certaine de ne jamais avoir commandé d'enfant. D'autant que Frédéric est tout son contraire, c'est-à-dire spécialement sage et organisé. Elle décide de ... >Voir plus
Que lire après Le môme en conserveVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
3,86

sur 84 notes
5
8 avis
4
4 avis
3
6 avis
2
0 avis
1
0 avis
La vie de Madame Berthe Bartolotti est pleine de fantaisie et de couleurs, aussi colorée que les tapis qu'elle tisse. Elle a un ami bihebdomadaire, le triste et gris Alexandre, le pharmacien. Son appartement est un chaos, les poissons rouges nagent librement dans la baignoire, son lit est recouvert d'un fatras indescriptible... Madame Bartolotti a pour manie de commander tout ce qui lui passe par la tête, a en horreur tout ce qui ressemble de près ou de loin à la contrainte, l'ordre, et mène sa vie à sa guise. Jusqu'au jour où... la SNCF effectue une livraison pour le moins bizarre. Un envoi de "l'Usine" très surprenant... dans une boîte de conserve de grande taille, un enfant à reconstituer grâce à un bouillon de culture. Madame Bartoletti, qui ne se souvient pas avoir passé une si étrange commande, mais que rien n'étonne, "reconstitue" le petit garçon, prénommé Frédéric et accepte volontiers de partager sa vie avec lui. Un petit garçon "préfabriqué", à l'éducation parfaite, un petit garçon modèle. Trop parfait et trop modèle pour Madame Bartoletti. Et que dire à Alexandre et aux voisins, qui ne comprennent pas qu'un petit garçon, Frédéric, tombe du ciel ?
Alexandre, mis dans la confidence, veut devenir le père de Frédéric, prendre les choses en mains et veiller à son éducation. Sophie, la fille des voisins, admire ce garçon très différent, et le protège de la curiosité et la méchanceté des enfants de son âge. Tout irait pour le mieux, si "L'Usine", la société qui a envoyé la boîte de conserve, reconnaissant son erreur, ne souhaitait récupérer rapidement la boîte et Frédéric. Pas question ! Frédéric, interrogé, refuse de quitter sa maison, sa famille et son amie, et tous vont mettre au point un stratagème ingénieux pour éviter que Frédéric ne soit remis à la famille parfaite à laquelle il était destiné.

J'ai découvert ce roman "jeunesse" par hasard, et une fois de plus, le hasard m'a permis de découvrir un auteur original. Christine Nöstlinger, d'origine autrichienne, a écrit un roman plein de fantaisie, à l'image de Mme Bertolotti, la mère de famille qui fume le cigare dans sa chaise à bascule, chante des chansons paillardes, se soucie comme d'une guigne de ses vêtements et de ses choix culinaires fantaisistes.
Humour et tendresse alternent et mettent en valeur un texte que la traduction a bien rendu ; les illustrations réalisées par La Mouche contribuent à rendre le roman jeunesse très agréable.

Mais cette fantaisie et ces couleurs amènent petits et grands à s'interroger peu à peu sur le sens d'une véritable éducation. Qu'est-ce qu'être "bien élevé", quelle est la part de la joie de vivre, de la personnalité ? Par petites touches, et grâce au personnage de Frédéric (dans le texte allemand : Konrad) Christine Nöstlinger, qui a connu les années noires du nazisme en Autriche, nous fait nous interroger sur les enfants d'une société conformiste, grise, sans aspérités.

Un seul regret ; à mon sens, le titre "Le môme en conserve" ne met pas en valeur un roman plein de sensibilité, de fantaisie, destiné à des enfants de sept ans environ, mais que tous les lecteurs prendront plaisir à lire et à relire....
Commenter  J’apprécie          160
Lu avec mon fils il y a des années.
Un chef d'oeuvre d'humour à notre avis. Mais avec beaucoup de profondeur.
Une femme fantasque, et grande adepte des concours reçoit un jour une boite de conserve contenant un enfant lyophilisé et son mode d'emploi. Elle ne se souvient pas d'avoir gagné ce lot mais elle participe à tant de concours...
L'enfant réhydraté, elle l'installe chez elle, et se révèle une mère attentive, l'envoie à l'école.... le pharmacien amie de la mère se propose comme père.
A chaque petit manquement possible le garçon récite " un enfant de sept ans ne doit pas..... " Heureusement il finira par guérir de sa trop grande obéissance.
Que de possibilités de discussions dans cette histoire : qu'est de ce qu'une bonne mère, qu'elle est la place du père, son engagement, est ce facile d'être différent, l'importance de l'amitié dans la vie... Et est ce souhaitable d'être parfait ? Sûrement d'autres encore.
J'ai passé beaucoup d'heures à lire avec mon fiston jusqu'à ses douze ans environ, et ce livre a été un des grands moment de complicité. J'espère qu'il en sera de même pour d'autres.
Commenter  J’apprécie          134
Emprunté aujourd'hui, jour de réouverture de la bibliothèque, lu dans la foulée, et chroniqué sur le champ, ce livre de littérature jeunesse est une vraie réussite et il devrait aussi être lu par les adultes.
Mme Berthe Bartolotti a un petit travers : elle ne peut résister au fait de passer une commande de demander des échantillons gratuits. Bien avant l'heure, elle est une acheteuse compulsive. Attention, elle veille à ne pas dépasser plus qu'elle ne possède. Cependant, il faut bien avoir que, parfois, ce qu'elle reçoit, est totalement absurde.
Tenez, là, par exemple, elle a reçu une gigantesque boite de conserve. Que peut-elle contenir ? Sa commande de laine ? Trop lourd. de la viande ? Cela ferait beaucoup. Aussi, quand elle l'ouvre trouve-t-elle à l'intérieur… un petit garçon de sept ans, qu'elle a « réhydraté ». Certes, elle commande des choses parfois farfelues, mais elle est certaine de ne pas avoir commandé d'enfants ! Son ex-mari, peut-être ? Un cadeau, une surprise ? Comme c'est gentil de sa part !
Et c'est là que les choses se corsent : Berthe Bortolotti ne sait absolument pas comment élever un enfant. Heureusement pour elle, le petit garçon, qui a été parfaitement conditionné, sait à peu près ce qu'il faut faire. Il a ingéré une liste d'interdit à faire pâlir d'envie tous les spécialistes en sciences de l'éducation, et les respecte. Et Berthe n'est pas tout à fait d'accord avec l'ensemble de ses interdits. Pourquoi un petit garçon de sept ans ne pourrait pas jouer à la poupée ? Et pourquoi la petite voisine n'a-t-elle pas droit d'accepter ce cadeau, parce que sa mère dit que cela ne se fait pas ? Sophie, car telle est son prénom, est particulièrement vive pour son âge, et se joue des conventions que lui impose sa mère : de règles de bienséance à carcan inutile et indifférence envers les autres, il n'y a qu'un pas : l'auteur nous invite à réfléchir à cette question.
Mme Bartoletti, aidée par Mr Alexandre, son ami pharmacien, s'interroge aussi non seulement sur l'éducation et sur les enfants que l'on éduque. Frédéric, enfant et élève parfait aux yeux des adultes, est détesté, persécuté même, par ses camarades. Il ne réagit à aucune insulte, aucun coup, et, fait novateur, c'est Sophie (vous savez, ce fameux personnage féminin toujours sauvé par les garçons) qui prend sa défense, y compris pendant son propre goûter d'anniversaire. Comment s'adapter au monde quand on a été formaté, comme le fut Frédérick, et comme l'inventeur du procédé souhaite que tous les enfants le soient désormais ? C'est tout le défi que Berthe, Alexandre, et Sophie aussi, relève dans ce roman réjouissant. Et s'il est une leçon à retenir de ce livre, c'est celle-ci : Si tu t'occupes de ce que pensent les gens et si tu ne fais que ce qu'ils font, alors tu finiras par leur ressembler et tu ne pourras plus te supporter!
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
Commenter  J’apprécie          112
Berthe Bartolotti est attachante, mais sans aucun doute une originale : loufoque et tête-en-l'air, elle arbore les tenues bariolées les plus audacieuses, prend ses repas (les combinaisons d'ingrédients les plus improbables) dans son fauteuil à bascule, fume le cigare, élève des poissons rouges dans sa baignoire, cultive un bazar excessif dans chaque pièce de sa maison et adore commander toutes sortes de choses par correspondance. Un beau jour, elle reçoit pourtant un paquet qu'elle ne se souvient pas avoir demandé. Il contient une mystérieuse boîte de conserve avec, à l'intérieur, un enfant garanti par le fabricant « joyeux, agréable et prometteur », « facile à prendre en main et à surveiller ». Pas évident, pour un enfant aussi parfait que Frédéric, de s'accommoder des frasques de sa nouvelle maman et, surtout, de se faire apprécier des enfants du voisinage. Quelle est l'énigmatique entreprise qui l'a fabriqué et pourquoi l'a-t-elle expédié chez Mme Bartolotti ? Comment s'y prendra-t-elle pour élever cet enfant et expliquer son arrivée subite à son entourage ? Et lui, parviendra-t-il à apprendre des mauvaises manières et à s'acclimater dans son nouveau foyer ?
Ce roman décapant a contribué à faire de Christine Nöstlinger l'une des auteures de littérature jeunesse les plus lus dans les pays germanophones. Si l'ironie grinçante des premières pages nous a un peu désarçonnés, nous avons été très vite pris par l'intrigue du livre qui nous propose finalement une expérience : qu'adviendrait-il d'un enfant produit en usine, avec toutes les garanties de perfection ? La part de mystère qui entoure l'entreprise à l'origine de Frédéric est aussi troublante, voire inquiétante, pour un roman assez addictif (nous avons lu les 210 pages en trois jours !). Mais ce que nos garçons ont le plus apprécié à la lecture de ce livre, c'est la succession de situations comiques, créées notamment par les excentricités de Mme Bartolotti, ses disputes affectueuses avec son ami le pharmacien et surtout par son ingénuité qui permet de porter un regard frais sur les « bonnes manières » inculquées à Frédéric. Antoine et Hugo ont littéralement ri aux éclats ! Les petits apprécieront aussi le style léger, très abordable, et les illustrations qui parsèment le texte et viennent renforcer sa dimension comique. Les lecteurs un peu plus grands apprécieront aussi, de la part d'une auteure qui a grandi dans l'Autriche national-socialiste, une réflexion distanciée sur l'éducation et les qualités des « bons » parents, le mythe de l'enfant-modèle tourné en dérision et la morale de l'histoire, résolument anticonformiste et anti-autoritaire. Au final, il s'agit d'un livre qui fait plaisir à tout le monde !
Lien : https://elireblog.wordpress...
Commenter  J’apprécie          50
Relu après une première lecture qui datait de mon enfance. Je me souvenais que ce livre m'avait bien fait rire étant enfant. Adulte, une esquisse de sourire à certains passages, même si le fameux Frédéric m'a prodigieusement agacée plus d'une fois. de même, le genre associé aux jouets qui démontre bien d'une époque révolue. Heureusement la pétillante et excentrique Mme Bartolotti est restée telle que dans mes souvenirs, délicieusement hors de la norme.
Une petite histoire sympathique teintée de certaines thématiques effleurées telle la vie de couple, l'amitié, l'éducation des enfants, les "bonnes" manières détournées avec des exagérations qui font sourire l'adulte que je suis.
Un brin de nostalgie dans cette lecture pour une relecture agréable mais loin de détenir la recette de la perfection comme celle du môme en conserve de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          71

Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Et M. Alexandre ajouta qu'l s'attendait à de grandes joies, notamment lorsque Frédéric collectionnerait les bonnes notes à l'école. Mme Bartolotti ne ressentit aucune émotion particulière à cette perspective et son cœur de mère ne fit pas un bond dans sa poitrine. Elle avait envie de voir le film policier qui passait ce soir-là sur la deuxième chaîne mais M. Alexandre l'en empêcha en déclarant "Laisse tomber ce navet ! J'ai deux mots à te dire".
Mme Bartolotti n'alluma donc pas le téléviseur et ouvrit ses oreilles de mauvaise grâce. Deux mots ne suffirent pas à M. Alexandre, il lui en fallut une bonne centaine de milliers et lorsque enfin il se tut, il était minuit.
"Bonne nuit Alex ! "murmura Mme Bartolotti en bâillant.
Puis après l'avoir raccompagné à la porte, elle se glissa dans son lit sans faire de bruit pour ne pas réveiller Frédéric. Quoique fatiguée, elle ne put trouver le sommeil. Les paroles de M. Alexandre faisaient trop de vacarme dans sa tête.
"Tu vas devoir changer radicalement de mode de vie, devenir ordonnée, maternelle, respecter les convenances".
"Tu vas devoir faire preuve de sagesse et ne plus courir partout aussi bizarrement accoutrée.
"Tu vas devoir ranger, faire régulièrement la cuisine et veiller à ne dire que des choses audibles par un enfant de sept ans ou dont il puisse tirer profit.
"Tu vas devoir... devoir... devoir...".
Cette litanie résonnait dans la tête de Mme Bartolotti. Les cent mille mots de M. Alexandre lui paraissaient d'une effrayante monotonie. Même profondément endormie, elle continua à soupirer : "Tu vas devoir.... devoir.... devoir.....".

- Que fais-tu ?
- Je m'entraîne à compter. Je vais demain à l'école et il est bon que je me prépare avec soin.
- Avec soin.... avec soin... maugréa Mme Bartolotti en se dirigeant vers la cuisine. Lorsqu'elle fut sûre que Frédéric ne pouvait plus l'entendre, elle chuchota "je ne peux pas supporter ce mot, je le hais autant que sage, ordonné ou bien élevé... beûrk, beûrk, beûrk, beûrk...
La liste des mots que Mme Bartolotti aurait aimé rayer du dictionnaire était longue. En plus de sagesse, ordre et bonne éducation, il y avait aussi : but, sens, quotidien, enrichissant, bon ton, bienséance, usage, femme au foyer, docilité, soumission....
Elle se réfugia donc dans sa cuisine, se fit du café, un œuf à la coque et prépara pour Frédéric un sandwich au jambon de Parme tout en récapitulant la liste des mots qu'elle haïssait.
Commenter  J’apprécie          60
Pour le dîner il y avait au menu du thon, du pain aux raisins, des bâtons de réglisse et des gâteaux salés pour l'apéritif. Mme Bartolotti avait de nouveau oublié de faire les courses. Tout en étendant une tranche de thon sur son pain aux raisins, Frédéric demanda : "Est-il normal qu'une fille de sept ans protège un garçon du même âge ? Ne devrait-ce pas plutôt être le contraire ?"
Mme Bartolotti qui suçait un bâton de réglisse, ne le sortit pas de sa bouche pour répondre :"Peu importe qui protège qui, Frédéric ! L'essentiel est que soit protégé celui qui a besoin de l'être.
- Tu crois ? Tu ne penses pas que les gens vont se moquer de moi ?"
Cette fois Mme Bartolotti sortit le bâton de réglisse de sa bouche, le plongea dans la sauce du thon et se remit à le suçoter avant de répondre :
"Mon Dieu, Frédéric ! Ecoute bien ce que je vais te dire, car c'est plus important que le reste : ne te soucie jamais de ce que pensent les gens !". Mme Bartolotti touilla la sauce du thon et ajouta d'un air rêveur " Si tu t'occupes de ce que pensent les gens et si tu ne fais que ce qu'ils font, alors tu finiras par leur ressembler et tu ne pourras plus te supporter !"
Commenter  J’apprécie          112
Sur l’écran, le Guignol à tête de bois, bien moins inconscient du danger qu’il n’en avait l’air, assommait le crocodile en plastique. Les enfants dans le studio de télévision se mirent à hurler comme une horde de singes.
Frédéric lâcha le bout de son nez et se leva en murmurant :
« Pauvre, pauvre crocodile ! »
Puis il se dirigea vers le téléviseur et l’éteignit. L’image disparut avant que le crocodile n’ait rendu l’âme.
« Tu n’aimes pas les marionnettes ? demanda M. Alexandre qui se souvint avoir détesté ce genre de spectacle durant son enfance.
- Il faut être bon pour les animaux, répondit Frédéric.
- Mais enfin, c’était un crocodile ! protesta Mme Bartolotti. Les crocodiles sont des animaux féroces qui mangent les hommes tous crus.
- Ce crocodile, expliqua Frédéric, avait seulement envie de dormir. Le type au bonnet noir l’a réveillé en hurlant comme un grossier personnage.
- Non, non ! Le crocodile voulait attaquer Guignol dans le dos ! s’écria Mme Bartolotti qui, petite fille, avait adoré les spectacles de marionnette.
- Je ne crois pas que les animaux sachent qu’il est déloyal d’attaquer dans le dos, fit remarquer Frédéric.
- Oui, mais… mais… bredouilla Mme Bartolotti.
- S’il traversait un parc naturel où des animaux sauvages vivent en liberté, l’homme au bonnet noir n’avait pas à descendre de voiture ! expliqua Frédéric. C’eût été plus sûr pour lui et pour ce pauvre crocodile !
Commenter  J’apprécie          10
Mme Bartolotti était accoutumée aux regards curieux. Elle avait en effet pour habitude de ne pas s'habiller comme tout le monde. Soit ses vêtements ne convenaient pas à la saison, soit ils n'étaient pas de circonstance. Elle allait jouer au tennis en pantalon noir, portait un jean à l'Opéra, achetait son lait en robe de soie ou allait au cinéma avec une culotte de montagne.
"Tu prends plaisir à choquer!" affirmait M. Alexandre, le pharmacien. Mais c'était faux. Mme Bartolotti ne cherchait nullement à choquer. Elle se contentait de prendre ses vêtements au hasard dans sa penderie. Ou alors l'envie de porter du rouge la titillait et comme sa culotte de montagne était d'un magnifique rouge profond, elle l'enfilait.
Commenter  J’apprécie          20
« Sa manie d’acheter par correspondance l’avait donc rendue propriétaire de toutes sortes de choses fort étranges : un dictionnaire des animaux en sept volumes, un assortiment de chaussettes pour homme en fil d’Ecosse, un service à thé en matière plastique pour vingt-quatre personnes, un abonnement à une revue de pêche et un autre à une publication naturiste. »
Commenter  J’apprécie          40

>Littérature (Belles-lettres)>Littérature des langues germaniques. Allemand>Romans, contes, nouvelles (879)
autres livres classés : littérature autrichienneVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus


Lecteurs (200) Voir plus



Quiz Voir plus

Compléter les titres

Orgueil et ..., de Jane Austen ?

Modestie
Vantardise
Innocence
Préjugé

10 questions
20168 lecteurs ont répondu
Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..