Citations sur Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 3 : Le testament Z.. (10)
- Mettez vous à l'aise. Peut-on vous offrir un verre ?
- Non, merci. Je ne bois qu'en bonne compagnie.
- Soit ne perdons pas de temps (...) je suis mourante Corey. Selon mon médecin, je devrais être morte depuis le mois de juin. C'est une question de semaines, de jours même...
- J'ai changé d'avis. Je vais prendre une coupe de champagne en fin de compte.
-Wotan? Je ne peux pas tuer quelqu'un dont j'ignore tout. Qui est-ce ce Wotan?
-Un dieu nordique. On l'appelle aussi Odin, je crois.
-Ah splendide. Un dieu. Facile à occire, c'est bien connu.
-Si cela peut aider monsieur, je dispose aussi d'un signalement... Wotan est borgne, et deux corbeaux lui servent de messagers. Il est... disons plus grand que la moyenne. Il règne sur un endroit nommé Walhalla. Il a de nombreuses filles, qui sont fort séduisantes, les walkyries... Je crois qu'il a aussi un fils un peu débile, avec un gros marteau.
C'est humain de célébrer la victoire. Mais voir tous ces gens danser de joie au dessus d'un charnier... Ça me travaille les nerfs.
- Qui est wotan ?
- Un dieu nordique. On l'appelle aussi Odin, je crois.
- Ah, splendide. Un dieu. Facile à occire, c'est bien connu.
- Si cela peut aider monsieur, je dispose aussi d'un signalement... Wotan est borgne, et deux corbeaux lui servent de messagers. Il est, disons... plus grand que la moyenne. Il règne sur un endroit nommé Walhalla. Il a de nombreuses filles, qui sont fort séduisante - des guerrières, les Walkyries... Je crois qu'il a aussi un fils un peu débile, avec un gros marteau. Mais je n'en suis pas certain.
- Je n'ai que quelques jours à vivre, et l'on essaye encore de m'assassiner... C'est agréable de savoir que jusqu'au bout, j'aurai conservé ce genre de pouvoir.
Espionnage et trafic d'armes. L'éternel mariage.
Sois raisonnable petit. Ce serait idiot de mourir aujourd'hui. C'est armistice.
- Je suis confus, monsieur. Pour rien au monde je n'aurais voulu interrompre vos... retrouvailles avec madame Richer.
- Tu est impardonnable, Nam. Je t'aurais bien mis deux balles dans la peau, mais quelqu'un s'en est chargé à ma place.
- Trois jours qu'il est là. Il boit, il fume, il couche, il joue... Il a décidé d'être insupportable. Vous savez comment il est dans ces cas-là?
- Je sais madame. Je sais.
- Johann est né en 1895. À l'époque, j'étais danseuse de revue à Strasbourg... et j'avais du succès, vous pouvez me croire!
- Mon imagination ne va pas jusque-là.