J'ai un peu honte mais en votant cette couverture de livre sur les étagères de "ma" médiathèque, j'ai été tentée de lire la quatrième de couverture et bref, ayant besoin de me vider les esprits en ce moment, je me suis laissée tenter.
Je ne m'attendais pas à un super roman, à vrai dire, je m'attendais presque à être déçue mas en ayant passé un bon moment de divertissement et au final, même si le deuxième point s'est bien produit, je dois avouer que j'ai été agréablement surprise.
Pour planter le décor : une école catholique hyper huppée que toutes les filles de stars fréquentent. Seule Calypso fait un peu tâche au milieu puisque ses parents sont d'un milieu relativement modeste mais ont néanmoins tenu, quitte à ne pas faire construire de piscine, à l'envoyer dans cet établissement prisée. Calypso, qui jusqu'à présent avait de gros a priori, à savoir que la condition sociale déterminait la personne, s'est rendue compte qu'elle avait tout faux. Certes, il est vrai que Georgina et sa bande très branchée et hyper friquée lui en ont fait baver la dernière année, ne manquant pas de se moquer de son accent de L.A et si peu "british" mais lorsque l'on gratte un peu, elle s'est rendue compte qu'elles étaient en réalité des filles comme les autres...en fait elle a un peu triché mais a finalement réussi à se faire accepter au sein du fameux clan, tout comme son amie Star d'ailleurs. de plus, flirter avec un membre de la famille royale a grandement contribué à faire d'elle, la fille qui vient de l'autre côté de l'Atlantique et surtout la fille qui 'a ni armoiries ni nom à particule, à être un peu jalousée...
Un roman qui se lit d'une traite, avec une écriture fluide et légère et même si l'histoire est parfois un peu tirée par les cheveux et un peu trop gnan-gnan par moments, le lecteur ne peut s'empêcher de sourire et de se laisser divertir. A découvrir !
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Ayant lu la critique de ma soeur, puis parler avec elle de ce livre avant de m'y mettre, je dirais que Calypso est un bouquin niais, qui m'a vaguement rappelé les harlequins, mais pour les jeunes, et avec tout de même un peu plus de choses positives, mais pas assez pour me combler royalement. Calypso est une jeune fille aux bords superficiels qui veut se faire bien voir par des filles qui sont toutes plus idiotes les unes que les autres (même si on découvre que non elles sont pas si débiles), et qui change d'avis comme une girouette. C'est aussi une demoiselle pleine d'humour que j'ai su apprécier par ce côté là, mais qui malgré son âge m'a énervé. Influençable et naïve bref. Pourtant elle avait quand même des côtés positifs, mais plus le livre avance plus on se rend compte à quel point elle est un peu stupide. Ses amies m'ont un peu plus plu. Star et Georgina étaient des personnages intéressants et presque originaux. Parce que le problème de ce livre c'est qu'il contient pleins de clichés que ce soit en perso ou en actions. du coup, aucune surprise n'existait, et je m'attendais à rien du tout parce que je comprenais immédiatement ce qui allait se passer. L'écriture se passant avec Calypso, rendait l'aspect du livre un peu rapide, et certains passages étaient limite passé à la va-vite (j'en avais l'impression), mais d'autres étaient plutôt sympathiques. Les actions qui se déroulent sont plutôt pas mal, l'univers dans lequel se déroule l'histoire m'a plu, et le fait que Calypso fasse de l'épée également. Mais en fait je suis un peu mitigé. J'ai bien aimé, et à la fois, l'aspect stéréotypé du livre et superficiel de Calypso m'ont fait pas mal lever les yeux aux ciel.
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Je voulais quelque chose de léger, pas trop difficile à lire.
C'est le cas avec le premier tome des aventures de Calypso, l'américaine au pays des enfants de la jet-set anglaise.
En effet, l'héroïne est élève dans un pensionnat très huppé fréquenté par les jeunes filles de très bonnes familles britanniques.
Calypso découvre avec humour et auto-dérision la vie des pauvres petites filles riches.
Rivalités, soirées entre copines, flirts, escapades buissonnières, c'est sympathique et pétillant comme une bulle de champagne.
Parfait pour l'été.
A partir de 12-13 ans
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"Je devais me recentrer sur ce que je désirais vraiment. Lire, écrire et faire de l'escrime. Voilà ce qui me tenait à cœur. Et aussi me faire accepter telle que j'étais au lieu d'essayer de plaire à ces snobinardes sans ambition."
"Se faire accepter tel qu'on est n'a rien à voir avec son milieu d'origine, contrairement à ce que tu crois. Commence par t'accepter telle que tu es avant d'accuser les autres de te rejeter."
"Je dis ça, mais en ce qui me concerne, je considère qu'il n'est jamais trop tard pour faire le pitre."
Je hais le latin. Vous pouvez me dire à quoi cela va me servir de savoir décliner amo, amas, amat ? Mais chaque fois que nous faisons remarquer à miss Mills, notre professeur, que le latin est une langue morte, elle nous répond que c'est nous qui mourrons si nous n'apprenons pas nos déclinaisons sur le bout des doigts!
La première chose que fait une fille quand elle est dans l'embarras ou qu'elle ne trouve pas ses mots, c'est de sortir son gloss. Alors, dès que nous étions angoissées, ou que quelqu'un nous disait une vacherie, nous attrapions notre gloss et nous en appliquions une bonne couche sur les lèvres pour sauver la face.