… Pour la première fois depuis longtemps, depuis très longtemps, le silence entre nous n’était pas une souffrance.
Quand un être aimé devient un ennemi, que faut-il faire ? Le détruire pour sauver sa peau ? Ou l'accompagner dans son enfer.
Tout comme la vérité...Je savais qu'elle était là mais que si j'avais à la regarder en face un jour mon univers n'y survivrait pas. Je ne pouvais qu'essayer de l'oublier et de prier pour qu'elle ne traverse pas mon orbite. Et dans ce contexte j'ai commencé à mettre un peu plus d'urgence dans ma vie.
...Et elle avait murmuré que survivre n'est pas seulement un instinct , mais aussi un art.
… C’était le genre d’individu qui tirait plus de fierté de ce qu’il possédait que de ce qu’il était.
Elle constituait un adversaire idéal, encaissait tout ce qu’il pouvait trouver à lui sortir, répondant à l’intensité de sa colère par la ferveur de sa patience jusqu’à ce qu’il finisse par se lasser, battre en retraite et la laisse mener sa vie.
Je suis terrassé par la conscience de ma solitude absolue dans ce monde.
Finalement, le pire était d’avoir découvert que je ne voulais pas de la seule chose sur laquelle je comptais pour me sentir mieux. Il n’y avait aucun soulagement à attendre de la vie.
Demandez à n’importe quelle femme ce qu’elle apprécie le plus chez un homme et elles répondront toutes son sens de l’humour.
Choix volontaire d’un côté, obligation de survivre de l’autre.