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3,98

sur 727 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Avertissement : ne vous attendez pas à un avis consensuel et laudateur...
Le préambule étant posé, j'ai d'abord envie de dire : ah la famille et ses secrets ou ah les secrets de famille, quelle aubaine pour les auteurs !
La famille n'est-elle pas en effet "le totem sacré et tabou " de nos bonnes vieilles sociétés "religiosantes" ( un néologisme qui sent la naphtaline).
Et tout en écrivant ces mots, je pense à " La Familia Grande " de Camille Kouchner ainsi qu'au bouquin de David Cooper - Mort de la famille -, que j'avais lu dans les années 70... Une mine intarissable, disais-je...
Lorsque j'ai entrepris la lecture de l'ouvrage de Maggie O'Farrell, m'est revenue ou s'est imposée la fable - Les porcs épics - de Schopenhauer.
Vous savez, cette bande de hérissons qui, cernés par l'hiver, le froid, la neige et la bise essaient de se tenir côte à côte la nuit pour se réchauffer et pouvoir dormir. Mais leurs piquants les blessent et c'est la débandade. Ce n'est qu'au prix de plusieurs tentatives qu'ils parviendront après mille précautions et en abaissant leurs piquants à se rapprocher et à trouver enfin le sommeil.
Belle allégorie, non ?
Donc l'auteure nous conte l'histoire d'une famille, des années trente jusqu'à nos jours, une famille bourgeoise où le paraître tient lieu d'être ( un bon vieux cliché ), et où il ne fait pas bon être "un vilain petit canard". Esme, soeur cadette de Kitty, est le vilain petit canard en question. Elle est libre comme Max, vous me suivez ? Et cette liberté, elle va la payer cher, ou plutôt sa famille va la lui faire payer au prix fort de 61 années d'internement dans un asile psychiatrique... pour "trois fois rien".
Six décennies plus tard, alors qu'elle a disparu de tous les écrans radars qui sont censés témoigner que les vivants vivent, l'asile ferme ( enfin ! ) et Esme se retrouve en transit entre cette prison pour aliénés et une maison de retraite "normale" où elle pourra finir ses jours comme n'importe quel citoyen lambda... transition soudaine, brutale et peu cohérente (?).
Pour ce faire, l'administration fait appel à sa seule parente connue, sa petite-nièce Iris, laquelle n'a jamais entendu parler de l'existence ( et pour cause ) de la vieille dame emmurée depuis plus de soixante ans dans cette oubliette "intemporelle".
Où et à quoi va mener cette rencontre improbable ?
Alors là on pense qu'effectivement, il fut un temps où la bonne comme la moins bonne société pouvait se débarrasser de ses filles, pour toutes sortes de raisons.
Il y eut d'abord les couvents... on songe à Diderot et à - La religieuse -, puis leur succédèrent les asiles, et là on peut se référer à - le bal des folles - de Victoria Mas ou à - La salle de bal - de Anna Hope ( ce ne sont que quelques exemples ).
Et donc, des années 30 jusqu'à la fin des années 50, on peut concevoir, en tirant beaucoup sur l'écheveau de l'Histoire, qu'un tel internement (abusif)ait pu perdurer... mais il faut vraiment tirer beaucoup sur l'écheveau !
Mais lorsqu'on se réfère aux progrès de la psychiatrie à partir des années 60... aux différentes révolutions ( presque partout dans le monde dit libre ) qui ont changé le regard de la société sur cette discipline et ses institutions, il est inenvisageable d'imaginer une seconde qu'une jeune femme ( elle a un dossier psychiatrique très "maigre" ) ait pu passer au travers de trois ou quatre générations de praticiens, sans qu'aucun d'entre eux ne comprenne qu'il avait affaire à une machination familiale machiavélique...
Et que dire des différentes administrations auxquelles ces établissements sont soumis, des services sociaux... et des lois ?
Bref, vous l'avez compris... ce Château d'If hors du temps transposé à Édimbourg où Nessie serait le baromètre de la normalité psychologique des Écossais... je n'y ai pas cru !
Si j'ajoute à cela l'Alzheimer alternatif de Kitty... il y aurait vraiment des raisons de perdre la sienne...
J'ai pourtant apprécié la structure narrative, utilisant intelligemment la 3ème personne du singulier, la simultanéité d'un récit au présent et au passé et les insertions "rupture(s)" de la voix "conscience de Kitty.
Mais hélas, trop de répétitions viennent gâcher un style qui est pourtant plein des qualités d'une plume de talent... 7 fois "balayer du regard ou des yeux" en 232 pages... autant de fois l'emploi du verbe "ciller", plusieurs fois " se carrer dans son fauteuil" ou le verbe "dépiauter". Etc etc...
Conclusion : une intrigue bien ficelée si on aime les rouleaux de ficelle. Une histoire attachante si l'on ne s'attache pas trop à la réalité.
Je ne déconseille pas ce livre qui ne m'a pas convaincu.
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J'étais tombée sous le charme de Maggie O'Farrell avec son excellent I am, I am, I am. Alors j'ai voulu renouveler la magie de Maggie.
A mon grand désarrois, je suis passée à côté de ce roman à la quatrième de couv singulièrement aguichante. Eh oui, avouons-le, en tout cas moi je l'avoue, les secrets de famille, surtout anglais, avec une pointe d'histoire coloniale en Inde, des jeunes filles qui tanguent entre bienséance et envie de tout envoyer balader, ça titille la curiosité. Quand en plus vous croisez le destin d'une vieille femme enfermée depuis des décennies et d'une jeune qui découvre l'aïeule dont elle ignorait jusqu'à l'existence, là vous tenez un scénario solide. le bon roman à déguster avec une tasse de thé.
Hélas, alors que j'avais apprécié l'introspection psychologique fouillée de I am I am I am, je suis restée sur ma faim. J'ai eu l'impression de rester trop en surface, de ne pas suffisamment aller au coeur du sujet. Comme une pèche dont on mangerait à peine la chair, sans même atteindre le noyau.
J'aurais aimé mieux connaitre les deux femmes, alors que l'on a à peine effleuré leur histoire.
Dommage. Mais j'aime bien la plume de cette irlandaise, alors je réitèrerai une lecture d'un autre de ses romans.
Alors, faut-il le lire ? Oui. Comme c'est court, allez jusqu'à la fin, ça vaut quand même le coup. Mais vous l'aurez compris : je vous recommande surtout I am I am I am.
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Roman socio-familial,présentant l'hypocrisie de la bonne société en Irlande,mais aurait pu se situer en Bretagne ou n'importe quel bled fermé;une intrigue où dominent les femmes,et leur poids dans la structure familiale;ce livre plein de sentiments et de détails intimes met en scène une femme expédiée à l'asile car elle était anti conformiste ,remettant en jeu l'équilibre social,ayant un enfant à 15 ans;plein de dignité,prenant sans aucun pathos;beau livre aux personnages vivants
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Une histoire originale et assez addictives, avec des personnages intéressants et des secrets de familles bien gardés. L'alternance entre le passé et le présent est assez déroutante puisqu'il se fait à travers 3 personnages différents, c'est parfois difficile de suivre le déroulement du récit qui a une atmosphère pesante et sombre. La fin m'a laissé un peu sur a faim… dommage.
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Iris apprend l'existence d'une grand-tante qui est enfermée depuis plus de 60 ans dans un asile psychiatrique. Elle se voit contrainte de s'occuper d'elle quelques jours et c'est durant cette cohabitation que nous voyageons dans le temps. Nous découvrons la vie et le passé de Iris mais aussi et surtout celui de Esmé, la fameuse grand-tante. Les souvenirs croisés de Esmé et ceux, embrouillés, de sa soeur Kitty (la grand-mère d'Iris atteinte d'Alzheimer) vont nous faire découvrir les circonstances qui ont conduit Esmé a être internée à l'âge de 16 ans.
L'histoire est froide, dramatique et terrible. L'idée est bonne, très bonne. Tellement bonne qu'on a l'impression d'avoir déjà lu ou vu ça des dizaines de fois. Alors, pour peu qu'on soit friands de ce genre de roman, le secret de famille ne nous résiste que très peu de temps.
De plus, sur le plan narratif, si les souvenirs embrouillés de Kitty m'ont semblé être une bonne idée pour mener l'intrigue, je dois dire que ça m'a vite fatiguée de lire un début de piste suivi de trois petits points. Une fois, c'est chouette, deux fois c'est toujours sympa mais vingt fois c'est trop.
Les quelques passages sur les conditions d'internement arbitraires de ces pays dans les années 20-30 sont très intéressants mais malheureusement trop peu exploités... Par contre l'analyse des rapports mondains et conjugaux est finement narrée.
Bref, ce n'est pas que je n'ai pas aimé mais je n'ai pas été franchement séduite.

Challenge ABC
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Esme Lennox a 16 ans quand elle est enfermée dans un asile psychiatrique, tout simplement parce qu'elle est un peu étrange, elle n'est pas conforme à ce qu'on attend d'elle et refuse d'entrer dans le moule. Elle en sortira 60 ans plus tard, de nos jours, parce que l'établissement psychiatrique ferme ses postes. Sa famille ne lui a jamais rendu visite, ne l'a jamais réclamé : avoir une fille ou une soeur dans un asile, ça fait tâche sur le tableau de famille.

Sa petite-nièce Iris va donc se découvrir une grande tante dont, jusqu'à présent, tout le monde lui a caché l'existence, elle va donc mener sa petite enquête pour découvrir pourquoi.

Maggie O'Farrell alterne donc magnifiquement son récit à trois voix entre le présent et plusieurs époques du passé. Une écriture sublime, une histoire qui ne vous lâche pas, qui analyse une époque psycho-rigide
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J'ai lu ce livre car pensais retourner dans une ambiance comme dans le film The Magdalene Sisters, traitant de la vie de jeunes filles dans des couvents de ‘redressement' où elles se sont retrouvées pour avoir fait un clin d'oeil à un jeune homme ou pire, après avoir été violée. Mais en fait ce livre ne détaille pas cette vie, bien qu'il y ait pas mal de suggestions à la vie dans ces ‘asiles d'aliénés'.

L'histoire se centre principalement sur ce qui a conduit une vieille femme à se retrouver dans cet asile pour 50 ans… et que sa famille ait totalement caché son existence. La petite nièce de cette femme va faire sa connaissance et la sortir du vieil établissement. Elle est étonnée de la bonne santé d'esprit de la vieille femme et au cours des discussions des deux femmes, on apprend l'histoire d'Esme Lennox.

L'histoire alterne entre des chapitres se déroulant lors de la jeunesse d'Esme et d'autres centrés sur Iris, la petite nièce. Ceux dans le passé ne sont pas dans l'ordre ce qui permet de brouiller les pistes. Mais avec un peu d'imagination et une lecture acérée, on perce le secret assez vite. En tout cas ça été mon cas. Donc pas de grandes surprises de ce côté là. Ce qui est intéressant c'est la psychologie des personnages, notamment la soeur d'Esme, que je trouve très intéressante. Comment quelqu'un de bien peut basculer dans la mesquinerie en gros pour garder la face. Et j'ai aussi beaucoup apprécié la fraîcheur et la spontanéité de la jeune Esme. D'ailleurs trop pour l'époque, car cela lui causera des ennuis.

Un autre point que j'ai trouvé intéressant et qui est en filigrane dans ce roman : l'effet miroir entre Esme et Iris. C'est à peine perceptible et le lien n'est pas dit explicitement mais si on se fie à la psychologie des personnages, on se rend compte que le secret de famille a eu une répercutions inconsistante sur la vie d'Iris. C'est peut être moi qui analyse trop ou qui voit trop de liens mais je suis presque sure que c'était l'intention de l'auteur car elle met un point d'honneur à nous décrire certains points de la vie d'Iris qui ne semblent pas en lien avec l'intrigue principale. Or je pense que cela n'est pas fait au hasard car si on regarde bien, Esme comme Iris entretiennent des relations très étrange avec leur fratrie, souvent fausses et mensongères pour ‘sauver les apparences'. Dans les deux cas la soeur (pour Esme) et le frère (pour Iris) se sont aussi cachés derrière un époux/épouse en carton pour essayer de se convaincre eux même qu'ils mènent un vie on ne peut plus normale. Je ne vous en dis pas plus. Si jamais vous avez lu le livre, dites moi si vous avez ressenti la même chose. Et si vous ne l'avez pas lu, prêtez attention à ce point durant votre lecture ;)

Dommage par contre que cet aspect ne soit pas plus mis en lumière. Dommage également que le pot au rose se devine aussi facilement.

Un bon livre sur les secrets de famille et leur répercutions. Il est aussi un bon témoignage de la vision étriquée et abusive de cette époque vis à vis des femmes particulièrement. Une lecture agréable.
Lien : http://lecturesduneguenon.wo..
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Enfermée dans un asile à l'âge de 16 ans, Esme Lennox en ressortira... 60 ans plus tard. Sa nièce Iris, qui ignorait jusqu'à son existence, va chercher les raisons de cet internement à vie et plonger dans les secrets de sa famille... et quels secrets !! troublants, atterrants, édifiants, mêlant le sort terrible administré à une jeune femme refusant de se plier aux conventions de la bourgeoisie britannique du début du XXe siècle, et une histoire de jalousie aux conséquences proprement ahurissantes entre deux soeurs. A lire !
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J'ai trouvé ce livre par hasard chez Oxfam. Comme il me fallait un auteur en "O" pour un challenge, je me suis rabattu sur ce livre. J'ai bien aimé l'histoire, mais pas du tout la façon dont elle a été écrite et je ne lirai sans doute plus cette auteure.

Tout d'abord, il n'y a pas de chapitres, ce que je trouve très embêtant quand on veut faire une pause dans le récit.

Ensuite, il n'y a aucune indication temporelle ni même de lieu. On sait que la famille d'Esme Lennox vivait en Inde avant de revenir en Ecosse. ll y a d'incessants aller-retour dans le passé, mais ce n'est jamais indiqué. Il faut donc quelques secondes avant qu'on ne se rende compte qu'on a changé d'époque.

Troisième chose qui ne m'a pas plu : une narratrice qu'on ne nomme pas intervient de temps en temps, sans prévenir. On devine qu'il s'agit de la soeur d'Esme. Comme elle est atteinte de la maladie d'Alzheimer, ses propos sont plutôt décousus et ses phrases ne sont pas terminées.

Voilà pour le côté négatif qui m'a quelque peu énervé !

L'histoire : Esme Lennox n'a pas vraiment disparu, mais elle a été oubliée de toute sa famille. On l'a enfermée dans un asile et y a vécu plus de 60 ans. Il a fallu que l'asile en question ferme ses portes pour qu'Else refasse surface. On a donc appelé sa parente la plus proche : Iris, la petite-fille de sa soeur, pour voir ce qu'elle comptait faire d'elle alors qu'elle n'avait jamais entendu parler de cette grand-tante !

Elle la prend chez elle pour quelques jours et, c'est comme ça qu'on apprend l'histoire d'Elsme et tous les secrets de famille bien cachés. Esme ne se confie pourtant pas à elle, mais l'histoire se déroule en partie dans le passé, comme expliqué précédemment.

Le lecteur apprendra donc pourquoi cette femme qu'on dit folle a passé toutes ces années dans un centre fermé.

Avis mitigé donc pour ce livre que j'aurais sûrement beaucoup aimé s'il avait été écrit autrement.
Lien : http://phildes.canalblog.com..
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Après l'excellente lecture de I am, I am, I am, j'avais hâte de retrouver Maggie O'Farrell. J'ai choisi ce titre, déjà note sur ma liste de souhaits depuis longtemps et particulièrement recommandé par les lecteurs.

Iris, la trentaine active, gère une boutique de vêtements d'occasion. Elle tombe des nues lorsqu'elle reçoit un appel d'un asile, lui apprenant qu'elle est la plus proche parente d'une de leur patiente, Euphemia Lennox. Iris n'a jamais entendu de cette dame qui s'avère être la jeune soeur de sa grand-mère, soit disant fille unique. A cause de la fermeture de l'asile, Iris doit donc prendre en charge Euphemia, ou plutôt Esme, enfermée depuis plus de soixante ans.

Ce roman navigue entre trois personnages et plusieurs époques. Iris est une jeune femme moderne au fort tempérament, qui vit sans passion une relation avec un homme marié, mais a une relation ambiguë avec son frère adoptif. Katleen, ou Kitty, grand-mère d'Iris et soeur d'Esme est atteinte de la maladie d'Alzheimer. Ses pensées sont hachées, sautant d'un souvenir à un autre sans lien apparent, livrant des bribes d'informations sur ce qui a poussé à l'enfermement d'Esme.

Esme est bien sûr le personnage central de l'histoire. Il y a l'Esme actuelle, qui rencontre Iris et sort enfin de l'asile après toute une vie d'enfermement. Elle se perd dans ses souvenirs et avec elle, nous remontons le temps. Nous voici en Inde dans les années 20, face à une petite fille espiègle et curieuse, adorant sa grande soeur et son petit frère. Il y a le drame de la mort de ce petit garçon, le chagrin nié de la petite fille devant celui de la mère et le silence qu'elle refuse, ne voulant pas oublier. Il y a l'arrivée en Ecosse, ce pays qui est soi-disant le sien mais qu'elle ne connaît pas. Il y a cette jeune fille, éprise de liberté, qui souhaite étudier et travailler plutôt que se chercher un mari. Puis, il y a l'asile.

C'est un roman qui se lit très facilement et agréablement, l'histoire et les personnages sont bien construits. Sur le thème éculé des secrets de famille, Magie O'Farrell nous parle de la place des femmes dans la société et de l'incroyable facilité avec laquelle une femme pouvait être enfermée. Esme ne rentre pas dans le cadre de la bonne société, elle ne se plie pas au destin qu'on veut lui imposer, cela lui vaudra d'être rejetée.

Pourtant, je reste un peu sur ma faim. Tout d'abord, le secret et la révélation finale, je les ai vus venir à des kilomètres. Mais bon, ça ne m'a pas vraiment dérangée. Ce qui m'a dérangée, c'est qu'autant sur la forme que sur le fond, j'ai trouvé que ça manquait considérablement d'originalité. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser aux romans de Kate Morton, une autrice australienne dont j'ai lu plusieurs romans. Romans dans lesquels on trouve toujours les éléments suivants : une jeune femme (séduisante mais pas trop, indépendante et dotée d'un fort caractère, dans relation de couple peu satisfaisante mais qui rencontre ou connaît déjà un homme qui lui convient mieux) ; une femme âgée de sa famille( que l'on découvre dans des flashbacks, jeune, séduisante, intelligente et indépendante) ; des secrets de famille ; des flashbacks à répétition ; une grande maison de famille bourgeoise ;… Bref, les mêmes ingrédients que dans ce roman de Maggie O'Farrell et même s'il n'y a aucun rapport entre les deux autrices, cette ressemblance m'a troublée.

C'est tout de même une bonne lecture et je pense que je relirai rapidement Maggie O'Farrell.

Lien : https://tantquilyauradeslivr..
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