" La première impression éprouvée par l'anarchiste devant l'appareil solennel de la justice est celle d'une hilarité incoercible. Lorsqu'il est pris, qu'il a épuisé toutes les ressources de la révolte - fuite, résistance aux agents, coups de revolver -, lorsqu'il est installé au dépôt, l'anarchiste se déride et " blague " copieusement l'autorité. Non qu'il s'avoue désarmé par son propre rire, non qu'il pardonne au juge. Bien au contraire, mais il sait que son procès...
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