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3,47

sur 468 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Mon premier Oates...

Pour une première rencontre avec cette auteure américaine, on va dire que je ne suis certainement pas tombée sur l'un de ses meilleurs romans car je n'ai pas été emballée plus que cela !

Gillian Brauer, jeune femme de 20 ans étudie à Catamount College, université réservée aux filles, dans le Massachussets.
A l'instar de son journal intime, elle dévoile sa passion dévorante pour son professeur de littérature, Andre Harrow, qui n'a pas pour son pareil pour déclamer des poèmes à merveille et enflammer par la même occasion le coeur de ses jeunes étudiantes.

Ambiance campus américain ? Non, pas franchement...En tout cas, ce n'est pas vraiment l'idée que je m'en fais.
Ici, l'atmosphère est mystérieuse, un brin étouffante et pesante mais surtout glauque et sulfureuse. Entre totems aux formes érotiques prononcées, poésie voluptueuse et professeur libidineux, j'avoue que le sujet ne m'a pas transcendée.
Certes, les émois et désarroi des jeunes étudiantes sont évoqués de façon fort habile. A peine effleurés, susurrés du bout des lèvres de façon si insidieuse entre les lignes que le lecteur ne peut leur échapper. Mais cela n'a pas suffi à faire de moi une lectrice comblée.

Cela dit, je ne m'avoue pas vaincue. Un autre roman de Oates m'attend sur ma table de chevet. Espérons que celui-ci saura me séduire !
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La jugulaire,

J'ai relevé ce roman dans une liste dédiée à la vie d'étudiante sur Babelio.

J'aurais dû l'éviter…

Gillian Bauer, en 2001 au Louvre, découvre une statue qui lui rappelle ses années d'université et son professeur de littérature André Harrow !

Elle nous révèle ses souvenirs sous la forme d'un journal intime, très intime…

Dans ces années 1975, aux Etats-Unis, tout est perversité dans cette université.!

J'ai tout de suite deviné la chute du livre, assez attendue.

Je n'ai pas aimé le style de cette autrice, sec, embrouillé (dans une même phrase, elle écrit Je puis Gillian), répétitif. Il se complait dans les descriptions des paysages, des costumes et fuit les descriptions des sentiments (don't tell, show !)

Je ne me suis pas attachée aux personnages, Gillian tout d'abord, assez ambivalente dans ses désirs. Les autres étudiantes sont à peine effleurées et on ne connait pas la raison des tentatives de suicide, les disparitions…

D'ailleurs, elles ne font que peu de confidences entre elles, préférant les jeter sur leur journal intime, "commandé" par leur professeur de littérature !

Ce dernier, André Harrow et son épouse Dorcas, sont particulièrement détestables et pervers ! Bien fait pour eux !

Un monde petit bourgeois, rempli de drogues, d'alcool qui ne m'a pas rappelé mes propres souvenirs en 1975...

Bref, une lecture laborieuse sans intérêt.
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2001 au Louvre, Gillian voit un totem qui la ramène à l'âge de 20 ans et étudiante.

L'oeuvre exposée est celle de la femme du prof dont elle était tombée amoureuse. Bien sûr ces situations existent. Mais quand même... Perversité sexuelles d'un couple sur jeunes étudiantes. Trop malsain pour moi.
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Gillian, l'héroïne de ce court roman, est étudiante à l'université de Catamount au milieu des années 70. Elle est tombée amoureuse de son professeur de littérature, comme de nombreuses autres étudiantes. Andre Harrow, qui anime un atelier très sélectif de poésie, éblouit les jeunes femmes. Et que dire de son épouse, la sculptrice Dorcas, et de ses oeuvres provocatrices?
Alors qu'elle commençait à désespérer, Gillian est admise chez le couple étrange et fascinant. Si c'est pour elle d'abord un bonheur absolu, malgré les contraintes, elle finira par découvrir de sombres secrets.

Délicieuses pourritures était mon premier roman de Joyce Carol Oates et je ne peux pas dire que ce soit un coup de coeur. L'une des réflexions que je me suis le plus faite durant ma lecture a été sans aucun doute : "Ciel, ils sont tous fous, là-dedans !" Entre anorexie, tentatives de suicide, perversion, pyromanie et autres, ce roman est profondément dérangeant et c'est probablement là son intérêt. J'ai beau ne pas avoir particulièrement apprécié cette lecture, je reconnais que l'auteur a exploré de manière concise mais très juste jusqu'où des personnages comme Andre et Dorcas peuvent amener leurs "victimes", sans aucune protestation de ces dernières. Ce roman aura au moins été intéressant sur ce point-là.

Challenge ABC 2017/2018
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Paris Février 2001. Lors que Gillian Bauer, jeune quadra américaine visite le Louvre et voit une sculpture qui lui fait penser à Dorcas, la femme de son professeur d'université, elle fait une malaise.

Quand elle reprend ses esprits, elle remémore cette année universitaire où elle était amoureuse de son professeur de littérature André Harrow. Ce dernier avait décidé de faire écrire à ses élèves leur journal intime et de le partager en classe. Plus que ses élèves s'offraient à lui, plus il aimait. Et puis il y avait Dorcas sa femme et sculptrice de profession qui faisait de sculptures les unes encore plus laides que les autres. Un drôle de relation s'installe entre André Harrow, ses élèves et Dorcas. Au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire les événements font se produire jusqu'arrive le drame...

Bien que ce livre ne contient que 126 pages, j'ai eu du mal à le finir et à rentrer dans l'histoire (j'ai lu d'autres livres à côté). J'ai trouvé le style assez noir, pervers et glauque, mais c'était peut-être le but. C'est ma première rencontre avec Joyce Carol Oates, je suis un peu déçue. J'espère pouvoir changer d'avis avec un de ses autres livres.
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Offert par Marly qui avait vu dans ma wish que j'étais tentée par un autre des romans de cet auteur. C'est donc un premier contact avec Joyce Carol Oates et j'en ressors assez dubitative…
Gillian est étudiante dans une université du Massachusetts. Elle est amoureuse de son professeur de littérature. de mystérieux incendies sévissent sur le campus. Certaines des amies de Gillian arrêtent leur études en cours d'année sans donner de véritables raisons… Tout cela se mêle pour donner une fin plutôt dérangeante.
J'ai eu du mal à rentrer dans ce livre, peut-être parce qu'habituellement je suis plus accès sur les lectures de l'imaginaire ou parce que l'auteure parle de périodes très différentes sur de très courts chapitres et que j'ai eu un peu de mal à m'y retrouver.
Le livre est court, donc l'auteure va directement à l'essentiel, et c'est ce que j'ai aimé. On n'est pas étouffés sous des descriptions dithyrambiques. L'auteure dresse un portrait au vitriol de la société bien pensante américaine des années
1970. Cette partie de la société qu'on connait peu, car peu affiché dans les médias. Les américains sont assez puritains et ce roman en montre une autre facette. Celle qu'ils n'avouent pas, leur côté caché. Celui présent dans toute société, moderne ou non.

Gillian, le personnage principal, est très fragile. Elle est à l'âge où l'on recherche la reconnaissance des « adultes établis » et cherche encore à établir son identité. Paradoxalement à cause de cette envie de s'affirmer, elle va se retrouver dépendante dans la relation qu'elle entretient avec son professeur de littérature et la femme de ce dernier.
Peu à peu, tous les éléments qui n'ont l'air au départ d'avoir aucun lien, dont certains sont à peine évoqué pour être de suite oublié par le lecteur trouvent leur sens, et Gillian réussira à s'affranchir. Et là, je me pose la question : à quel prix ? En même temps, je pense que j'aurais fait pareil…
Ça vous intrigue ? Lisez le livre ;)
Lien : http://mutietseslivres.com/2..
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troublant mais je pense que je suis passée à côté de ce livre.
Lien : http://soniasbooks.blogspot...
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C'est le première livre que je lis de cet auteur et j'ai bien été déçue.
Aucun intérêt à cette histoire pas originale pour deux sous et légèrement malsaine.
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Je ne referai pas le résumé du roman, l'histoire est franchement étrange, l'ambiance est glauque et malsaine. On ne comprend pas trop où l'auteur veut en venir. Une lecture que je n'ai pas vraiment appréciée.
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Voici un livre que j'ai presque tiré au sort dans les rayons de la médiathèque, uniquement sur le nom de son auteur dont j'avais envie de découvrir une oeuvre. Ce roman, dont la version française date de 2003, nous emmène dans le cercle fermé d'une petite université féminine nord américaine.
Cette intrigue, sur fond de poésie et de sculpture, est centrée sur trois personnages: Gillian (l'étudiante), Andre Harrow (le professeur) et Dorcas (l'artiste et femme du précédent).
Le lecteur est tenu en haleine dès le début du roman qui est basé sur un double retour en arrière (la confrontation avec des totems, et le souvenir d'un incendie).

L'histoire se situe à la charnière de 1975 et 1976 dans un campus. Liberté des moeurs, sexualité, contestation des valeurs bourgeoises servent de fond.

Malheureusement, les personnages sont fades et rendent la lecture moins captivante que le début du roman ne pourrait le laisser croire. L'intrigue est faible et malgré certaines scènes qui relèvent le tout, l'ensemble est plutôt moyen.

Dommage.

Mais je tenterais bien un autre roman de JC Oates, pour voir.
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