Daniel Odier/5
1 notes
Résumé :
Lorsque Siatévitch rentra, la nuit était déjà tombée. Il ferma les volets un à un. Soudain, une étrange impression l'envahit. Il se souvint du conseil d'un vieil agent qui l'avait formé à Londres, après la guerre : "Un jour, dans ta vie d'espion, tu auras l'intuition qu'un homme est là et qu'il va t'abattre".
Cette phrase avait poursuivi Siatévitch toute sa vie. Maintenant, il savait que cet instant était arrivé. Il n'hésita pas une seconde et s'enfuit. A son... >Voir plus
Cette phrase avait poursuivi Siatévitch toute sa vie. Maintenant, il savait que cet instant était arrivé. Il n'hésita pas une seconde et s'enfuit. A son... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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A courir plusieurs lièvres à la fois on risque de revenir bredouille.
Cela part bien, un type qui grenouille dans le monde du renseignement se sent épié et décide d'activer sa procédure d'exfiltration. Paris-Singapour, train jusqu'à Marseille, cargo turc pour Istanbul, bus à travers l'Anatolie pour rejoindre Téhéran. le tout accompagné d'anges gardiens qui le protègent et essaient d'identifier les poursuivants. L'écriture de l'entame est efficace, épurée. Il y a une pointe d'exotisme. J'ai espéré un récit qui s'apparenterait à ce qu'a fait @Daniel-Ceppi en BD.
Mais à cette trame classique - une chasse à l'homme - l'auteur a ajouté des éléments qui font tâche. Des considérations sur les philosophies orientales. Et surtout, et de manière répétée, des descriptions touristiques. le nom des cigarettes italiennes ou turques, de restaurant, d'hotels n'apportent rien au récit.
Je n'ai toujours pas compris ce que l'auteur a tenté mais cela m'a donné envie de replonger dans un @Eric-Ambler pour comparer.
Cela part bien, un type qui grenouille dans le monde du renseignement se sent épié et décide d'activer sa procédure d'exfiltration. Paris-Singapour, train jusqu'à Marseille, cargo turc pour Istanbul, bus à travers l'Anatolie pour rejoindre Téhéran. le tout accompagné d'anges gardiens qui le protègent et essaient d'identifier les poursuivants. L'écriture de l'entame est efficace, épurée. Il y a une pointe d'exotisme. J'ai espéré un récit qui s'apparenterait à ce qu'a fait @Daniel-Ceppi en BD.
Mais à cette trame classique - une chasse à l'homme - l'auteur a ajouté des éléments qui font tâche. Des considérations sur les philosophies orientales. Et surtout, et de manière répétée, des descriptions touristiques. le nom des cigarettes italiennes ou turques, de restaurant, d'hotels n'apportent rien au récit.
Je n'ai toujours pas compris ce que l'auteur a tenté mais cela m'a donné envie de replonger dans un @Eric-Ambler pour comparer.
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