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Rebecca Kean tome 7 sur 8

Cassandra O'donnell (Autre)
EAN : 9782290079560
416 pages
J'ai lu (02/09/2020)
4.32/5   191 notes
Résumé :
"Je suis d’une nature profondément optimiste, la preuve : ma meilleure amie s’apprête à donner naissance à “Damien, le fils du diable” ?
Je me dis pas grave, tant qu’il naît sans cornes et sans odeur de soufre, on devrait pouvoir gérer. Mon petit ami me ment depuis des années ? Pas de problème, je décide de retourner chez moi et de m’y construire une vie meilleure…
Bref, je reste positive. Du moins, c’était le cas jusqu’à maintenant. Parce que, pour l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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Mouaif.

L'auteure ayant un peu fait le tour des assassins et autres psychopathes à zigouiller dans les différents clans des surnaturels, elle nous découvre un nouveau pan de son monde magique.
Rebecca est en train de roupiller, on l'appelle au téléphone, un meurtre bizarre, elle accoure, elle ne comprend rien, elle enquête, elle torture un peu elle assassine beaucoup, elle trouve les vilains et elle leur fait la peau.
Avec en filigrane son histoire d'amour avec un vampire, qui est en fait un Dieu (histoire au point mort) et celle avec un loup-garou. Qui a dit que les triangles amoureux n'étaient plus à la mode. Elle nous le traîne depuis 5 romans au moins.

Dernier tome à ce jour, ok, je fais la fine bouche, mais j'ai quand même lu les 7 tomes à la vitesse de l'éclair donc…

Il y a un spin off sur Leonora, la fille mi-vampire, mi-vikaris, mi-chaman. A lire un jour.
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« Amberath » m'a réconcilié avec la saga ! Comme beaucoup, le tome précédent m'avait terriblement déçue que ce soit sur le fond ou sur la forme. (Retrouvez mon avis ici.) D'ailleurs, je suis certaine que l'auteure a dû intégrer les remarques de ses lecteurs, car je n'ai pas retrouvé les éléments négatifs du sixième opus. Par exemple, la ponctuation exagérée n'a plus été employée. de plus, l'humour ainsi que les piques savoureuses sont de retour, ce qui n'a pas manqué de m'arracher plusieurs sourires. Certains passages sont assez jubilatoires, notamment dès qu'il est question de Bruce ou des alliées sadiques dont s'entoure Rebecca… Toujours sur la forme, je pense que, cette fois-ci, la maison d'édition a engagé un relecteur. Je ne devrais pas avoir à le mentionner, surtout chez un éditeur aussi important que J'ai Lu toutefois, les fautes ou les coquilles étaient légion dans le T6. Je suis donc rassurée que l'on rectifie enfin le tir !

Du côté de l'intrigue, je reconnais avoir eu un peu peur au départ. Car, si l'auteure a rapidement su me reconquérir avec sa plume et son dynamisme, j'ai craint que l'histoire ne parte dans tous les sens, comme cela a été le cas autrefois. En effet, la nouvelle enquête de notre belle héroïne va la mener auprès de tous les clans. On enchaîne donc toute une ribambelle de cadavres sans en trouver la cause… Cela dit, je n'ai pas eu l'impression que l'on passait d'une affaire à une autre de façon brutale. Cette fois-ci, tout s'enchaîne avec aisance et sans temps-morts. Je me suis régalée et ma curiosité a été mise à mal ! Il me tardait de découvrir qui se cachait derrière ces crimes ! Une fois la solution sous les yeux, ma satisfaction n'a pas baissé ; bien au contraire ! de ce fait, j'ai dévoré cette nouvelle publication en quasiment une journée. C'était aussi sympathique que distrayant et addictif. Une belle surprise.

Si l'on fait fi du côté polar, le reste de l'ouvrage oscille entre révélation et transition. Ainsi, on va en savoir plus sur l'entourage de Rebecca, mais également sur le sinistre destin de cette dernière. Ces informations furent intéressantes et inattendues. Je sens que la suite va se révéler complexe, dense et sensible !… Quel chemin la belle va-t-elle emprunter ? La laissera-t-on faire ? le seul bémol que je peux avoir concerne les alliés proches de la jeune Vikari. Tous semblent avoir des identités secrètes ou des origines surpuissantes. C'est un peu pénible. À croire que Rebecca attire tous les gens spéciaux à elle ! Pour en revenir à l'impression de transition, c'est surtout dû au fait que rien ne change du côté de la grossesse de Beth (mais c'est imminent), de l'oubli de ce fameux pacte démoniaque qui traîne depuis 4 ou 5 tomes, de la formation de Leo (qui est sans doute développée dans la saga la concernant ( ? )), de l'éventuel départ de l'héroïne et de sa relation insolite avec Raphaël. Ce dernier est d'ailleurs aux abonnés absents, ce qui m'a fait plaisir, car ce protagoniste m'intéresse de moins en moins. Hélas, sa présence en fin de roman me donne à penser qu'il sera sur le devant de la scène dans la suite de la série… Cependant, j'espère que la Reine des Vikaris ne reviendra pas sur sa décision concernant son coeur… (Et quel changement agréable ! Je n'en dis pas plus, mais je valide l'évolution sentimentale de la narratrice !) Bref, j'attends la suite avec impatience et je suis ravie de ce regain d'enthousiasme vis-à-vis de cette saga.
Lien : https://lespagesquitournent...
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Dernier tome paru de la série à ce jour.
On découvre une nouvelle créature dans ce paysage fantastique : Les fées. Ce ne sont pas forcément les gentilles créatures ailées que l'on imagine et notre héroine va être obligée de se battre contre certaines d'entre elles.
Du coté de sa vie privée, beaucoup d'évolution aussi avec la quasi disparition de Raphael.
Ce tome m'a plus plu que le précédent. J'ai aussi trouvé l'humour plus fin et la présence des vikaris m'a plu grace à leurs cotés complètement décalés par rapport aux autres créatures.
On sent bien qu'on s'approche de la conclusion finale. Mais pour le moment, il faut attendre encore un peu...
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Attention j'explique les différentes relations de l'héroïne, je ne rentre pas dans les détails. Mais je donne quelques informations, donc si vous ne voulez rien connaitre passé votre chemin ou revenez quand vous l'aurez lu.


Cela fait un bon moment que les fans attendaient ce tome 7, plus de 3 ans après on a enfin la suite et franchement pour ma part c'est une déception.
Le tome précédent se finissait en beauté avec l'arrivée de Rebecca chez Raphaël pour avoir des explications sur sa véritable identité. Mais l'histoire reprend sur un meurtre que Rebecca doit résoudre.
Le début du livre nous ne replonge pas du tout dans l'avancement de l'intrigue principale, c'est vraiment un des points négatifs pour moi c'est que je n'ai pas senti d'avancement dans l'histoire entre ce tome et le tome précédent, on est au même point, les découvertes de Rebecca sont pas des découvertes pour le lecteur ou en tout cas pour moi. En gros, l'avancée de ce livre sur l'intrigue principale sont des choses qu'on pouvait facilement déduire de la lecture du tome 5, il me semble donc quand ça fait plus de 5 ans qu'on le sait ce n'est pas de la grosse surprise, mais après je sais que ce que j'ai perçu d'autre, ne l'ont pas forcément perçu.
Pour ce qui est des romances, ce livre s'embarque dans ce que je déteste, mais surtout ça va à contresens des tomes précédents. Rebecca qui se dit folle de Raphaël, je n'ai rien ressenti entre eux, même pas de l'animosité, rien. Mais c'est surtout la relation avec Bruce qui m'énerve, déjà je ne suis pas fan du personnage, je le trouve trop gentil, tout ce qu'il fait c'est d'aider Rebecca, je le trouve un peu vide. Donc, forcément que Rebecca se rapproche de lui ça me dérange, mais encore plus quand ça fait des tomes qu'ils font tout pour ne pas succomber ça donne une impression, de beaucoup d'effort pour rien. le coup du Bruce qui part, qui revient... en boucle cela me soûle en plus. Heureusement, que Bruce a quelque dialogue intéressant et qu'il dit ce que je rêve de dire à Rebecca depuis plusieurs tomes, c'est vraiment ces dialogues qui m'ont fait supporter ce triangle amoureux insupportable (les triangles c'est ma kryptonite).
Je l'ai dit que la relation avec Raphaël me semble vide dans ce tome, elle apprend une révélation sur lui le tome d'avant et elle le reconnaît plus, donc elle le prend plus en compte. Franchement tout le long j'ai voulu une vraie confrontation, une discussion à coeur ouvert, retrouver la fougue et le mordant de Rebecca. Mais non, elle ne cherche pas à en apprendre plus sur lui, elle ne cherche pas à connaître son passé, ses intentions. J'ai l'impression que la nouvelle du tome d'avant a anesthésié Rebecca. En plus elle présuppose des agissements de Raphaël tout en nous disant qu'elle ne peut pas le comprendre. En gros, elle reste au point mort, il est le seul à avoir des réponses et elle ne fait que bouder. Donc, je n'ai pas retrouvé la personnalité de Rebecca et je n'ai pas eu non plus la confrontation que j'attendais.
Le livre se concentre sur une enquête, une enquête certes plaisante et prenante, mais qui n'est pas forcément ce qu'on attendait. Dans un premier temps, car nous n'avançons pas vraiment dans l'intrigue principale, mais aussi, car à plusieurs moments, nous quittons le Vermont. le problème c'est qu'on se concentre sur de nouvelles créatures, nous passons beaucoup de temps avec les Vikaris, mais on n'est plus avec les personnages qui sont là depuis le début de la saga. Alors, j'espère que ces développements de personnages et de créatures vont être utiles dans la conclusion de la série, car sinon c'est se focaliser sur de nouvelles choses et on ne prend pas le temps de s'intéresser aux personnages qu'on aime depuis le début. Franchement en dehors de Rebecca et Bruce tous les autres sont effacés, vide, deux dialogues max pour chaque personnage qui sont là depuis le début.
J'en ressorts déçue, car il ne se passe pas grand-chose, on n'apprend rien, c'est un tome de transition et j'espère qu'il prendra plus de sens quand on aura la conclusion et que ce n'est pas juste un tome de remplissage. C'est un tome plaisant à lire et c'est sympa, mais il ne correspond pas à mes attentes. C'est vraiment ça le problème, le décalage entre ce que j'ai lu et ce que j'aurais voulu avoir.
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Cassandra O'Donnell Rebecca Kean. Pour adulte.
Cette critique concerne les 7 1ers opus de la série.
Je vais parler des plus, des moins et je ferai une conclusion.
Les moins de cette série :
- le sujet est trivial une sorcière, des loups-garous, des vampires, des sorciers,…, l'Amérique, un job de tueur,...
- le style littéraire : au ras des pâquerettes – genre roman « de gare » : j'avais l'impression pour les 3-4 premiers romans de lire un script pour une série de télé càd : quasi aucune description, aucun recul (à part celui des flingues), de l'action de aàz. Ce style perdure, il faut juste s'y habituer.
- Surtout dans les premiers tomes,… : des erreurs de traductions,…j'imagine soit un robot-traducteur réservé à l'édition, soit un ado…ex. : « aux grands mots les grands remèdes » (…enfin cette faute-là il m'a fait sourire)…vous voyez ce que je veux dire ?
- de nombreuses fautes de français, des coquilles, des incohérences de récit, qui me sortent complètement du fil pendant quelques secondes. Mais bon, je suis sorti du « flux »: soit j'essaie de comprendre et de résoudre les incohérences, soit cela me choque (les traductions, la grammaire,...) et je me pose des questions sur ce que j'ai en main…et si je vais continuer à lire.
- Les passages pornos qui n'apportent rien d'intéressant
- La violence permanente un peu trop marquée genre kill bill
- le côté « j'aime l'Amérique, ses série télé, son Coca Cola, Ses Macdo, etc… » (principalement les 1ers tomes).: qui quand je lis cela me donne juste envie de gerber…
Mais la critique la plus marquée je la réserve aux éditeurs qui font de moins en moins bien leur job me semble-t-il, ex. : pourquoi avoir attendu tant d'année avant de traduire les 1ers tomes de ces romans qui font le buzz en Amérique depuis 2005 ? Et …EST-CE QU'UN ADULTE, LITTERAIRE, RELIT les textes (erreurs de grammaires, de traduction,…) ?
Et surtout aux éditeurs américains : sont-ils trop peu cultivés/ intelligents/logiques/ que pour ne pas relever les incohérences dans un récit aussi basique ? Je reviendrai sur cette observation de plus en plus répétitive à l'occasion d'une prochaine critique relative à un certain John Scalzi pour sa série du "vieil homme et la guerre" (Editions TOR: et là ça va saigner 😊).
Les plus :
- Je n'ai pas trouvé utile de relever des exemples d'incohérence / erreurs de traduction,…le contraire serait un signe que je suis (très) déçu et (très) fâché. –
- Après avoir lu les 6 1er tomes j'ai eu envie de lire le 7 ème…
- Les traductions, les incohérences de récit et la grammaire s'améliorent avec les opus...ouf cela m'a permis de mieux me laisser emporter par l'aventure...
- J'ai commencé à « accrocher » avec les amours « compliquées » mais très belles de Rebecca. Je préfère ne pas dévoiler ce qui se passe…à chaque opus l'écrivaine nous réserve des surprises 😊.
- A ces amours s'ajoutent les capacités « inattendues » des enfants (hilarant). Tome 5, 6.
- L'humour noir. le tome 7 est un summum…désolé avant il faudra lire les 6 1ers tomes 😊 😊 (presque aussi bon)
- Les disputes avec sa gamine (ado) qui fait écho à notre misérable vie de parents dans ce siècle de merde submergé par les réseaux « sociaux » qui tout au contraire détruisent
les relations (à ce sujet : lire l'excellent « la fabrique du crétin digital » – prix femina 2020).
Dans les tomes 5-6-7 sa fille Leo a entre 13 et 15 ans (vous voyez ce que je veux dire… 😉).
- le côté Reine des Vikaris de Rebecca qui se révèle de plus en plus marquant avec un summum au tome 7 (et oui encore attendre… 😊) – un must hilarant.
- La tension (professionnelle, amoureuse,…) qui grimpe entre les personnages tout au long des opus…(Rebecca gère comme elle peut : j'adore)
- La complexité sans cesse croissante de ses relations amoureuses, professionnelles, familiales,…
- La reconnaissance de ses patrons sur la qualité de son « job » (qui finalement consiste à faire de l'espace, à faire le vide si vous voyez ce que je veux dire…) qui se transforme petit-à-petit en amitié
- les infos sur le père de sa fille, sur ses parents, les nouveaux personnages, révélées au fur et à mesure des opus,…
Bref, je suis heureux d'avoir découvert cette écrivaine : elle bosse, elle a de l'imagination, de l'humour dès le 1er tome et puis cela monte régulièrement en puissance et en plaisir de lire.
Des romans dopés à l'adrénaline qui vous laissent un sourire permanent sur les lèvres…même après la lecture.
Comparé à Rebecca, on se dit que finalement on se débrouille pas si mal avec nos enfants et que notre job n'est pas si « merdique »...
Ce n'est pas de la haute littérature. Je ne suis pas le public cible mais j'ai (petit-à-petit) aimé la série pour :
- l'humour (noir), omni-présent
- les relations amoureuses de Rebecca, ses relations avec sa fille et ses amis et la recherche d'équilibre avec son job
Je devrais détester vu la violence. Mais en fait dès le 1er tome, après une vingtaine de page, on n'a simplement plus envie de refermer le livre… 😊
Bonne lecture.




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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Marc Aurèle requérait la sérénité d’accepter les choses qu’il ne pouvait pas changer, le courage de changer celles qu’il pouvait changer et la sagesse de distinguer les premières des secondes.
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Le taux de criminalité humaine était si bas dans le coin que des complotistes affirment que le Vermont a été secrètement annexé par les Canadiens.
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En matière de cuisine, les Vikaris ne font pas de différence entre un muteur, un lycanthrope, des cochons ou des bœufs, exception faite du temps de cuisson, bien sûr.
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C’est drôle, maintenant que j’y songeais, tous les signes étaient là et nombreux étaient ceux qui m’avaient avertie que Raphael n’était pas ce que je m’imaginais, que sa puissance était infinie et qu’il n’était et n’avait jamais été humain, mais j’étais bien trop aveuglée par mes sentiments pour écouter leurs mises en garde, et voilà maintenant où j’en étais.
Pff… Pathétique…
— Viens-en au fait. Qu’est-ce qui te pose problème exactement ?
Oh ben laisse-moi y réfléchir, je ne sais pas moi, tes mensonges, le fait que tu sois considéré comme l’un des pires fléaux de la mythologie, un monstre au cœur froid qui ravageait les cités par caprice, le sadique fondateur du peuple scythe et qui était à l’origine de ses coutumes les plus barbares (y compris la fâcheuse habitude qu’ils avaient de s’abreuver du sang de leurs ennemis à même les têtes décapitées durant les batailles), un exterminateur de vie, de civilisations, un ravageur de mondes, un mégalomane incontrôlable et incontrôlé, je continue ou… ?
Il me dévisagea comme s’il avait pu suivre le cours de mes pensées et déclara en soupirant :
— Rebecca, si ce sont mes pouvoirs que tu redoutes, sache que j’ai renoncé à la plupart d’entre eux en choisissant cette existence. Je ne suis plus que l’ombre du dieu que j’ai jadis été.
J’étais censée faire quoi ? Applaudir ?
— Et ça devrait me rassurer ?
— Qu’attends-tu de moi au juste ?
Je le dévisageais longuement. Peu de relations survivent à une totale transparence. Mais les non-dits dans un couple étaient une chose et la duperie, une autre. Raphael, le vampire que j’avais aimé durant des années n’existait pas. N’avait jamais existé. C’était un mirage, une illusion.
— Rien. Tout ce que je veux, c’est m’en aller.

Source : difunkychronicles.com
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- Peuh ! Nous nous en serions très bien sorties avec ou sans lui, d'ailleurs, nous n'avons aucune perte à déplorer, seulement un blessé léger, poursuit Madeleine d'un air satisfait.
- Léger ? Le bras de Valérie a été arraché, non ? relevai-je.
Elle haussa les épaules.
- Et alors ? Il lui en reste un deuxième, non ?
- Tu as raison, deux bras, c'est très surfait.
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