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Critique de florencem


Un second tome tout aussi bien rythmé que le premier. On continue à suivre les déboires de Sumire qui semble de plus en plus perdue entre son petit ami Hasumi et Momo. Ce qui, je dois bien l'avouer, est assez drôle, même si ses sentiments la font tourner en bourrique. Je pense d'ailleurs que c'est ce qui fait de Sumire un personnage attachant. Même si, personnellement, j'ai dû mal à m'identifier à elle, de part sa relation avec son travail et sa froideur apparente, elle est aussi fragile que n'importe quelle femme. Elle n'est pas seulement le bourreau de travail que tout le monde pense voir.

Ainsi, Yayoi Ogawa nous montre son héroïne sous d'autres angles, et elle devient beaucoup plus humaine. J'adore ainsi la voir disjoncter un petit peu, se rendre compte qu'elle fait des choses vraiment improbables et rester un peu brute de décoffrage à certains moments. Quant à Momo, il est difficile de savoir ce qu'il ressent exactement. Il ne doit pas être facile de rester aussi stoïque face à Sumire qui ne voit pas vraiment le jeune homme qu'il est. Et pourtant, il se montre incroyablement mesurée, jouant son rôle d'animal domestique à la perfection. Mais est-ce que cette situation durera éternellement... ? C'est la question que je me pose déjà après ce deuxième tome. Parce qu'il faut bien se l'avouer, cette situation ne pourra pas durer, alors que se passera-t-il alors ? J'espère juste que Yayoi Ogawa saura continuer sur la même lancée car il serait dommage que la série perde de son intérêt à cause d'une trop grande redondance.
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