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Critique de florencem
Finalement, Yayoi Ogawa s'en sort plutôt bien avec ce tome six, surtout après la bombe lancée dans la fin du tome précédent. Ce n'était pourtant pas évident... Je dois même avouer que cet incident fini même par être totalement effacé au bout de quelques pages. Beaucoup de bruit pour pas grand chose au final, alors qu'au contraire j'avais espéré un peu plus de remue-ménage. Mais enfin, ce n'est pas si grave.
Ce tome reste donc dans la lignée des autres. On voit beaucoup plus Sumire et Takeshi ensemble, ce qui est une bonne chose. J'ai beaucoup de mal avec Hasumi et les quelques pages où il apparaît sont... comment dire... disons que j'aime assez la tournure que prennent certaines choses. A voir comment cela va évoluer.
Nous voyons aussi beaucoup Rumi dans ce tome. Et j'aime bien ce petit bout de femme. Elle a un sacré caractère et les quelques scènes où elle apparaît sont assez mémorables (dans le bon sens du terme). le fait que l'on voit plus aussi Takeshi dans son environnement (à savoir la danse) est aussi une bonne chose. Sumire à beau être l'héroïne, j'apprécie que Yayoi Ogawa mette aussi en avant notre Momo.
Ce tome reste donc dans la lignée des autres. On voit beaucoup plus Sumire et Takeshi ensemble, ce qui est une bonne chose. J'ai beaucoup de mal avec Hasumi et les quelques pages où il apparaît sont... comment dire... disons que j'aime assez la tournure que prennent certaines choses. A voir comment cela va évoluer.
Nous voyons aussi beaucoup Rumi dans ce tome. Et j'aime bien ce petit bout de femme. Elle a un sacré caractère et les quelques scènes où elle apparaît sont assez mémorables (dans le bon sens du terme). le fait que l'on voit plus aussi Takeshi dans son environnement (à savoir la danse) est aussi une bonne chose. Sumire à beau être l'héroïne, j'apprécie que Yayoi Ogawa mette aussi en avant notre Momo.
