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Critique de florencem
Après avoir fini Biorg Trinity, j'ai eu envie de me replonger dans une autre saga de Oh ! Great. J'ai donc jeté mon dévolu sur Air Gear, manga que j'ai lu il y a pas mal de temps déjà, et dont j'en garde un très bon souvenir. le côté shonen sportif va en plus me changer de mes lectures du moment, c'est donc un plus non négligeable.
Comme je m'y attendais, le premier tome étant paru en 2006, nous sommes loin du design soigné et ultra élégant que les fans du mangaka peuvent connaître. le style n'est pas mauvais, loin de là, mais quand on a déjà vu des planches de Oh ! Great assez récemment, il y a un gouffre. Si mes souvenirs sont bons, Air Gear faisant pas loin de trente-cinq tomes, je devrais petit à petit retrouver la fluidité des illustrations d'aujourd'hui au fur et à mesure. Pour l'instant, il faut donc patienter.
Pour les non-initiés de Oh ! Greta, Air Gear n'est pas à mettre entre toutes les mains (une des critiques sur Babelio dit que le manga n'est pas fait pour un contexte scolaire… oui, c'est le moins que l'on puisse dire, et en même temps tous les shônen ne sont pas fait pour les jeunes lecteurs…). Il y a un langage familier, des scènes de violence, d'autres explicites à souhait. C'est du Oh ! Great, cela va de paire avec le mangaka. Pour moi, la cible est plus proche de la fin de l'adolescence.
L'histoire maintenant. J'avoue que ce premier tome à des allures un peu brouillonnes. Je sais que cela va s'améliorer au fil des tomes, mais je pourrais comprendre qu'on ne soit pas hypé avec cette lecture. Tout va un peu dans tous les sens et on a un peu de mal à comprendre l'univers des air trecks. Ce qui ressemble assez au caractère d'Ikki, notre héros, et aussi à son état d'esprit. Un peu comme Soichiro d'Enfer et Paradis, Ikki est un adolescent du genre un peu racaille qui se cherche et qui va trouver sa voie grâce à un sport : les airs trecks sortent de rollers dernière génération qui permettent d'accomplir des prouesses. Et notre jeune héros ne rêve que d'une chose : voler. Mais très vite, on se rend compte que le monde dans lequel il vient de plonger a non seulement des règles, mais également une part sombre.
Loin d'être un manga « sportif » classique, ici, on sent rapidement que ce sont plutôt des tournois et des affrontements comme les mangas célèbres : Naruto, One Piece, Bleach… qui vont voir le jour. Pas de compétition dans un cadre scolaire, car c'est la rue qui tient les rênes dans Air Gear. de quoi sortir un peu des sentiers battus.
Un premier tome qui demande à faire ses preuves mais on sent rapidement que l'univers est prometteur. Reste à trouver un bon équilibre dans le récit et à canaliser un peu notre héros.
Comme je m'y attendais, le premier tome étant paru en 2006, nous sommes loin du design soigné et ultra élégant que les fans du mangaka peuvent connaître. le style n'est pas mauvais, loin de là, mais quand on a déjà vu des planches de Oh ! Great assez récemment, il y a un gouffre. Si mes souvenirs sont bons, Air Gear faisant pas loin de trente-cinq tomes, je devrais petit à petit retrouver la fluidité des illustrations d'aujourd'hui au fur et à mesure. Pour l'instant, il faut donc patienter.
Pour les non-initiés de Oh ! Greta, Air Gear n'est pas à mettre entre toutes les mains (une des critiques sur Babelio dit que le manga n'est pas fait pour un contexte scolaire… oui, c'est le moins que l'on puisse dire, et en même temps tous les shônen ne sont pas fait pour les jeunes lecteurs…). Il y a un langage familier, des scènes de violence, d'autres explicites à souhait. C'est du Oh ! Great, cela va de paire avec le mangaka. Pour moi, la cible est plus proche de la fin de l'adolescence.
L'histoire maintenant. J'avoue que ce premier tome à des allures un peu brouillonnes. Je sais que cela va s'améliorer au fil des tomes, mais je pourrais comprendre qu'on ne soit pas hypé avec cette lecture. Tout va un peu dans tous les sens et on a un peu de mal à comprendre l'univers des air trecks. Ce qui ressemble assez au caractère d'Ikki, notre héros, et aussi à son état d'esprit. Un peu comme Soichiro d'Enfer et Paradis, Ikki est un adolescent du genre un peu racaille qui se cherche et qui va trouver sa voie grâce à un sport : les airs trecks sortent de rollers dernière génération qui permettent d'accomplir des prouesses. Et notre jeune héros ne rêve que d'une chose : voler. Mais très vite, on se rend compte que le monde dans lequel il vient de plonger a non seulement des règles, mais également une part sombre.
Loin d'être un manga « sportif » classique, ici, on sent rapidement que ce sont plutôt des tournois et des affrontements comme les mangas célèbres : Naruto, One Piece, Bleach… qui vont voir le jour. Pas de compétition dans un cadre scolaire, car c'est la rue qui tient les rênes dans Air Gear. de quoi sortir un peu des sentiers battus.
Un premier tome qui demande à faire ses preuves mais on sent rapidement que l'univers est prometteur. Reste à trouver un bon équilibre dans le récit et à canaliser un peu notre héros.
