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Critique de Rhodopsine
Défi ABC 2019-2020
Un livre acheté dans un salon (Soissons).
Un gros atout pour ce roman: il est court (150 pages "net), et écrit gros, comme on disait jadis. Et c'est amplement suffisant, parce qu'accumuler davantage de clichés en si peu de pages relèverait de l'exploit. Autre qualité, non négligeable à mes yeux: les dialogues si peu crédibles qu'ils déclenchent une gymnastique faciale, vocale et laryngée inopinée. Une thérapie par le rire (involontaire certes) pour le prix d'un livre de poche, c'est une affaire, convenez-en.
Pour l'intrigue, en deux mots: David est au lycée, en vrai il s'appelle Jennifer, il disparaît et bien sûr, sa gentille doctoresse Mars et ses gentils amis se lancent à sa recherche, ça se passe dans l'Aisne, il y a une jolie maison, des pâtures, quelques vaches, un gros camion, des motos, des méchants... voilà, voilà...
Un livre acheté dans un salon (Soissons).
Un gros atout pour ce roman: il est court (150 pages "net), et écrit gros, comme on disait jadis. Et c'est amplement suffisant, parce qu'accumuler davantage de clichés en si peu de pages relèverait de l'exploit. Autre qualité, non négligeable à mes yeux: les dialogues si peu crédibles qu'ils déclenchent une gymnastique faciale, vocale et laryngée inopinée. Une thérapie par le rire (involontaire certes) pour le prix d'un livre de poche, c'est une affaire, convenez-en.
Pour l'intrigue, en deux mots: David est au lycée, en vrai il s'appelle Jennifer, il disparaît et bien sûr, sa gentille doctoresse Mars et ses gentils amis se lancent à sa recherche, ça se passe dans l'Aisne, il y a une jolie maison, des pâtures, quelques vaches, un gros camion, des motos, des méchants... voilà, voilà...
