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Critique de Ladilae
Bakuman, ou une plongée dans le monde cruel de l'édition de manga. Il aura fallu 20 tomes au duo pour boucler cette série qui m'en aura appris énormément sur les coulisses de la création de manga. de nombreux thèmes auront été traités, remettant souvent en question le système éditorial en place, le critiquant souvent, mais le faisant toujours sortir gagnant face à d'autres systèmes de création. On peut reprocher un texte trop bavard, des bulles trop présentes, trop remplies de textes minuscules. Les plus courageux auront continué la lecture jusqu'au bout, pour découvrir une fin de happy end, qui n'est finalement que le début d'une nouvelle aventure. Avec un goût de "on prend les mêmes et on recommence". On referme la dernière page en souhaitant une bonne continuation à toute cette flopée de personnages que l'on a découvert et apprécier et on se demande bien, après deux séries aussi différentes l'une que l'autre que Death Note et Bakuman, ce que vont bien pouvoir nous réserver leurs auteurs ensuite.
