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4,35

sur 1980 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ryuk, un Dieu de la mort, s'ennuie dans le monde des morts. Il décide de laisser sur Terre deux Death Note, car il trouve beaucoup plus palpitant d'observer un être humain, choisir ceux qui vont mourir.

Dans ce premier tome, Light, jeune lycéen trouve un Death Note. Il veut s'en servir pour faire le bien, en "tuant" de grands criminels...

La richesse de ce manga tient surtout sur les grandes questions éthiques : en voulant tuer les criminels, ne devient-il pas lui-même un grand criminel? Ryuk se pose beaucoup de questions sur les choix de Light, qui se montre d'une ingéniosité remarquable ( parfois la limite de la sociopathie). On se demande parfois s'il aura une limite dans l'étouffement de la criminalité ou si elle va s'étendre à des petits choses qu'il jugera inacceptable de manière subjective. Ryuk restera impartial mais très intéressé par les motivations de l'humain.
Beaucoup de textes dans ce manga très intelligent qui mérite toujours autant d'éloges.
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Un jour , Light, un lycéen modèle et "ordinaire" tombe sur un objet extraordinaire qui va faire basculer son destin : le Death Note. Un cahier 'magique' dans lequel le nom des personnes que l'on consigne meurent. Un objet bien funeste mais qui fait miroiter à l'adolescent obéissant la possibilité de faire un monde juste dans lequel les criminels subiraient la loi du Talion de plein fouet. Mais pour exercer ce pouvoir, Ryuk, le Dieu de la Mort qui a "égaré" ce carnet veille au grain....

Il y a un moment que je voulais tester cette série, et je ne regrette absolument pas !
Bien sûr, on reste dans un shônen, donc je déplore le côté caricatural et godiches des personnages féminins, mais bon... A contrario, il faut admettre que les différentes expressions du visage de Light sont très variées et chacune d'elle est vraiment bien travaillée. En revanche, le visage de clown morbide complètement figé de Ryuk a de quoi faire flipper !! de plus son allure gothico-punk tranche nettement avec l'allure d'élève modèle de Light. Cet élément graphique renforce la sensation que Ryuk est en fait la face sombre de Light (on notera bien sûr l'ironie du nom prophétique du personnage).
Au-delà des réelles questions sociétales ou philosophiques que cette histoire peut soulever, le scénario permet de mettre en scène les visions utopiques (un peu noir et blanc) qu'on les adolescents lorsqu'ils quittent le monde de l'enfance et ses représentations. Bien sûr la figure parentale qui corrige et rappelle que tout n'est pas tranché est bien présente dans ce récit... Comme Spiderman, Light apprend qu'avoir un pouvoir (quelconque) en main amène des responsabilités et que nos choix ne sont pas toujours si aisés qu'ils y paraissent.

Une lecture que j'ai vraiment apprécié et ai hâte de poursuivre.
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Light Yagami, jeune lycéen trouve un cahier : le "Death Note". Il s'aperçoit très vite que ce cahier lui permet de tuer n'importe qui pourvu qu'il connaisse son nom et son visage. Light Yagami, bientôt surnommé Kira par les médias, décide de tuer les malfaiteurs pour créer un monde meilleur.

J'ai lu ce manga absolument par hasard, et je me suis rendu compte qu'il était vraiment connu ! Et il le mérite bien.
Le scénario, mélange de policier et fantastique, fonctionne très bien. J'ai même été scotchée dès les premières pages, chose plutôt rare. le dessin est beau, réaliste. Et il y a un discours philosophique sur la notion de pouvoir.
De quoi passer un vrai bon moment ! A conseiller également à ceux qui n'ont pas vraiment l'habitude du manga mais qui aimeraient en découvrir.

Comme je n'ai pu emprunté la suite à la médiathèque, j'ai continuée ma "lecture" avec les anims. Pouvais pas attendre, pire qu'avec le chocolat !Je les trouve pas mal du tout et fidèles (du moins pour ce premier volume).

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Dans ce manga on n'est pas du tout au pays de Candy. L'ambiance est très sombre et plutôt pessimiste. Que feriez-vous si vous aviez le pouvoir de vie et de mort sur les autres êtres humains ? Light, lycéen de 17 ans, ne s'est pas posé la question pendant très longtemps. Il a essayé le Death note, sans trop se poser de question. Son objectif : créer un nouveau monde en éliminant les criminels. Il s'octroie donc le rôle de juge et de bourreau. Et rien ne l'en empêchera, même pas les innocents. Etait-il mauvais au départ? Ou bien est-ce l'influence du Death note et du dieu de la mort qui l'accompagne? L'auteur le parti pris de l'humain et de son ambition. de quoi alimenter de nombreuses réflexions.
(...)
Lien : http://www.leslecturesdemari..
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Je ne pensais pas lire cette série, dont j'avais vu le film il y a quelques années et que je n'avais pas du tout aimé. Mais comme une amie me les a prêté, je m'y suis mise.

Light est un lycéen en dernière année. Il découvre un jour un cahier bien étrange : le Death Note. Si on écrit le nom d'une personne dedans en pensant à son visage, elle mourra quelques minutes plus tard. Des tas de règles se rajoutent au fur et à mesure de l'histoire rendant le jeu plus intéressant et augmentant les possibilités. Ainsi il est possible de pouvoir voir le nom d'une personne rien qu'en voyant son visage, ce qui est un avantage indéniable, mais en contre partie il faudra abandonner la moitié du reste de sa durée de vie.

La personne qui possède le Death Note est tout le temps accompagné d'un shinigami, un dieu de la mort, à qui appartient le Death Note. le shinigami du Death Note de Light s'appelle Ryuk et adore manger des pommes. Il est le seul à le voir ... tant que personne d'autre ne porte la main au Death Note.

Light décide, après quelques essais, de ne s'en prendre qu'aux criminels : il les fait mourir d'une crise cardiaque. Ceci ne manque pas d'attirer l'attention des autorités qui devient vite convaincue qu'elles ont à faire avec un nouvelle sorte de meurtrier. La police décide donc de faire appel à L, une sorte de génie dont personne ne connait l'identité et de monter une cellule d'enquête pour pister celui que tout le monde appelle désormais Kira.

Ce que j'ai vraiment aimé dans la série, ce sont les jeux entre l'et Kira. C'est une véritable partie de jeu d'échec qui se joue-là : chacun essaie d'anticiper les coups de l'autre et de prévoir ce que l'autre pense de ce qu'il pense penser. C'est très chouette mais assez répétitif donc on finit par s'en lasser.

Un autre point intéressant, ce sont les réflexions autour de la question de la justice et du Bien et du Mal. Plein de questions sont posées sur la conception de la justice des uns et des autres : Kira qui tue des criminels dans le but de rendre le monde meilleur, mais ça le rend fort orgueilleux, désirant égaler voire dépasser les dieux de la mort. l'est contre les agissements de Kira : un meurtre reste un meurtre même si la victime est lui même un meurtrier, mais à côté de ça, il n'hésite pas à transgresser des lois pour attraper Kira et on a le sentiment que s'il veut l'attraper c'est davantage pour gagner la partie d'échec que pour sauver l'humanité d'un dangereux criminel. Les deux personnages principaux sont donc en niveau de gris, même si on ne peut leur dénier un manque total d'empathie.

J'ai dévoré les trois premiers volumes. Mon intérêt a été diminuant entre le 4ème et la moitié du 6ème puis est remonté jusqu'au 3/4 du 7ème tome pour de nouveau redescendre. Je ne suis vraiment pas sûre que je lirai la suite. La mort d'un des personnages intéressants dans le 7, la lassitude quant à la répétition des jeux de "c'est qui qui sera le plus malin entre l'et Kira" et l'impression d'avoir fait le tour des possibilités offertes par le Death Note me font dire qu'il vaux mieux arrêter sur une note positive que de forcer la lecture pour connaître à toute force le destin final de Kira.

A noter que je me suis retrouvée à lire les tomes 4 à 7 ... en anglais. Lire les trois premiers tomes d'une série en français, ouvrir le quatrième et se rendre compte qu'il est anglais : un excellent moyen de se mettre à la lecture en anglais ! Bref, j'ai continué, sans aucun problème, le niveau de vocabulaire n'est vraiment pas difficile, les phrases sont courtes et les images aident à contextualiser.
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Le Death Note fais parti de ces mangas qui sont intemporelles. Comment un jeune étudiant brillant, intelligent et premier de sa classe récupère un carnet se nommant le Death Note et ayant la capacité à faire mourir la personne dont on le dois inscrire le nom, à certaine conditions bien entendu, il utilisera ce carnet pour faire régner la justice en tuant tous les criminels.

Light l'étudiant en question est lui même accompagné d'un Dieu de la Mort, en effet c'est l'ancien propriétaire du Death Notes il et va lui en expliquer toutes les facettes.

Face à cette vague de meurtres, la police ne trouve pas de solutions. Il doivent faire appelle à un certain L, un personnage aussi étrange que mystérieux.

Le Death Note est un incontournable de la lecture des mangas tant c'est oeuvre est devenu culte avec le temps avec son côté sombre et psychologique. Light utilise le Death Note pour tuer tous les criminels qui mérite de mourir, il se proclame être la justice mais au final fait il le mal ou le bien ?
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Manga acheté par mon aîné et dont la lecture m'a été conseillée par mon cadet. Sans cela, peu sûr que je m'y serais plongée.

Carnet de la mort perdu par un dieu qui incarnerait celle-ci, trouvé par un écolier un peu zèbre, qui va y trouver une excellente occasion de jouer au justicier. Il y inscrit les noms des grands criminels qui décèdent plus ou moins instantanément. Mais est-ce bien de vouloir éradiquer de l sorte le mal ? En tuant ceux qui ont été jugés et condamnés ou tout au moins suspectés ou désignés comme criminels ? Question morale à laquelle il n'est pas vraiment répondu même si toutes les polices recherchent l'auteur des homicides.

Je lirai certainement un deuxième volume pour voir l'évolution. Je vous tiens au courant pour ceux que cela intéressera.
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J'avais vu les anime et même le film il y a un moment.
Je redécouvre donc cette histoire au travers du manga.
Le tome 1 est brillant.

Ce qui m'a le plus surpris : la quantité d'éléments de l'intrigue qui sont posés dans ce tome.

Tous les personnages clefs sont introduits. La confrontation est déjà bien établie avant la fin du tome.
Le jeu d'échec est en place.

Toutes les pièces ne sont pas encore présentent, mais les règles du jeu, les rois, fous tour et cavalier sont là. La partie va être serrée

Le dosage policier, fantastique est bien dosé. Je connais pourtant déjà l'intrigue et une partie de l'histoire, mais j'ai hâte de lire la suite !
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Le bouquin du jour : Death Note, de Takeshi Obata et Tsugumi Ohba ( Manga )

Intelligent et machiavélique, ce sont les mots qui me sont venus à la lecture du premier volume de cette série culte du Manga.
Je suis impatiente de lire la suite. Comme Ryûk, le dieu de la mort, je suis surprise de la façon dont Light utilise le carnet. C'est haletant !

#DeathNote #Manga #Obata #ohba #chroniques #lecture #livres


Le quatrième de couverture :

Light Yagami ramasse un étrange carnet oublié dans la cour de son lycée. Selon les instructions du carnet, la personne dont le nom est écrit dans les pages du Death Note mourra dans les 40 secondes !! Quelques jours plus tard, Light fait la connaissance de l'ancien propriétaire du carnet : Ryûk, un dieu de la mort ! Poussé par l'ennui, il a fait entrer le carnet sur terre. Ryûk découvre alors que Light a déjà commencé à remplir son carnet...
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Ah, la rentrée...

Les hordes d'étudiants amorphes qui se dirigent comme des zombies vers leur lycée, la vieille colle Cléopâtre dont l'odeur d'amande te fait vivre un orgasme olfactif, sans oublier le visage gris de Monsieur Vincent, prof' de lettres de son état mais qui n'est qu'une pâle contrefaçon de Monsieur Chabance, prof' de lettres communiste et brassensophile extraordinairement extraordinaire, mais là je me répète.

Ah... Ça m'aurait presque manquée.

Alors, quoi de mieux que la rentrée et le rush qui va avec pour s'atteler à de la lecture plus légère ?

J'ai entendu dans le fond « Un séjour à l'hôpital », et « une semaine de vacances à Périgueux chez Tante Odile ».

J'ai vraiment un lectorat perspicace. Que je ne mérite absolument pas.

Donc, oui, au lieu de ranger mes fiches Bristol par couleur et de descendre acheter un stock de Redbull qui me soutiendra lors de mes révisions vespérales, oui, au lieu de jouer à la Galette-Saucisse studieuse, j'ai ouvert un manga.

Même pas un roman classique du XIXe. Non, un manga.

- Tu files du mauvais coton, la galette, m'informes-tu, car tu te soucies de mon avenir.

Oui, c'est vrai, je file un mauvais coton. Mais ça, ma mère le sait déjà.

Alors, pourquoi en arriver là, à lire un bouquin que se lit à l'envers ?

Bonne question. Va demander ça à mon frère.

Mon petit frère, donc, ne figure pas encore dans le GaletteSaucisse Cinematic Universe. Ainsi, rapides présentations.

Il a onze ans, il est inculte mais il cite les Inconnus sur le chemin de l'école (« Aimez-vous les uns les autres, bordel de merde »), et il lit peu. A part ça je l'aime quand même.

Donc, hier, en tentant de reprendre les Tri Yann sur ma guitare, j'en pète une des douze cordes. Sol aigu. Ce qui m'emmerde.

Ça m'arrive quelquefois de péter une corde, donc dans ces moments-là, même Philippe mon chien comprend qu'il vaut mieux se tirer. Mais Philippe est très intelligent.

Mon frère, bravant cette règle non-écrite, fait irruption dans la pièce et me tend ce livre.

(Note : Ma mère dit qu'il est téméraire, mais moi je crois plutôt qu'il est un peu con.)

- Tiens, la galette. C'est un peu bizarre, mais vu que t'es bizarre aussi, ça va te plaire.
- Dégage si tu veux pas te retrouver avec une anthologie de Popeck dans la gueule.
- Je te jure que tu vas aimer.

Cette dernière phrase m'a rappelée un souvenir pas si lointain.

Celui de Bonne-Maman me tendant le Paradoxe de Casanova – que j'ai critiqué récemment, donc si tu as du temps à perdre, fais-toi zizir, tu peux aller y jeter un coup d'oeil, mais c'est vraiment parce que c'est toi.

Etant donné que le Paradoxe, malgré une couverture dégueulasse, ne fut pas une si mauvaise expérience – 4 étoiles, c'est rare de ma part, mais faut dire que le système pileux de l'auteur fausse un peu ma note –, je me dis que je vais laisser une chance à mon frère.

Une fois la corde changée, parce qu'il faut pas déconner, on n'est pas des sauvages tout d'même, non ?

Et puis, une dizaine de minutes plus tard, je me pose dans le fauteuil, ce pot de colle de Philippe à mes côtés, comme de juste. Et c'est parti.

Bon, alors, qu'est-ce que donc que ce bouquin-là ?

C'est un manga. Genre inconnu pour ma part. Il te faut déjà comprendre comment ça se lit, donc au début tu comprends pas grand'chose, mais une fois que tu as pris le pli, c'est dans la poche.

Les dessins, bien sûr, n'ont pas de couleur, nan mais je précise au cas où, voilà, cela dit vu que le thème est très noir, ça ne choque pas.

- Et l'histoire, dans tout ça ?

Calme-toi, j'y viens.

C'est un lycéen, qui s'appelle Light malgré ses « yeux bridés et sa face de citron », comme eût dit le grand Didier Bourdon (je préfère préciser sinon je vais encore me faire engueuler).

Signe particulier du garçon : C'est un habitué des premières places aux examens nationaux. Donc il pèse.

Un jour, ce garçon trouve un carnet par terre. Comme ferait tout un chacun, il le ramasse.

Et c'est là qu'il se rend compte que, grâce à ce carnet, il peut choisir de tuer n'importe qui de la manière qu'il désire, pourvu qu'il prenne la peine de prendre son stylo et d'y noter son nom. D'où le nom de « Death note ». (Ça veut dire « Cahier de la mort », en français. Je précise au cas où tu avais 8 de moyenne en anglais au collège)

« Death Note », j'admets que ça a plus de gueule en anglais, mais j'attends de voir ce que ça donne en esperanto.

Comme Light est un petit filou qui crache à la gueule de Badinter, il se dit qu'il va buter tous les criminels, à commencer par les gros dangereux, puis peu à peu les délinquants.

Histoire de faire un monde mignonnet où tout le monde s'aime parce que tout le monde est gentil. Trop bien.

Aidé du propriétaire du carnet (une sorte d'Ange de la Mort un peu gothique qui doit se scarifier en écoutant Tokyo Hotel), il va tenter de continuer la mission qu'il s'est imposée tout en évitant de se faire pincer.

Autre signe particulier du garçon : Son daron, c'est le chef de la police.

Enfin, j'ai pas bien compris, mais en gros le padre est haut placé chez Interpol édition Japon. Et il a une moustache, aussi. Nan mais je précise pour te mettre dans le bain.

En plus d'être assez bien développée et agrémentée de dessins qui font pâlir de désespoir mes vieux bonhommes-bâtons sur Paint, l'idée de scénario est sympa.

Après, sans pour autant faire comme Monsieur Chabance et mettre une grande photo de Robert Badinter sur le mur, je ne suis pas super partisane de la peine de mort. Donc l'idée d'utiliser un tel carnet pour faire des trucs pareils, c'est pas trop mon délire.

du reste, c'est possible que je dise ça parce qu'intérieurement, j'enrage de ne pas avoir un tel objet entre mes petites mains potelées.

le gamin du troisième qui s'amuse à botter le cul de Philippe quand j'ai le dos tourné ? Paf, je lui colle un tonton neuneu façon Bernard Laroche, et ça finit dans la Vologne.

Et monsieur mon voisin fétichiste des chants de messe le samedi à 7h30 ? Paf, crise cardiaque pendant des jeux coquins mettant en scène un crucifix et un cierge à Sainte Rita, de quoi faire marrer pour les vingt prochaines années les pandores intervenus pour constater le décès.

Et la petite vieille qui essaie de payer en francs ses vingt-huit paquets de litière pour chat quand juste derrière je tente de faire passer un pauvre paquet de pâtes ? Paf, je la... je la... je la fais mourir de vieillesse, dans l'amour de ses proches et de ses trente-deux chats. On ne badine pas avec les vieux, merde.

Enfin voilà, tout ça pour dire que, oui j'ai lu un manga, oui mon frère avait raison, et non je n'ai pas envie de descendre acheter ces putains de cannettes de RedBull. D'où mes divagations qui retardent l'échéance.

Mais je n'ai plus rien à dire, hormis te conseiller de jeter un oeil sur cet ouvrage si tu dois offrir un cadeau à ton neveu de treize ans, qu'il se scarifie sur Tokyo Hotel ou pas.

Avis, donc, aux intéressés.
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