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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Nous avions laissé Arte préceptrice à Venise de la petite Caterina, une jeune aristocrate semble-t-il bien capricieuse, qui ne voulait pas se plier à l'étiquette de sa condition. Si Arte a bien vite découvert la passion de Caterina, la cuisine, elle ne comprend toujours pas pourquoi la petite-fille s'obstine à ne pas se plier au savoir-vivre aristocratique et à cacher sa vraie nature à ses parents. Une situation qui, Arte le voit bien, rend Caterina malheureuse. C'est finalement Youri qui répond aux interrogations de la jeune peintre en lui révélant le passé de la petite vénitienne.

Ce nouveau tome est entièrement consacré à la petite Caterina. Révélations sur son enfance à la campagne et sur son retour auprès de ses parents… c'est l'occasion pour le lecteur d'en découvrir plus sur cette petite-fille qui a vécu une véritable déchirure. Arte met tout en oeuvre pour l'aider et faire en sorte que Caterina surmonte son passé.
Son histoire personnelle permet également de découvrir comment les filles étaient considérées dans le milieu aristocratique à l'époque : sans aucun intérêt pour le chef de famille si ce n'est lorsque la question de la dot se pose. Si l'on suit l'exemple de Marco, le père de Caterina, c'est au mieux soit un bon mariage (où l'on parle avant tout rentabilité), soit le couvent (bon débarras). Pauvre petite-fille riche…C'est certainement pour moi le tome le plus émouvant et le plus triste depuis le début de la série.
Côté graphisme, le plaisir est toujours le même : jolies tenus, beaux décors, personnages aux silhouettes agréables.


Encore une fois une très bonne suite et un manga qui continue sur son succès.
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La glace est rompue entre Caterina et Arte : on en découvre un peu plus sur son enfance et notamment les relations mère-fille quasi inexistantes de l'époque.
Une histoire toujours aussi plaisante et des dessins somptueux, magnifiquement détaillés.
J'ai hâte de lire la suite!
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J'ai dévoré ce sixième volume qui éclaire la vie de Caterina, la fillette dont Arte est devenue la préceptrice.
Le début du livre raconte son enfance et comment elle a été confiée à une nourrice à la campagne parce que son père ne voulait qu'un héritier mâle.
On découvre le caractère bien affirmé de la demoiselle dès son plus jeune âge mais aussi la relation fraternelle qu'entretenait avec elle le fils, Gimo, de sa nourrice, Bona, et toutes les valeurs et savoir-faire que cette dernière lui a transmis.
Arte comprend que Caterina est tiraillée entre cette enfance dans un milieu social inférieur au sien mais qui représentait l'amour familial à ses yeux et ce que ses nobles parents attendent d'elle sans se soucier de ses goûts et aspirations.
Heureusement qu'oncle Youri veille !
J'adore toujours autant la richesse des personnages et leur humanité. Arte est tellement positive, énergique, astucieuse et bienveillante...
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Une excellente lecture !

C'est une excellente lecture. J'adore. La.e lectrice.eur quitte la peinture pour l'aristocratie vénitienne ainsi que l'éducation des femmes de bonne famille. C'est une histoire touchante et émouvante.

Enfance mystérieuse !

Caterina, la nièce de Youri Fariel, est une jeune fille secrète. Elle ne parle pas beaucoup de son enfance à la campagne. Seulement, Arte n'est pas prête à lâcher prise. Elle compte bien questionner le personnel de la maison Fariel notamment Dafné. Dafné est une autre belle énigme et une belle personne. Arte fait preuve de courage et d'effronterie, elle ferait tout pour cette petite. Elle s'y est affectionnée. Que s'est-il passé dans l'enfance de Caterina ? Pourquoi est-elle aussi distante avec sa mère ? Les réponses à ces questions étaient au dessus de mes attentes.

Un tome de transition !

Il marque une transition riche. Il est plus centré sur la vie des aristocrates surtout les chaînes sociales qui régissent leur vie notamment celle des femmes. Seulement, l'expérience professionnel d'Arte et son indépendance d'esprit l'empêchent de se taire et de courber l'échine devant les hommes. Elle est rebelle, passionnée et passionnante. Quelle fougue !

En résumé : C'est un excellent tome de transition rempli de mystère et de réponses plus qu'appréciées. J'ai adoré.

Lien : https://lesparaversdemillina..
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Un tome entièrement consacré à la petite Caterina.
On en apprend plus sur son (tout jeune) passé, l'histoire de sa naissance, son envoi à la campagne auprès d'une nourrice.
On comprend enfin pourquoi cette petite fille est si mal auprès de ses parents et refuse d'obéir aux codes de sa condition.

La visite de la petite fille et Arte sur l'île de Murano m'a enfin réconciliée avec les graphismes (des décors, les personnages et vêtements ont toujours été très détaillés et jolis).

Nous savons tous que les nobles n'éduquait pas leurs enfants, que ces derniers étaient systématiquement confiés à des nourrices, on pouvait deviner la souffrance de la mère mais ici on voit à quel point cette situation était également compliqué pour l'enfant, la nourrice et la famille de celle-ci.

Dafne quant à elle prend un peu plus de place dans l'histoire et j'en suis ravie. Son personnage est particulièrement mystérieux et intéressant.

Arte enfin retrouve toute sa verve en osant défier le maître des lieux. C'est l'occasion pour elle de faire un petit retour sur son passé.
J'ai été ravie de pouvoir revoir Leo et Angelo, tous deux bien en manque de leur aristo déjantée préférée.

Un bon tome, qui donne envie d'enchaîner de suite avec le 7ème.
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Dans ce sixième tome, Arte cède sa place à son élève, Caterina, qui tient le premier rôle. On découvre notamment comment elle a été élevée par sa nourrice, Bona, à la campagne. On pourrait penser à une digression qui nous éloigne de l'itinéraire d'Arte. C'est au contraire très intéressant et cela réfléchit le parcours féministe de l'héroïne. On est en plein coeur de la problématique de la série : comment s'affirmer quand on est née femme dans une société patriarcale ? En outre, le flashback permet une fois de plus à Kei Ohkubo d'exceller en tant qu'illustratrice en nous peignant tour à tour le cadre bucolique autour de Venise avant d'y revenir, puis l'île de Murano, et à la fin du volume, on retrouve brièvement la ville de Florence. Les scènes d'intérieur et d'extérieur se succèdent à vive allure alors que le discours se fait engagé, toujours aussi respectueux de la réalité historique bien que les valeurs morales portées par Arte soient en avance sur son temps, mais le dossier en fin de volume précise les libertés prises par la mangaka. C'est toujours aussi frais et agréable à lire, aussi divertissant qu'intéressant.

Lien : https://www.instagram.com/fo..
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Après avoir quitté Arte et Caterina à la fin d'un tome 5 qui m'avait d'ailleurs énormément plu, j'étais plus que ravie de les retrouver pour la suite de leurs aventures et franchement, ce tome-ci est de loin mon préféré pour l'instant, et ce, même si Léo n'est toujours pas de la partie et qu'on s'éloigne quand même un peu de l'univers de la peinture.

Comme dans le tome précédent celui-ci est en effet plus axé sur la relation qu'entretient Caterina avec Arte ainsi que sur le nouveau métier de préceptrice de cette dernière, et même si Arte reste foncièrement la même et qu'elle n'a pas changé d'un iota, ce tome-ci est lui par contre un peu moins « léger » que les autres et fait vraiment la part belle aux émotions au travers d'une histoire beaucoup plus touchante, voir même un peu tristounette.
Bref, j'ai adoré.
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Une nouvelle lecture magnifique et touchante, qui m'a de nouveau mise au bord des larmes (your name 2 m'a fait cet effet). Des magnifiques et l'occasion de mieux comprendre Caterina.

Arte sur cette couverture semble flotter dans sa robe.
J'ai toujours un peu de mal avec l'ancienne façon de faire des aristocrates, de ne pas d'occuper directement de leurs enfants, d'y penser comme un moyen d'arriver à certaines fins, de souhaiter un garçon à tout prix. Il y a quelque chose de vraiment abominable, tout comme le fait de marier une fille de 12 à 20 ans avec un vieux, souvent de 2 fois son âge.
Ici, on découvre la naissance de Caterina et comment elle a été confiée à une nourrice Bona, et envoyées à la campagne, pour son "bien", pour prendre l'air, pour avoir du bon lait. Sofia, la maman de Caterina a été alitée un moment, et a également dû se concentrer sur le fait de donner un fils à son mari, Marco.
Caterina a eu la grande chance d'avoir un oncle formidable, Youri, qui lui passe beaucoup de choses et lui permet d'expérimenter.
Et surtout lui rend visite.
Bona est sa nourrice, elle avait plein de lait, un fils de 2 ans, un mari. Si j'ai bien suivi, elle a emmené son fils mais laissé son mari, dur aussi. Elle est très volontaire, très travailleuse et pleine d'énergie, à sa manière elle est épatante. Elle aime beaucoup Caterina, et a peur de lui laisser faire certaines choses, elle arrive aussi à ne pas oublier « sa place ». Caterina, Gimo (le fils de Bona) et Bona ont l'air de former une famille.
Caterina veut tester plein de choses, et fait des crises de pleurs dès qu'elle n'a pas gain de cause.
Un jour, alors que beaucoup de temps a passé et après une tragédie, elle est rappelée chez elle. On comprend bien que Caterina ne sent pas comme chez elle, qu'elle est déboussolée, d'où elle a adopté ce comportement.
Arte le comprend bien maintenant aussi et va tenter de lui faire comprendre qu'il faut l'accepter et avancer. Il va également n'en pouvant plus commettre une action dangereuse en disant ces quatre vérités à Marco, et à Sofia.
Caterina pourra-t-elle accepter son passé et enfin avancer dans sa vie ? Trouver sa place auprès de sa famille biologique ?

J'ai également adoré me promener à Murano, avec la verrerie *o*
Le dernier chapitre est consacré à Léo, qui a sa tête de tueur, et nous apporte un peu de fraîcheur, relâche la pression et nous fait rire.

Une pépite tant au niveau de l'histoire que du sublime graphisme. C'est toujours avec un extrême plaisir que je retrouve Arte.
Evidemment, une série que je conseille très chaudement.

Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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Dans un précédent article, je vous parlais des cinq premiers tomes du manga Arte pour lequel j'avais eu un énorme coup de coeur.
J'ai récemment eu l'occasion de lire la suite et j'ai eu envie de taper sur le clou une seconde fois, pour vous donner envie de lire ce manga.

Dans le tome 6, Arte se trouve donc toujours à Florence, afin de faire le portrait des membres de la famille Fariel, mais surtout pour s'occuper de la jeune Caterina.
L'histoire de la petite fille m'a littéralement bouleversée ! Si au départ elle donne l'impression d'être une gamine pourrie-gâtée et capricieuse, plus on en apprend sur elle, plus on l'apprécie.
De plus, Arte mène évidemment l'enquête en même temps que nous et fait tout son possible pour rendre Caterina heureuse.

Encore une fois, on se retrouve face aux réalités concernant la condition des femmes à cette époque, mais le tout fait également échos à notre propre époque et aux différences qui existent encore entre les hommes et les femmes dans notre société.
Ainsi, malgré l'époque dans laquelle se déroule l'histoire, on peut facilement s'identifier aux personnages et faire des parallèles avec notre vécu.

Cela confirme encore plus mon coup de coeur pour cette saga !
Lien : http://www.cranberriesaddict..
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Arte est toujours à Venise en compagnie de la jolie Caterina. On apprend pourquoi cette jeune fille est si meurtrie et si dure dans la vie quotidienne. Aucun caprice mais, un lourd passé pour une petite fille. On en apprend également plus sur Arte et sur son passé. C'est agréable d'apprendre à connaître encore mieux le personnage principal.

Kei Ohkubo nous emmène de nouveau dans un superbe voyage dans les beaux paysages de Venise et ses alentours. Arte poursuit sa mission sans relâchement et avec une volonté de fer même si parfois elle ose franchir des barrières dites « infranchissables ». La fin laisse à supposer que son voyage à Venise est fini, qu'elle va rejoindre Léo et un petit apprenti bien épris de la belle Arte …

Pour conclure, un tome génial qui nous donne envie de lire la suite !
Lien : https://lilichoublog.wordpre..
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