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Critique de jovidalens


Je jette l'éponge !
Je sais : c'est l'entraineur qui jette l'éponge ! Mais, je ne suis pas boxeur et en conséquence, je suis bien obligée de la jeter moi même, l'éponge !
Vous préférez "Je rends mon tablier" ? Je le rends !
Et bien c'est vrai. La quatrième de couverture, ...enfin, partiellement ! Je me suis fait piéger, mais par l'ennui, la déception!
M. Ohl, rassurez-moi ... c'est un premier écrit, ressorti de vos tiroirs ?
J'ai des duo-cadeaux : comme "Fahrenheit 451" le livre et le film (quoi que, en ce moment, j'ai quelque problème d'appovisionnement pour ce dernier), ou "La Maison du retour" de J.-Paul Kauffman avec "Les Bucoliques", ou "Monsieur Dick ou le dixième livre" avec une bouteille de Lagavulin (mais ce type de cadeau, c'est vraiment pour mes très chéris!);
Bref, j'ai commencé "Redrum" avec confiance, et je me suis (vite) agacée, ennuyée.
Vous êtes si passionnant lorsque vous parlez de ces merveilleux DVD des classiques du cinéma américain et si ...ampoulé quand vous les evoquez dans ce livre.
Gene Tierney, certes l'héroine de "Laura" et de "Le ciel peut attendre" et de "Péché Mortel", vous en faites une poupée...peut être gonflable, mais...je ne suis pas allée au dela de la 140ème page !
Et Némos, est-ce que, par le pur des hasards, il ne serait pas inspiré, un tout petit peu d'Howard Hughes ?
Quant à la description de la résidence de Némos, l'hologramme de la forêt vierge, elle m'a fait penser à "Days" de james Lovegrove : l'étage forêt vierge avec le tigre.
Et "la sauvegarde " de Némos,a évoqué et "Ubik" et aussi "Ravage" avec les morts momifiès.
Chaque fois que je passe rue des Remparts, je cherche dans quelle boutique le libraire amateur de whisky et de livres de Dickens pourrait bien se situer ; après cela, comment adhérer à ce lénifiant descriptif d'une île déserte aux alentours de l' Ecosse.
J'attendai tant de ce livre "Redrum"...

Plus qu'une solution : noyer ma déception dans un doigt (ou plus, parce que ...affinité) d'un certain whisky, dans un confortable verre de cristal qui rejouira et mon oeil pour la couleur, et mon nez pour le parfum et mon palais...!
Chut !!! ...à la limite de...l'indécence d'un plaisir...solitaire !
Euh..., à la réflexion, il n'est pas si tard... pour rassembler quelques lecteurs autour d'une bouteille de L.
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