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Critique de Alfaric


Séquence émotion :
Vidée de ses rêves et de ses espoirs, consumée par la haine et le désespoir, Douyna redevient littéralement poussière…

Séquence action :
Sinbad et Kôgyoku recouvrent leur revêtemage, passent en mode super-héros à la Saint-Seiya et font une démonstration de leurs forces respectives en déclenchant l'un contre l'autre Focalor et son Foraz Zora et Vinéa et son Vainel Ganezza (la princesse bâtarde assume totalement son ambivalence pour ne pas dire sa schizophrénie en passant sans transition du mode midinette romantique au mode guerrière psychopathe)
C'est un plaisir pour les yeux de nous autres lecteurs, mais les personnages et leur univers entrent eux dans une autre époque où les super-héros décident à eux-seuls du sort des batailles avec leurs Armes de Destruction Magiques…

Séquences humour :
Ali Baba essaye de se la péter en surprenant ses mais, mais il est pris à son propre piège…^^

La team Aladin fait route ensemble jusqu'au continent, mais il retrouve le pays d'Aktia sur le chemin de la guerre, où bandits et pirates s'en donnent à coeur en s'adonnant au pillage et à la razzia tandis que les troupes combattent sur le front… Confrontée à un gang d'adolescent équipé d'armes magiques, elle remonte à leur piste et à celle de leur chef, une dénommée Om Madara qui avec un psychographe lobotomise les enfants enlevés pour s'en faire une armée…

Pas spécialement fan dans le manga de ce petit arc de transition qui reprend celui de Baldad pour annoncer celui de Magnostadt, surtout que mine de rien il sert de foreshawing pour notre alter ego asiatique d'Oreste qui en voulant bien faire est peut-être déjà en train de basculer du Côté Obscur : la voie menant aux enfers est pavée de bonnes intentions…
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