Ce tome 15 est toujours de transition quelque part, mais les choses avancent clairement :
- après avoir été recueilli par les frères Nande (voir l'Arc de Baldaad) qui ont ouvert un casino à Rome, et après avoir vaincu la fière guerrière Toto en duel Ali Baba rejoint les gladiateurs Yambara du sifu Shambal pour résoudre ses problèmes de qi… et c'est sur le sable du Colisée qu'il affronte Galda l'homme-bête. Un bon combat, intense et violent, clairement conçu pour rendre hommage à une scène culte de "Guin Saga", l'équivalent du SdA au Pays du Soleil Levant… En paix avec eux-mêmes, les âmes de Cassim et d'Ali Baba fusionnent pour enfin maîtriser la magie des djinns. (Mais c'est aussi l'occasion de rencontrer deux personnages importants de l'arc suivant : la magi Shéhérazade, pontife suprême de l'empire romain, et Mû Alexius, le prince métis commandant du Bataillon Fanalis)
- après Carthage, Morgiana a ralliée la savane africaine et s'apprête à franchir le Grand Rift pour retrouver la trace du peuple disparu des Fanalis (équivalent des Berbères IRL, mais qui dans le manga jouent un peu le rôle de Saïyens dans "Dragon Ball"), mais au coeur des ténèbres c'est un drôle de personnage qui va devenir son senseï
- dans l'Empire Kô, c'est tous les princes et les princesses qui sont présents pour l'enterrement de l'empereur Koutoku Ren et qui assistent médusée au coup d'Etat de la reine Gyokuen qui a raté le vampage de son beau-fils (oui, je te vois archétype asiatique de la femme vile et fourbe prête à tout et au reste pour mener les pays et les peuples à leur perte ^^) La cour est à deux doigts de se déchirer mais de l'empire est maintenue même si on ne fait que reporter l'échéance…. Cela fait plaisir de revoir Kougyoku Ren la psychopathe midinette, Hakuei Ren qui a fait du peuple mongol son armée lige, ainsi qu'Hakuryû Ren mettant d'ailleurs toutes ses forces dans une tentative d'assassinat contre sa mère détestée qui l'envoie bouler sans sourciller… (Judal se faisant une joie de le guider encore plus loin du Côté Obscur de la Force)
- pendant ce temps, Aladin sort major de promotion du premier kadir de l'université de magie de Magnostadt…
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La diversité des langues empêche la compréhension mutuelle… et crée la division… et la guerre…
...: L'autre jour, j'ai ressenti la fusion entre ta propre force magique et cette autre vie. Et toi, de quoi as-tu pris conscience?
Ali Baba: Eh bien... de ma mission. J'ai longuement réfléchi... pourquoi cette force m'a-t-elle était confiée? Mon pays que je n'ai pas pu défendre... en fait, il ne faut pas attendre que les autres agissent à votre place, c'est justement pour ça qu'"il" m'a confié ce pouvoir. Ma mission est de ressusciter le pays que nous avons perdu! C'est à moi que cela incombe! Et pour cela, il me faut plus de force!
Une magie, une vie, sinon cela contredit la logique de l’univers.
"Tu te contentes donc de haïr ta mère... mais si un jour, tu veux aller plus loin, je te prendrai la main." # Judal à Hakuryû Ren
La rancœur ne s'efface pas ! C'est celui que l'on hait qui doit disparaître !!
Le nouveau shônen historico-fantastique de Shinobu Ohtaka
XVe siècle, Japon. le monde est aux mains des oni, d'effroyables démons pourtant vénérés comme des dieux par le peuple, qui ignore tout de leur nature maléfique ! La vérité, seuls les bushi, de valeureux guerriers, la connaissent. Mais ces combattants sont traités en parias et condamnés à vivre dans la honte, de peur qu'ils ne renversent l'ordre établi. Cela n'empêche pas Musashi de rêver avec Kojirô, son ami d'enfance et descendant de bushi, de parvenir un jour à libérer le Japon en mettant un terme au joug des oni ! Ensemble, ils se sont jurés de fonder le plus puissant des clans de bushi. C'est ici que commence leur quête.
Plus d'informations sur notre site https://www.pika.fr/actualites/orient-samurai-quest-le-nouveau-shonen-de-shinobu-ohtaka
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