Brynhildr in the darkness, tome 14

L'ancien employé de Vingulf, qui était haut placé et avait surtout un rôle de tueur à gâche dans l'organisation a retrouvé la conscience et a fuit les journalistes. Il s'était fait licencié avec une balle dans la tête mais a miraculeusement survécu. Comme tous les évènement avec Valkyria se sont déroulés lors de son comas, il ignore tous ce qui s'est passé et pense qu'il doit encore éliminer les magiciennes en fuite. C'est grâce à l'intervention de Takaya que ces dernières ont la vie sauve. Maintenant qu'il a compris, va-t-il rejoindre Hexenjagd pour se venger de Vingulf ? Pendant ce temps, les maliennes et Murakami retrouve le chemin de l'école. le pauvre garçon doit tenter de gérer les sentiments des jeunes filles qui sont toutes amoureuses de lui et rêve, pour laisser une trace dans l'avenir, d'avoir un enfant avec lui. Vingulf est sur le point de réussir la création d'une nouvelle et surpuissante magicienne mais celle-ci ne semble pas vouloir devenir une tueuse comme le souhaite le centre. Kogoro, l'oncle scientifique de Murakami, commence à avoir de nouvelles ambitions quant à l'embryon extraterrestre…

Ce quatorzième tome est encore une fois un tome trait d'union entre le début de la série et sa suite. Il semble que le mangaka prenne beaucoup de temps à installer ses personnages et la suite de l'histoire. Elle s'annonce complexe mais là, il serait vraiment temps qu'elle soit lancée. Depuis le tome dix, la série perd de son énergie. On sent bien qu'il va se dérouler plein de choses passionnantes mais il faudrait que le scénario prenne un grand coup d'accélérateur. Surtout que maintenant, nous sommes dans l'attente des nouvelles publications. J'ignore le délai entre les prochains tomes, j'espère qu'il ne sera pas trop long. Les dessins sont toujours de qualité égale depuis le début, le trait n'a que peu évolué depuis le premier opus. Je pursuit toujours cette lecture sur Kindle et la numérisation est toujours de grande qualité. J'ai écrit ces critiques après avoir lu les quatorze épisodes en me promettant n'y de ne plus m'engager dans un marathon de critiques et de les écrire épisode après épisode mais je sais que je. Recommencerai encore, ce n'est pas la première fois que je me laisse piéger par l'impatience de la lecture. Je n'ai même pas pris le temps de me relire et je crains que mes textes soient miner de fautes. Pour ne pas oublier le travail que ces écrits mon demandé, je les colle sous cette dernière critique, donc, si vous avez pris le temps de les lire, épargnez-vous la suite de ce texte. Au quinzième opus, dès qu'il paraîtra.

Critiques précédentes :

Tome 1 :

Murakami est un adolescent qui est plutôt doué en science. Il est le seul membre du club d'astronomie de son lycée. Il s'est passionné pour l'observation du ciel car il espère y découvrir la vie extraterrestre. Il le fait aussi en hommage à son amie d'enfance Kuroneko, décédée lors d'une chute accidentelle qu'elle a vécue avec notre héros. Ce dernier était blessé et ce n'est qu'en quittant l'hôpital qu'il a appris la mort de son amie. Or, voilà une nouvelle élève qui se présente à l'école. La jeune fille ressemble de façon troublante à Kuroneko mais s'appelle Neko. Murakami réagit car il est persuadé que c'est elle. le soir, alors qu'il est à l'observatoire, Neko vient lui annoncer que s'il prend le bus, il va mourir. S'il sort de l'observatoire, il y passera aussi. Ce dernier ne teint pas compte de la prédiction quand un glissement de terrain l'entraine vers une mort certaine. Voilà que réapparaît Kenobi qui lui sauve la vie de façon étrange. Incrédule, le jeune homme écoute Keno qui lui avoue qu'elle est magicienne…

Ca faisait-il longtemps que j'avais lu ce manga jusqu'au 12e épisode. Je l'avais oublié et c'est en découvrant la parution des tomes 13 & 14 que je m'en suis souvenu. Je n'avais pas pris le temps de le critiquer. Pourtant, je le trouve passionnant. Les dessins sont plutôt bien réalisés bien que certain traits de visage rendent parfois les personnages un peu froid et qu'il y a quelques erreurs de proportions. Les paysages sont superbes, avec de magnifiques plans larges et de belles perspectives. le scénario, dès le premier épisode semble solide et complexe. Ce premier opus ne peut pas trop de temps à installer l'histoire. On sait de suite que les jeunes filles (et oui, il va y en avoir beaucoup) sont le fruit d'une organisation qui fait des recherchent et des expériences sur les humains. Elle sont classées en fonction de leur pouvoir en classe B, A, AA, triple A et S. Toutes celles qui sont B sont considérée comme des échecs et seront éliminées. C'est le cas de celles qui se sont évadées comme Neko. de plus, en elle croit un être extraterrestre qui leur donne le pouvoir. Pour survivre, elles doivent prendre quotidiennement une pilule ou leur corps se liquéfie et elles meurent. En plus, pour les contrôler, le centre de recherche leur a implanté un harnais. le harnais compte trois boutons, un pour les mettre en position stop, un autre pour l'éjecter ce qui tuerais les « magiciennes » et un troisième qui pourrais leur donner un super pouvoir mais là, les jeunes filles en ignore les conséquences. Dans cet épisode, en plus d'avoir rencontré Keno, Murakami fait la connaissance de Kana, paralytique et c'est elle qui a des visons de l'avenir proche quand il s'agit de morts violentes et aussi Kazumi qui possède le pouvoir de contrôler les ordinateurs à distance. Ce premier épisode s'achève dans une usine informatique où Murakami et Neko tentent de voler des pilules pour la survie des magiciennes. C'est un traquenard. Ils sont piégés par une triple A qui a le pouvoir de les pulvériser à distance ainsi que de remonter le temps de quelques secondes. Bref, un bon départ pour une série qui s'annonce pleine de surprise et de suspens. Lu en numérique sur Kindle avec une très bonne numérisation.

Tome 2 :

Murakami et Neko sont sortis indemne de l'affrontement avec la triple A et ont su dérober des pilules. L'organisation ne supporte pas l'échec de ses magiciennes et à distance, éjecte le harnais de la triple A qui se liquéfie instantanément. de sont corps surgit un être qui ressemble à une larve. Les magiciennes servent de nid à une étrange créature. Malheureusement, le stock de gélules n'est pas aussi fourni que nos héros l'avais espéré. Pour les trois magiciennes hébergées par le jeune garçon, ça représente à peine trois mois de survie. Murakami doute toujours sur l'identité de Keno mais celle-ci est amnésique. de plus, chaque fois qu'elle utilise sont pouvoir, sa mémoire s'efface un peu plus. Kazumi, la troisième magicienne est assez délurée et fantasme sur notre héros ce qui rend jalouse Keno. Keno confie également une enveloppe à Murakami. Elle contiendrait un oeuf extraterrestre fécondé enfermé dans un tube spécial et un agenda électronique. (Vous voyez, ceux qui existait avant les smartphones). Kazumi s'inscrit aussi dans la classe de Murakami et rejoint le club d'astronomie. Pour leur sécurité, elle loge à l'observatoire. C'est alors qu'une nouvelle élève s'inscrit au Lycée, Kotori. Elle est aussi magicienne mais est-ce une amie ou une ennemie ? Cette nouvelle à le pouvoir de se transmuter avec quelqu'un d'autre…

Ce deuxième tome nous en apprend plus sur la mystérieuse et secrète organisation qui a créée les magiciennes. Elle est cruelle et n'hésite pas à tuer les magiciennes rebelles ou fautives. Mais aussi les humains qui apprennent leur existence. Nous découvrons aussi le monstre en devenir dont les jeunes filles sont les hôtes. C'est assez violent mais il y a aussi de l'émotion et beaucoup de bons sentiments dans cette histoire. Murakami n'hésite pas de risquer sa vie pour celles qu'il protège. L'espérance de vie des magiciennes est compromise. Pas beaucoup de gélule, elles sont recherchées pas des magiciennes tueuses. le scénario est toujours aussi dense et le suspens haletant. Jusque là, c'est bien construit et assez logique. Les dessins sont toujours de qualité égale et conservent les petits défauts du premier tome mais ça n'invalide pas l'histoire. C'est vraiment un bon manga, accrocheur.

Tome 3 :

Cette fois encore, c'est de justesse que les jeunes gens sortent victorieux de la confrontation avec une magicienne tueuse. Ensuite, ils décident de garder avec eux la nouvelle, Kotori, capable de se transmuter avec d'autres personnes. Mais, ça diminue de nouveau les jours de survie des jeunes filles en divisant d'avantage les gélules. Murakami Va trouver son oncle, Kogoro, qui est scientifique. Il tente de lui révéler l'existence des magiciennes et lui demande de fabriquer des gélules. Mais ces dernières semblent infalsifiables. Sur l'agenda électronique, Murakami découvre un endroit qui où il pourrait peut-être découvrir des pilules de survie. Mais c'est une ancienne église qui vient d'être détruite. Hélas pour lui, c'est un genre de piège et les policiers viennent l'arrêter avec ordre de l'éliminé. Heureusement pour lui, les magiciennes viennent à son secours mais ils sont toujours sans les précieuses gélules. Pendant ce temps, l'oncle de notre héros découvre que l'oeuf fécondé serait bien d'origine extraterrestre. L'organisation qui a créée les magiciennes ne lâche pas l'affaire et est toujours à la recherche des jeunes femmes…

Ce manga ne baisse pas de rythme et reste toujours intense. le suspens sur l'espérance de vie des magiciennes continue. L'oncle de Murakami ajoute une dimension scientifique à l'histoire. On en apprend aussi un peu plus sur cette organisation qui semble au-dessus des lois et qui aurait même un pouvoir sur les autorités. Nous connaissons sont directeur qui semble être un scientifique sans scrupule et dépourvu d'humanité. Cette organisation a des ressources et des magiciennes tueuses qu'elle utilise pur chasser nos héroïnes. Elle semble être dirigée par un comité de personnes portant des cagoules pour rester dans le secret. le directeur ne serait qu'un employé même s'il a beaucoup de pouvoir et les mins libres pour diriger les recherches et gérer qui vit et qui doit mourir dans son entourage. Les dessins sont toujours bons avec les mêmes reproches que pour les tomes précédents.

Tome 4 :

Ce n'est pas en mourant que les gens disparaissent, c'est lorsqu'on les oublie qu'ils meurent vraiment

Après avoir de justesse échappé au policier, Murakami et les magiciennes regagnent l'observatoire. Son oncle lui demande de rencontrer les magiciennes. Scientifique très cartésien, il doute toujours sur leurs pouvoirs. Il ne trouve toujours pas la solution pour reproduire les gélules. Cette fois, l'organisation envoye une double A accompagnée par un de leur employé. Cette fille, qui s'appelle Nanami possède le redoutable pouvoir de créer, d'effacer, de lire les souvenirs des gens juste en les regardant dans les yeux. Malgré une protection oculaire portée par son surveillant, elle lui modifie ses souvenirs pour pouvoir s'évader. Elle sait que le garde du corps doit appeler régulièrement pour que l'organisation n'éjecte pas sa balise et son harnais, ce qui la tuerait instantanément. le but de Nanami est de retrouver en scandant les souvenirs des gens Murakami et particulièrement la magicienne qui a le pouvoir de téléportation, Kotori qui semble spéciale pour ses créateurs. Elle rencontre Murakami, lui vole ses souvenirs pour trouver l'observatoire et pense lui avoir effacé ses souvenirs jusque sa plus petite enfance…

Ce quatrième opus marque un tournant dans l'histoire. Il nous prouve que l'organisation est particulièrement cruelle mais aussi que les magiciennes manipulées par le centre rêvent aussi de liberté même au péril de leur vie. Elles ne sont pas forcément des tueuses sans consciences mais peuvent se montrer très humaines. Ici, Nanami qui a le pouvoir d'effacer les souvenirs des autres vit dans la peur qu'on l'oublie. Elle cherche à se faire des amis car elle n'en a jamais eus. Ce quatrième épisode se veut plus sensible et émotif que les trois premiers. le scénario est toujours aussi intense et le suspens aussi. L'oncle de Murakami a enfin la preuve visuelle de l'existence des pouvoirs des magiciennes. Pour les dessins, je n'espère plus que les défauts décrits dans mes critiques précédentes s'amélioreront mais je les excuses facilement tant l'histoire me plait. Parfois, même si ce n'est pas toujours utile, le récit est émaillé par des situations et dialogues coquins et humoristiques. C'est un drame mais nous ne tombons pas dans le piège d'une histoire larmoyante. Et puis, c'est plein d'espoir et de bons sentiments. Bref, je ne me lasse pas et poursuis la série avec plaisir. Ayant lu les 14 épisodes, je me lace dans un marathon de critique car j'aimerais les clôturer avant d'entamer d'autres lectures.

Tome 5 :

C'est confirmé, l'organisation à un nom. C'est un laboratoire qui s'appelle Vingulf. Il fait des expériences sur les humains, cherchant à créer des magiciennes et des sorciérants. Il est chapeauté par une puissante organisation qui aurait découvert il y a un siècle des ruines extraterrestres. Leur but ultime serait de tuer « Les Dieux ». L'agenda ne révèle qu'un message qui invite notre héros à tuer les magiciennes. Même si l'espérance de vie des magiciennes est courte, comme elles rêvaient de devenir lycéennes, Murakami les poussent à se préparer pour passer les examens de la fin de l'année scolaire. Mais Vingulf n'abandonne pas les recherches et pousse une autre magicienne à découvrir où ils sont. C'est alors que Kana a une nouvelle vision qui prédit la mort de toutes les magiciennes qui sont à l'observatoire avec Murakami…

Cette série n'arrête pas de rebondir, ce qui lui permet de rester palpitante. Les dessins sont toujours de facture égales aux premiers épisodes. le scénario confirme les gènes extraterrestres qui servent de base sur les jeunes femmes qui ne sont finalement que des expériences. Visiblement, seule Kotori semble intéresser Vingulf qui veut la récupérer vivante car sont hôte serait particulier. Elle porte le matricule 1107 et si son hôte sort de son corps, il aurait le pouvoir de détruire le monde…

Les magiciennes essayent de garder le moral et de ne pas perdre espoir en tentant de vivre normalement malgré l'épée de Damocles qu'elles ont sur leur tête. Les dessins sont constants depuis le début de la série. Cette fois, nous avons l'occasion de découvrir une partie de Vingulf. C'est une sorte de laboratoire très cloisonné et top secret. le scénario de puis le début est prenant et ne s'essouffle pas. Dans l'ensemble, malgré quelques petits défauts de dessins, c'est une superbe série. Depuis le début, il n'y a pas de temps mort. Il paraît qu'au début, il n'était prévu que 6 épisodes mais à ce stade, nous sommes moins d'une conclusion. Je suis accroché et ravi de lire ce manga.

Tome 6 :

Vingulf tente de capturer le matricule 1107, la magicienne Kotori et voudrait profiter de l'opération pourvu éliminer les autres ainsi que Murakami. Pour cela, ils emploient une triple A qui à le même pouvoir que Kana, prédire l'avenir mais avec 100 % de fiabilité. Elle peut même l'influencer en jouant sur les futurs possibles. Elle a le pouvoir de se déplacer virtuellement et de prendre contact avec entre autre Kazumi. Elle propose à cette dernière de trahir Neko afin d'éliminer cette dernière en lui offrant la possibilité d'un avenir avec Murakami. L'opération demandait le sacrifice de la magicienne du centre car quand elle utilisait son pouvoir, son corps se dégradait. L'opération sera un échec et le centre se débarrasse d'un de ses lieutenants. Les filles gagnent un peu de répit et peuvent participer aux examens de fin d'année scolaire. Les résultats sont surprenants. Après toutes ses émotions, Murakami les emmènent se détendre à la mer. le jeune homme, seul avec toutes ses jeunes femmes, se rend compte qu'elles deviennent toutes amoureuses de lui. Vingulf est acculé et décide de jouer son va-tout, une magicienne de catégorie S, possédant de nombreux pouvoirs et en développement encore des nouveaux…

Ce numéro 6 marque un tournant dans le scénario. Malgré le court répit en milieu d'épisode, l'avenir des magiciennes n'a jamais été aussi compromis. La fin de l'ouvrage nous promet des moments plus dramatiques et incertains. La magicienne de catégorie S ne se contente pas d'être hyper-puissante mais elle semble d'une cruauté sans borne. En fin d'ouvrage, le rythme s'accélère. Jusque là, le scénario est pourtant solide mais le suspens se renforce encore. Même pendant la courte pose des magiciennes, l'auteur évite le piège de la lassitude et continue avec talent à surprendre le lecteur et à entretenir son intérêt pour cette série qui ne s'essouffle pas. Les dessins sont toujours très bons malgré les petits défauts récurants que j'ai relevés depuis le début de mes critiques sur cette série. Bref, c'est toujours avec un évident plaisir que je poursuis cette lecture.

Tome 7 :

La magicienne de type S se nomme Valkyria. Elle est redoutable. Elle n'a pas mis longtemps à découvrir le repère de nos héroïnes. Elle a commencé à éliminer les magiciennes qui devaient l'encadrer pour la contrôler. Décidée à prendre sa liberté, elle a pour but de voler les gélules que Murakami et ses amies possèdent. Elle est blonde mais ressemble étrangement à Neko. Il semblerait qu'elle est même une tendresse particulière pour cette dernière. Visiblement, Neko serait beaucoup plus puissante qu'on ne le pense mais sa mémoire faisant défaut, personne ne sait réellement de quoi elle est capable. Pendant ce temps, Valkyria profite de sa liberté et créée beaucoup de dégât dans le monde profane. Une nouvelle magicienne fait son apparition à l'observatoire, elle se nomme Hatsuna et à le pouvoir de se régénérer. Elle serait presque immortelle. Les seules façons de l'éliminer est de lui éjecter son harnais où qu'elle n'ai plus de gélules. Pour l'anecdote, elle aussi tombe amoureuse de Murakami. C'est ces quiproquos qui donnent une touche d'humour au récit. le plus gros problème à gérer est le manque de gélules. Les réserves sont presque épuisées et il ne reste que quelques jours de survie aux magiciennes.

Ce tome est un épisode trait d'union. le début est intense et ensuite, l'action se déroule principalement à l'observatoire où les filles se dispute l'amour de Murakami qui, bien malgré lui, essaye d'éviter le piège de la séduction et de rester intègre parmi les donzelles. Valkyria accepte de nouveau de collaborer avec Vingulf. Je pense qu'au regard de sa cruauté, ça va faire mal dans les prochains épisodes. Ce tome se veut plus léger avant les futurs drames mais il y a aussi les gélules qui vont commencer à manquer. Malgré le calme relatif, le scénario de ce septième opus se veut préparatoire. Valkyria qui retrouve le contrôle est encore plus redoutable que quand elle prétendais à la liberté. Hatsuna apporte une touche d'humour mais son arrivée bouscule les habitudes de la petite communauté, Murakami qui tente désespérément avec son oncle de sauver les magiciennes, de plus, il vient de voir un signe physique particulier de Neko qui lui donne la preuve qu'elle est bien Kuroneko, son amie d'enfance. Cet épisode est presque un petit coup de mou depuis le début de la série mais c'est peut-être aussi le plus drôle. Les dessins sont toujours égaux aux épisodes précédents et la numérisation tient de la perfection sur Kindle.

Tome 8 :

Murakami a à peine le temps de se réjouir d’avoir retrouvé son amie et son amour d’enfance. Vingulf arrive avec son directeur, Chisato et Valkyria. Leurs objectifs sont clairs, tuer Murakami et les magiciennes sauf Keno et Kotori qu’ils ambitionnent de rapatrier dans leur laboratoire. La première victime de Valkyria est Hatsuna. Quand Valkyria vaut pulvériser Neko pour se dég-fendre, elle touche gravement notre héros qui s’est précipité pour protégé son amie d’enfance. Dans un semi comas, ce dernier revoit en rêve Nanami qui lui révèle la puissance de Neko et