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EAN : 9791028103569
Bragelonne (20/09/2017)
3.73/5   471 notes
Résumé :
Quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu’à la mort. Quiconque y vient n’en repart jamais. Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley. Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières. Les habitants s’y sont tellement ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (153) Voir plus Ajouter une critique
3,73

sur 471 notes
Un très bon roman d'horreur , même si j'ai été dérangée par quelques éléments. Mon côté cartésien qui me joue des tours et qui fait que j'ai du mal a admettre certaines choses. Alors certains passages du roman m'ont semblé peu crédible , comme le fait de tripoter le fantôme.

Mais en dehors de ça le roman est intéressant. L'auteur arrive a retranscrire des situations et surtout une atmosphère stressante, tout en gardant une écriture fluide et agréable.

Mais j'ai particulièrement apprécié le côté humain de cette histoire . C'est a dire qu'il a réussi dans un roman d'horreur a montrer tout ce que l'être humain pouvait avoir de plus noir, son égoïsme et son manque d'empathie. Mais également le fait que l'homme n'était jamais responsable de rien, la responsabilité incombe souvent aux autres.

Donc passant les petits défauts de ce roman , j'aime l'idée de trouver un roman plus profond que ce que l'on pense au départ.

Une belle découverte
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Quand un auteur néerlandais décide d'écrire une histoire terrifiante qui se déroule dans une bourgade américaine, ça donne quoi ?
Un gros navet ou un roman génial ?
L'idée de départ est simple : une petite ville est sous l'emprise d'une sorcière qui a été tuée il y a 350 ans. Tous les habitants sont soumis à des règles étranges et contraignantes et sont condamnés à rester là toute leur vie.

En ce qui me concerne, j'ai dévoré cette histoire, et pas parce que la couverture mentionne que le grand Stephen King a aimé ce roman, mais bien parce ça se lit avec un plaisir immense, que le suspense va crescendo au fil des pages, que l'histoire est originale, que l'intrigue prend un tour inattendu, que l'ambiance qui règne au sein de cette communauté est vraiment particulière, que la fin n'est en rien décevante et n'appelle pas à une suite (ce qui a le don de m'énerver !).
Certaines scènes sont assez difficiles à lire, dans le genre « insoutenable », mais c'est beaucoup plus subtil que dans les romans de Masterton où il utilise des tonnes de chair et des bidons de sang, ici l'horreur vient davantage de l'esprit torturé des hommes et des actes les plus noirs dont ils sont capables que d'une créature abominable qui serait dotée de griffes ou de crocs.
Si vous êtes fan des maîtres de l'horreur tels que Stephen King, Dean Koontz, Graham Masterton, James Herbert, Dan Simmons, Clive Barker ou Peter Straub, n'hésitez pas, ce roman devrait vous plaire.

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HEXcellent !

« - Avant, je pensais que Black Spring était comme le couloir de la mort. Maintenant, je vois davantage notre ville comme une cage. On a le droit de passer un doigt entre les barreaux de temps à autre, mais seulement pour montrer qu'on engraisse correctement. »


Un livre plébiscité par un des grands maîtres du genre, Stephen King, attire forcément l'oeil de l'adepte de frissons que je suis. Quelques chroniques bien senties (ainsi que les commentaires d'autres auteurs que j'ai d'ailleurs ajouté en fin de critique) ont achevé à me convaincre de me laisser tentée par Hex, un premier roman (classé ‘fantastique et terreur'). Signé de la main d'un certain Thomas Olde Heuvelt ; un tout jeune écrivain hollandais, ma foi plus que prometteur !

« Parfois, on se sacrifiait pour Black Spring. »

Une atmosphère particulièrement oppressante nous accable rapidement. Certains lecteurs auront peut-être décelé quelques longueurs en début de récit, mais pour ma part, l'ambiance glauque à souhait m'a étreint dès les premières lignes. J'avais l'irrémédiable impression d'un poids sur les épaules, d'un regard dans le dos... J'avoue même avoir eu la chair de poule par moments.
Et si je le souligne ici, c'est que ce n'est tout de même pas si courant en ce qui me concerne... Je pense avoir l'estomac et le coeur plutôt bien accrochés en règle générale, mais là c'est clair, j'en ai eu pour mon compte ! Pas vraiment de véritables frayeurs traumatisantes à proprement parler, davantage une sourde angoisse qui planerait sur ma pauvre tête de lectrice ^^

J'ai adoré m'immiscer dans ce sombre conte horrifique, au risque de ces quelques sueurs froides et autres craintes nocturnes qui ne m'avaient plus hantées depuis longtemps.

« (...) ce besoin primitif des êtres humains à canaliser la peur, à la transformer en colère... et à trouver un bouc émissaire. Certains y mettaient déjà une ardeur qui frisait le fanatisme. »

J'ai été moi-même comme une habitante de Black Spring, vivant sous le joug de cette sorcière, aveugle et muette par la force des choses (ce qui ne l'empêche pas de chuchoter d'impies et mortelles incantations) ; yeux et bouche cousus des siècles plus tôt afin de juguler le mal, « le mauvais oeil », dont nos ancêtres ont connu les terribles turpitudes...
Plus fantôme que sorcière d'ailleurs, puisque morte il y a 350 ans donc, mais dont l'empire non moins palpable, emprisonne à jamais toutes les âmes de Black Spring et les contraint au secret sous peine de mort...

« ...Et l'apocalypse s'abattit sur Black Spring. »


Seule la fin m'a bouleversée, et passablement désappointée, frustrée même...

C'est une fois l'épilogue passé - et mal digéré - , une fois arrivée aux remerciements de l'auteur, que j'apprends qu'il s'agit d'une réécriture.
> La première version de Hex, parue aux Pays-Bas et en Belgique en 2003, se situe dans un petit village néerlandais et adopte apparemment une fin différente en se terminant sur une note sensiblement divergente, dixit l'auteur lui-même. Les derniers chapitres de cette version-ci sont entièrement nouveaux.
À mon plus grand dam, Thomas Olde Heuvelt n'en dévoile pas davantage quant à la fin de la mouture néerlandaise, nous proposant plutôt de soudoyer une personne qui lit la langue et qui acceptera - peut-être - de nous la raconter... Comique le gars ^^
Enfin, si ce n'est les quelques dernières pages en effet, j'ai tout de même pris beaucoup de plaisir à lire ce bouquin, relativement bien flippant quand même.

« Des forces qui te dépassent sont à l'oeuvre. »


Pour finir, c'est un livre dont on ne sort pas totalement indemne, mais que je conseille vivement aux amateurs de S.King, D.Koonst, G.Masterson ...etc... : vous ne devriez pas être déçu =)


Redoutable lecture à tous et toutes !


***

4ème de couv :

Quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu'à la mort.
Quiconque y vient n'en repart jamais.
Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley.
Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières.
Les habitants s'y sont tellement habitués qu'il leur arrive d'oublier sa présence. Ou la menace qu'elle représente. En effet, si la vérité échappe de ses murs, la ville tout entière disparaîtra.
Pour empêcher la malédiction de se propager, les anciens de Black Spring ont utilisé des techniques de pointe pour isoler les lieux.
Frustrés par ce confinement permanent, les adolescents locaux décident de braver les règles strictes qu'on leur impose.
Ils vont alors plonger leur ville dans un épouvantable cauchemar...

***

Les quelques mots d'auteurs et de chroniqueurs :

« Une sorcière glaçante retient prisonnière toute une ville près de l'État de New York. Brillant et totalement original. »
- Stephen King
« Un écrivain prodigieux, la prochaine superstar du genre. »
- Paul Cornell
« Hex rappelle les meilleurs romans de Stephen King, et je ne connais pas de plus grand compliment. À la fois effrayant et émouvant, et même, à sa façon, très profond. »
- John Connolly
« Une histoire fantastique qui fait réfléchir, d'autant plus effrayante pour sa vision sans compromis de l'humanité... Hex est un livre qui répond à la fameuse question de l'origine du mal. »
- Robin Hobb
« Un concept fabuleux et inoubliable. L'auteur nous expose des événements surnaturels comme le ferait un Spielberg. »
- The Guardian
« Une parabole réellement terrifiante sur la perversion humaine... l'histoire n'est pas seulement dérangeante, elle est effrayante... lisez, si vous l'osez ! »
- Kirkus Reviews
« Des tensions cachées et la faiblesse humaine déclenchent une chasse aux sorcières qui dégénère en persécution, la recherche d'un bouc émissaire et un dénouement atroce. Un roman puissant qui fait froid dans le dos. »
- Financial Times
« le meilleur premier roman d'horreur depuis Laisse-moi entrer de John Ajvide Lindqvist. »
- Alan Kelly
« Une histoire fascinante et pleine d'imagination qui vous hante. Hex est réellement captivant, avec son style qui entraîne le lecteur dans le monde de Black Spring pour ne plus le lâcher. »
- Fantasy Book Review
« Un roman brillant qui fait froid dans le dos. Âmes sensibles s'abstenir. »
- Brave New Worlds
« Entre un Stephen King et La Cabane dans les bois, Hex se lit d'une traite. Avec son atmosphère étrange et intrigante, le roman de Thomas Olde Heuvelt surprend tout en donnant le frisson. »
- SFX
« Un roman d'épouvante réfléchi et intelligemment construit. »
- Sci Fi Now
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Avec Hex, bienvenue à Black Spring, jolie bourgade de l'État de New-York. Venez admirer ses rues proprettes, ses forêts chères aux randonneurs, sa rivière répondant au nom de Philosopher's Creek, sa sorcière cousue main... Oui, vous avez bien lu. Ce n'est pas toutes les communes qui peuvent se prévaloir d'une authentique sorcière condamnée à mort 350 ans plus tôt et à qui on a cousu lèvres et paupières au point de suture! Dame Katherine reste attachée à Black Spring, qui fut à son époque une des premières colonies hollandaises - dont elle est originaire - avant d'être reprise par les Anglais. Elle apparaît ainsi au petit bonheur la chance au détour d'une rue ou dans un coin de la chambre à coucher (frissons garantis). Ça dure ainsi depuis trois siècles et demi et les habitants n'ont d'autres choix que de faire avec, sans la toucher ni écouter les murmures qui s'échappent de sa bouche suturée.

En commençant le roman du Hollandais Thomas Olde Heuvelt, j'ai craint de tomber sur une énième histoire de sorcière fantôme maléfique terrorisant de pauvres gens. Certes sorcière il y a bien. Mais l'attrait majeur de l'intrigue, à mon goût, réside dans la peinture de la vie communautaire de Black Spring. L'auteur parvient à nous faire ressentir le poids pluriséculaire de la présence de la vieille dame cousue. Un état d'exception fut accordé à la municipalité pour "gérer" cette singulière situation, grâce au comité et à Hex, un organisme qui suit en temps réel les déplacements erratiques de la sorcière pour, au besoin, la camoufler Aix yeux des étrangers à la commune.

Axée autour d'une des familles de Black Spring, l'histoire décrit un endroit où il fait bon vivre... si tant est qu'on fasse abstraction de l'importune doyenne. Comme il faut bien que l'intrigue progresse, il arrive alors des faits qui vont modifier la donne pour la communauté. Et permettre de présenter au jour l'essence du mal. Pour en savoir plus, je vous invite à embarquer sans plus attendre sur le vol à destination de Black Spring et y faire connaissance avec la Sorcière de l'Est et l'histoire de ce petit bout d'Amérique, véritable enclave ensorcelée au sein du XXIème siècle.

J'ai pris grand plaisir à cette lecture qui offre un angle original du thème. La tension et le poids pesant sur la ville vont crescendo avec beaucoup d'efficacité. Il est très difficile de reposer le roman une fois commencé. Encore un coup de Katherine, certainement!
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Voilà un roman glauque et effrayant à souhait !!
Depuis 350 ans Black Spring, petite ville américaine, vit sous l'emprise d'une sorcière, Katherine, aux yeux et à la bouche cousus pour tenter de maîtriser son mauvais oeil. 350 ans sous cloche, car essayer de se soustraire à la malédiction c'est la mort assurée. Personne ne doit savoir, aucun habitant ne doit quitter la ville…

L'auteur installe tranquillement son décor, ses nombreux personnages, les stratagèmes mis en place pour garder le secret, ne pas provoquer le mauvais oeil … rien de terrifiant. Puis un gamin, mal dans sa peau, incontrôlable et c'est le grain de sable. le rythme va alors crescendo et l'horreur au fil des pages vous glace le sang. Poussés dans leurs retranchements, les habitants se révèlent des monstres. Dans les derniers chapitres, un vent de folie embrase la ville, un chaos total dans un rythme effréné où j'ai quelque fois perdu le sens du propos. J'imagine que c'est volontaire de la part de l'auteur : plongé dans l'hystérie collective, le lecteur perd tout repère. Les visions, les hallucinations et la réalité s'entremêlent. En tout cas, chaque page vous retourne les tripes.

Thomas Olde Heuvelt explique dans ses remerciements qu'il veut avant tout faire cauchemarder ses lecteurs... OK ! C'est réussi, l'ensemble est oppressant à souhait, certaines scènes sont terrifiantes. En plus, ne vous attendez pas à un happy end !! Pourtant, je reprocherais deux choses. le roman peut paraître long à démarrer (sans doute pour tromper l'ennemi 😉) et les stratagèmes de l'HEX (l'organisme chargé de maintenir le secret) m'ont paru parfois mal conçus, naïfs. Néanmoins, la mission est réussie, j'ai terminé le roman à bout de souffle.
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
09 octobre 2017
Un premier roman brillant et effrayant qui ravira les amateurs d'histoires de sorcières, les fans de Stephen King et ceux qui aiment frissonner devant un bon bouquin ! Idéal en ces soirées fraîches d'octobre !
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
- Tu sais ce qui m’amuse chez elle ? dit Justin d’un ton songeur. Pour un personnage de contes de fées, elle est vraiment hideuse.

- Où t’es allé pêcher cette histoire de conte de fées ? le reprit Burak. C’est un phénomène surnaturel.

- Les sorcières n’apparaissent que dans les contes de fées. CQFD.

- N’importe quoi ! Ta mère t’a bercé trop près du mur ou quoi ? D’ailleurs, les personnages de conte de fées n’existent pas dans la réalité.

- Et comment tu réagirais si le Petit Chaperon rouge apparaissait devant toi ? répliqua Justin avec un sérieux indéniable, prouvant qu’il ne prenait pas la question à la légère. Est-ce que ça en ferait soudain un phénomène surnaturel ? Ou est-ce que ce serait un personnage de conte de fées ?

- Non, juste une gonzesse obsédée par les tampons usagés, intervint Jaydon.

Burak s’étrangla avec son cappuccino et éclaboussa sa chemise ; Lawrence rit à s’en faire péter les côtes.
Ils en font un peu trop pensa Tyler.
- Putain ! T’es vraiment un grand malade, mec.

- À propos, ajouta Lawrence, après avoir repris son souffle. Dans le Projet Blair Witch, la sorcière n’était pas non plus un personnage de conte de fées.

Et cet argument que Justin ne pouvait réfuter mit plus ou moins un terme à la discussion.
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Magie bestaat in de geest van degene die erin gelooft, niet in het daadwerkelijke beïnvloeden van de realiteit.

[La magie existe dans l'esprit de celui qui y croit, pas dans la véritable influence de la réalité.]
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Et avec chaque kilomètre parcouru, l'acier scintillant descendait implacablement sur eux, le sifflement de la lame se rapprochant de plus en plus: gauche, droite, gauche droite, telle une horloge ancienne annonçant brutalement la fin de tout ce qu'ils connaissaient, la fin de tout ce qu'ils aimaient.
Le trajet du retour. Le moindre détail étincelait comme une pierre précieuse dans son esprit. Le soleil bas qui l'aveuglait dans le rétroviseur. La lumière pâle au-dessus de l'Hudson. Jocelyn, suggérant d'adopter un nouveau chien. Chaque fois qu'il se repassait cette séquence, il était pris d'une envie de hurler aux Steve et Jocelyn de son fantasme de faire demi-tour et de s'éloigner au plus vite. Qu'espérait-il ? Effacer la suite ? Mais c'était comme de regarder un film d'horreur dont la fin est déjà écrite. Et pour eux, elle les attendait au bout de la route.
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Certaines personnes trouvent espoir et réconfort ou reprennent confiance en faisant le signe de croix ou en évitant de marcher sous une échelle ; toi tu offres un fanion à la sorcière. La magie existe dans l'esprit de ceux qui y croient, pas à travers sa véritable influence sur le monde. Même mon fils de treize ans, bien obligé d'accepter qu'à Black Spring la réalité est "différente", semble le comprendre. Qui peut prétendre connaitre ses propres enfants ?
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Fais demi-tour ! Fais demi-tour ! Il n'est pas trop tard ! Qu'est-ce que tu espères ? Et les forces que tu risques de réveiller, tu y as pensé ? C'est de la folie !
Non, pas de la folie, songea-t-il. De l'amour. Katherine lui avait montré ce qu'était réellement le chagrin insoutenable. Seuls ceux qui ont autant souffert peuvent prendre des décisions par amour.
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