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(01/01/1900)
4.5/5   3 notes
Résumé :
Littérature - GALLIMARD nrf (1956) - Zoé OLDENBOURG Réveillés de la vie.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Toi qui est la loi inéluctable contre laquelle je ne peux pas tricher, toi qui est la lumière par laquelle je vois le monde. Tu es ma limite en ce monde comme je suis la tienne, mon dur contact avec ce monde sans lequel nous ne sommes que des ombres.
Comme il est difficile cet amour où l'on paie avec sa chair et son âme jusqu'à l'air qu'on respire.
Comme il est beau ce monde où l'amour est acheté si cher. Ce monde où la flamme brûle, où la pierre meurtrit. Car nous sommes l'un pour l'autre flamme, pierre, pain et eau, tant nous sommes vrais l'un pour l'autre.
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Il y a eu des saints qui ont aimé Dieu en croyant n'aimer que les hommes, et même des poètes qui ont eu du génie en croyant ne chanter que la femme aimée.
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merci @Zoé de Tarlé pour le montage
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Pastiches littéraires

"L'hiver, la Glavoise est un torrent boueux dont les flots tumultueux charrient des arbres morts, des rochers noirs et des sangliers surgelés. Pourtant, sitôt passées les dernières neiges de mai, elle se métamorphose en une rivière paisible qu'on traverse à pied sec au lieudit du Gué-de-la-Corde. C'est là que le voyageur qui arrive à Courtonac par la route de Saint-Hilaire franchit la Glavoise, au Roc-de-la-Châtre. Un peu en aval, la route en pierre traverse le moulin abandonné du père Plasson. Devant le triste spectacle des ronces qui dévorent les meulines à foulon et les flaterets à courroie, on a bien du mal à croire que, jadis, les ânes, les boeufs et les femmes de Courtonac déchargeaient là leurs ballots de bressac frais pour qu'on les y moulût. Solide comme un linteau, son éternelle bamborgne à la bouche, le père Plasson transformait ici les précieuses gousses en une fécule à cataplasme, délicate comme de la peau d'oreille et fraîche comme un cul de pouliche." "Les engoulevents de la Grange-aux-Loups" est un pastiche des romans signés:

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