« Rien ne dure, disait Juste Olivier dans une lettre écrite vers la fin de sa vie, rien ne dure, et j'aurais fait mieux, que cela ne durerait pas davantage. Il y a de ma faute, mais aussi descelle d'un public indifférent et froid qui ne nous soutient pas. C'est une triste histoire que celle de notre cher pays. Il n'a aidé ni Viret ni Vinet, et quoique fort au-dessous d'eux, j'en sais quelque chose aussi, « Allons boire un verre, » c'est la fin finale et le résumé de tout ici.