C'est l'un des premiers livres de
Michel Onfray, et contrairement à aujourd'hui, il faisait à l'époque dans la concision.
Ici, point de répétitions et de redites, la preuve qu'il en est capable. Il nous parle dans ce livre du fameux Diogène et de son maître Antisthène, nourrit de toutes les anecdotes les concernant qui traversèrent le temps jusqu'à nous.
Il fait une distinction entre cynisme philosophique et cynisme vulgaire; le premier se moque de toutes les institutions, des conventions sociales, du pouvoir en place..., le deuxième est représenté par la religion, la politique, l'armée et surtout le capitalisme.
Un ouvrage, en fin de compte, très instructif et bien documenté sur une philosophie que conspuait le grand Hegel.
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