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352 pages
Galerie de Bossange Père (30/11/-1)
3/5   1 notes
Résumé :
Essai sur l'histoire de la peinture en Italie depuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours
Par le comte Grégoire Orloff
Tome Premier
1823

352 pp.

Du chapitre I
au
chapitre XIII : École de Peinture Bolonaise.

Si mon ouvrage paraît utile aux amateurs qui après moi visiteront l’Italie, j’aurai atteint mon but ; je ne demanderai rien de plus :— je me trompe ; en écrivant dans une lan... >Voir plus
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
De Picturaz initiis incerta, nec instituti operis questio est : tel est le langage de Pline, qui reconnaît lui-môme combien il est difficile de fixer l’origine du plus beau des arts. Mais le raisonnement et la philosophie, flambeaux allumés pour nous éclairer dans l’obscurité des siècles et pour suppléer a l’oubli ou à la négligence de l’histoire, font sentir l’inutilité des recherches sur une pareille question.
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Le Turchi eut un mérite que peu de peintres possèdent, celui d’apporter la plus grande attention aux couleurs, qui, lorsqu’elles sont mal choisies, font perdre tout le prix et le mérite d’un tableau en perdant leur force et la vivacité de leur teinte, défaut que nous rencontrons souvent parmi les peintres modernes , qui, malgré leur talent, s’exposent à perdre leur réputation, ou par avarice ou par ignorance; tandis que le Turchi, par une sage combinaison, mettant le plus grand soin à la manipulation de ses couleurs, consultait même des chimistes habiles pour apprendre d’eux les meilleures préparations.
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Il n'est pas de pays plus riche , plus opulent que l'Angleterre, cependant tous ses efforts n'ont pu parvenir à y faire fleurir une école de peinture. Tous les trésors que les princes allemands oui employés avec prodigalité pour enrichir leurs capitales de précieuses collections de tableaux et de statues n'ont point obtenu un plus heureux résultat. On pourrait citer beaucoup d'autres exemples encore, qui prouveraient, je pense, victorieusement que les beaux-arts sont plutôt une production du génie des nations , et que le génie ne se forme pas avec de l'or. Ne voyons-nous pas qu'avant le siècle de Médicis y toute l'Italie fourmillait d artistes qui ne devaient qu'à eux-mêmes les progrès qu'ils y avaient faits dans la carrière des arts? Ceux même qui lurent le plus protèges jouissaient déjà d'une grande célébrité vivant d'avoir obtenu la laveur de leurs protecteurs. Michel- Ange et Raphaël ne furent appelés auprès de Léon pour orner et embellir le Vatican, que sur une réputation justement méritée. Leonardo de Vinci ne doit pas le développement de sou génie à la munificence de François 1er , qui né le demanda que sur la renommée brillante de ses talents.
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