Si vous n'avez jamais lu de «
Jean d'Ormesson » et si vous hésitez à entrer dans l'oeuvre, c'est par « Casimir » qu'il faut commencer.
Ce récit philosophique est en partie autobiographique et jubilatoire.
Le style débridé change de ce qu'a produit l'auteur dans le reste de son oeuvre.
On retrouve dans le style le ton enjoué, espiègle et les yeux pétillants de l'auteur.
On s'amuse à la lecture, à la découverte des personnages, parfois caricaturaux, bien typés qui se réunissent et échangent des idées.
Une jolie parenthèse au milieu de beaucoup de littérature prétentieuse et parfois ennuyeuse qui envahit nos rayonnages
Commenter  J’apprécie         272