Les chevaliers du subjonctif ressemble à un court roman d'apprentissage. Apprendre à aimer la langue et la grammaire.On a le sentiment qu'Eric
Orsenna vise les jeunes adolescents et souhaite leur transmettre son goût des mots et de la conjugaison. Peine perdu.Je ne vois pas comment une histoire aussi gnan-gnan peut séduire quiconque, qui plus est des jeunes lecteurs.Le livre vaut seulement d'être feuilleté pour les jolies illustrations qui rompent avec la platitude du récit.14 décembre 2011