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EAN : 9782707319791
190 pages
Editions de Minuit (08/03/2007)
3.39/5   36 notes
Résumé :
J'étais en route vers la côte landaise, où je devais aider des amis à désensabler leur maison. Plus tard, je m'installerais à Bordeaux, c'était décidé. En attendant, j'avais l'intention de vivre un peu, juste assez pour que ça me laisse des souvenirs. Il y avait peu de chances, toutefois, que quelque chose m'arrive sur la dune déserte, entre deux pelletées. Puis, à l'hôtel, j'ai rencontré Charles Dugain-Liedgester, qui ne dormait plus avec sa femme et qui lisait tar... >Voir plus
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Pour ceux qui commencent à connaître un peu mes goûts en matière de lecture et savent que j'éprouvent en général une certaine aversion envers l'écriture de Christian Oster avec ses phrases interminables et mon manque d'intérêt pour ses histoires en général, ils pourront sûrement se trouver étonnés que je me sois de nouveau plongés dans un de ses livres ! Je l'ai fait sciemment car de toute façon, cela ne me coûtait rien de le lire - à part peut-être un profond ennui- étant donné que c'est ma belle-mère (eh oui, encore elle me direz-vous...) qui l'avait emprunté à la médiathèque. N'ayant pas trouvé celui que l'on me conseillait dans ma tentative de trouver un réel plaisir dans la lecture des romans de cet auteur, je me suis rabattu sur celui-ci en désespoir de cause...et une fois de plus, mon verdict est malheureusement sans appel, Christian Oster et moi ne sommes vraiment pas fait pour nous entendre ou du moins est-ce là une écriture que je ne comprends pas.

L'histoire est celle d'un homme, Jean, sensé retrouver des amis pour les aider à remettre leur maison secondaire en fonction en enlevant le sable qui s'était agglutiné devant la porte mais il se trouve que ses amis ne sont jamais venus et sont restés à Paris. Notre narrateur se retrouve donc seul (mais ne l'étant jamais vraiment car manque de place à l'hôtel où ses amis devaient lui réserver une chambre, il se voit, par manque de place, dans l'obligation de partager celle d'un autre homme qu'il ne connaît pas et n'a d'ailleurs jamais vu, Charles Dugain-Liedgester...et c'est là que tout va commencer (ou disons une enchaînement d'événements qui me paraissent tous assez vraiment trop improbables pour que le lecteur - enfin moi en l'occurrence - y croit vraiment). C'est d'ailleurs ce que je reproche principalement à Christian Oster...en plus de ses phrases qui n'en finissent pas, j'ai l'impression que tous ses scénarios se ressemblent plus ou moins : un homme qui rencontre des inconnus et avec lesquels il s'engage immédiatement vers des aventures invraisemblables...

Je ne peux pas nier que l'auteur a une très belle plume et que tous ses romans se lisent très rapidement (voilà pourquoi je me suis d'ailleurs lancée dans la lecture de ce dernier mais il manque un je-ne-sais-quoi qui fait que, décidément, avec moi, ça n'accroche pas ! Je vous invite néanmoins, pour les plus curieux, à venir le découvrir !
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La Feuille Volante n° 1318

Sur la dune - Christian Oster- Éditions de Minuit.

Ça commence un peu comme dans tous les romans de Christian Oster une manière banale, le narrateur, Paul, célibataire, désireux de s'installer à Bordeaux, rend visite à ses amis, Jean et Catherine, à Saint-Girons-Plage pour les aider à dégager leur maison secondaire menacée d'ensablement. En réalité il ne les trouve pas et se loge dans un hôtel si bondé qu'il doit partager sa chambre avec un inconnu, Charles Dugain-Liedgester, dont l'épouse, Ingrid, dort dans une autre chambre et dont il apprendra par la suite qu'ils ne se supportent pas. En fait d'amis le narrateur a pris ses distances avec eux d'autant plus qu'il a été l'amant de Catherine quelques années avant son mariage avec Jean, mais ils se sont momentanément séparés à la suite d'une dispute.
Suivent de nombreuses pages qui ne sont que des réflexions un peu oiseuses sur la présence du narrateur dans la salle de bains, sa lecture avant de dormir, ses échanges oraux éphémères avec Charles, sa façon de s'habiller et de prendre son petit déjeuner et la composition de celui de son compagnon de chambre le lendemain, puis, en faisant son office de manoeuvre bénévole, les souvenirs qui lui reviennent à la mémoire, comme une sorte d'introspection obsédante… Que des choses passionnantes ! J'ai eu l'impression de m'ensabler dans ma lecture comme le narrateur dans sa dune. En dehors de pelleter du sable pour dégager la porte d'entrée de la maison de ses amis, ce qui n'a rien de particulièrement exaltant, surtout en leur absence, il avait un autre centre d'intérêt en la personne d'Ingrid, aperçue la veille et à la beauté de qui il ne semble pas insensible. Les relations de Paul avec les femmes sont compliquées, mais les événements semblent le servir dans la mesure où il propose à Charles de lui servir de chauffeur pour aller aux obsèques de Jean-Marc, leur voisin à Chartres, Ingrid, pour qui il nourrit de plus en plus de fantasmes secrets, rentrant seule dans sa propre voiture. Pendant le voyage aussi long et monotone que la forêt landaise, il apprend que le couple que formait Jean-Marc avec Brigitte ne s'entendait pas. Dans l'entourage de Paul et pendant ce bref laps de temps, cela fait beaucoup de couples en difficultés.
Comme c'est souvent le cas des célibataires qui sont invités par hasard dans un couple, Paul observe plus attentivement Ingrid et le drôle de couple qu'elle forme avec Charles, et aussi Brigitte qui devient pour lui une opportunité, peut-être consentante… L'éventualité de trouver une place parmi eux a sûrement dû l'effleurer. L'auteur ne nous dit rien de Paul, ni de son métier ni de son apparence physique, mais je l'imagine bel homme, attirant un peu malgré lui ces deux femmes. Pourtant lui semble être un cérébral, l'inverse en tout cas de l'amoureux fou ou du froid Don Juan. Il réfléchit, hésite en présence d'une femme sur la conduite qui doit être la sienne… A moins bien sûr qu'il ne soit, tout bonnement, maladivement timide.
Oster met à profit le récent veuvage de Brigitte pour renouer avec son thème favori de la solitude. Il est vrai que cela tombe plutôt bien dans le cadre du décès de Jean-Marc, mais il noircit un peu trop le trait en prêtant ce sentiment à Paul qui ne l'a jamais vu auparavant. C'est pourtant lui qui, la cérémonie passée, prend l'initiative de réunir les rares amis venus accompagner le défunt. Pire peut-être, l'auteur y ajoute celui de l'abandon de l'être aimé. Bizarrement, alors que c'est Jean-Marc qui vient de mourir et qu'on s'apprête à enterrer, c'est Brigitte qui le quitte, symboliquement il est vrai, puisqu'elle choisit de partir avant la fin de la cérémonie des obsèques et de disparaître définitivement. C'est un geste lourd de sens de sa part qui témoigne de l'attachement tout relatif qu'elle éprouvait pour son époux. L'épilogue vient conclure d'une manière finalement pas si inattendue que cela, ce thème de l'abandon.
Au terme des différentes et nombreuses lectures que j'ai faites des romans de Christian Oster, j'ai parfois noté mon ennui, parfois ma désapprobation, notamment au regard de son style et de ses trop longues phrases, mais pour une fois, le thème qu'il choisit de la solitude à l'intérieur de mariage me paraît pertinent. Pour des raisons religieuses, mais pas uniquement, on a trop longtemps voulu faire perdurer une institution en la présentant comme un des piliers de la société, alors qu'on faisait bon ménage de l'hypocrisie qui allait forcément avec comme elle va avec toutes les activités humaines qu'on déguise à l'envie avec de la moralité. le tableau qu'il nous brosse ici me paraît judicieux parce que, l'amour, à supposer qu'il existe au début d'une union, n'en reste pas moins une valeur consomptible et ne dure pas toute la vie.

©Hervé GAUTIER – Janvier 2019.http://hervegautier.e-monsite.com


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Comme dans tous les romans de Christian Oster, on commence par un héros – qui dit je dans toutes ses histoires – et qui comme toujours chez cet auteur assez paumé. Souvent les héros de Christian Oster empruntent la nationale 10. Et souvent ils empruntent par la même occasion des voitures, des femmes ou des vies.
Celui de « Sur la dune » parle de s'installer à Bordeaux. Pourquoi Bordeaux ? Et bien parce que ça sonne bien, ce doit être une ville où aller, Bordeaux.
« Je voulais m'installer à Bordeaux. Je n'avais pas spécialement l'intention de vivre, au sens de ce que ça implique comme énergie. Je recherchais plutôt le calme, avec un emploi du temps souple, des réveils doux, un peu de travail pour faire le liant, que je trouverais toujours, me disais-je ; s'il y a quelque chose qui ne fluctue pas chez moi ce sont bien le compétences. Et Bordeaux, à cet égard, m'avait semblé idéal. »
Mais notre héros n'atterrit pas très loin de la capitale d'Aquitaine, il arrive à Saint-Girons-Plage exactement, où l'attendent de pseudo amis. Pour déblayer la porte d'entrée de leur résidence secondaire ensablée par la dune.

Mais en arrivant à Saint-Girons-Plage, pas d'amis. Qu'à cela ne tienne, comme dans tous les romans de Christian Oster, on fait avec. Il s'agit donc de s'installer à l'hôtel du village pour les attendre. Mais l'hôtel est complet. Peu importe, on fait avec. On apprend qu'un dénommé Charles Dugain-Liedgester (toujours le génie de Oster pour trouver le nom de ses personnages) a une chambre avec deux lits, qu'il ne dort plus avec sa femme, qu'il lit tard le soir et qu'il est passionné par Louis XI. Nous voilà donc dans la chambre de Charles.

Les héros de Christian Oster ne sont pas ambitieux, ils n'ont pas de plan de carrière, ils n'ont pas de plan du tout d'ailleurs. Ils sont disponibles à tout ce qui arrive. Les histoires de Christian Oster les saisissent au moment de leur vie où tout est possible : en général ils n'ont ni femme ni enfant, ni contrainte professionnelle, ils naviguent au gré des événements, sans se soucier du lendemain.
Ici dans « Sur la dune », Christian Oster s'est un peu enlisé dans son récit, à l'image de cette dune qui recouvre toutes les maisons de cette région de bord d'océan. Dès qu'il perd de son humour, il perd en légèreté et ce qui était jusque là un équilibre précaire entre humour et dérision tombe par terre. Il perd alors sa légèreté si fascinante, comme dans « Dans le train » ou « L'imprévu », qui faisait qu'on était près à le suivre n'importe où dans les tribulations de ses personnages. Là, dans « Sur la dune » on le suit péniblement, comme ralentis dans notre course par des chaussures aux semelles de plomb, dans cet exercice sur le thème du couple à trois.

Le texte s'allège enfin quand le trio (notre héros, le passionné de Charles XI et sa femme Ingrid avec qui il fait chambre à part) prend la route pour la Beauce pour aller assister à l'enterrement du mari d'une amie du couple Dugain-Liedgester, Brigitte Vecten. Il s'envole même à partir de la page 171 – tenez bon jusque là – au moment du récit de la cérémonie.
Pour des raisons obscures, Brigitte Vecten quitte précipitamment les lieux dès le cercueil descendu dans la fosse, les Dugain-Liedgester sur les talons pour ne pas laisser seule faire des bêtises. Commence alors un récit surréaliste, où notre héros se trouve aussitôt à la tête d'un cortège de gens qu'il ne connaît pas le moins du monde, mais qu'il reçoit dans la résidence des Dugain-Liedgester en lieu et place de la veuve.

Tout le talent de Christian Oster se retrouve là, avec ses situations cocasses, avec des agissements dictés par la bonne éducation qui provoque une réalité burlesque, parfois ubuesque. Heureusement, il y a Ingrid, une Ingrid qu'il nous détaille d'une manière qui n'appartient qu'à lui :
« sa beauté demeurait comme en attente d'une preuve que je me trouvais bien en peine d'apporter. »

Ce sur quoi il faut insister c'est qu'avec des situations des plus cocasses, Christian Oster sait nous embobiner : son écriture vous saisit avec des précisions parfaitement inutiles au récit, des digressions telles qu'elles peuvent tous nous saisir en pensée, et des idées tellement saugrenues qu'elles nous ressemblent. Son style passe de longues phrases – ses réflexions sinueuses qui traduisent aussi l'ensablement des relations de couples – à des séquences très courtes. Christian Oster a ce talent, dans la veine du Nouveau Roman, de mettre en beauté la banalité des détails infimes de la vie et de leur donner de la profondeur.

En résumé une histoire abracadabrantesque dite avec le pouvoir du mot juste, de la phrase précieusement pesée, et le réconfort de la langue parfaite qui est la seule chose qui peut rester à celui qui a tout perdu. Notre héros aura tout perdu, aura eu peur de perdre son temps, mais seule la belle Ingrid peut le sauver, elle qui marche enfin vers lui d'un pas décidé. Tous les espoirs nous sont finalement permis.
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La narrateur séjourne au bord de mer où il rencontre Ingrid et son mari. La dune est l'occasion de faire mieux connaissance. Très court roman, à peine 190 pages mais rempli de bonnes descriptions des quelques personnages et de leurs caractères. La vie est décrite sur quelques jours de temps à peine. Les silences entre les personnages sont très bien racontés. Un fragment de l'écoulement du temps où le hasard réunit quelques personnes différentes les unes des autres mais toujours un brin d'envie qu'on sent entre l'homme et la femme, l'attrait vers l'autre.
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Une lecture agréable, pas un coup de coeur.
Sur la dune déroule une très courte séquence de vie de quelques personnages confrontés tous à des contretemps plutôt banals qui vont cependant modifier le cours de leur vie sans les déstabiliser car ils semblent prendre les événements comme ils se présentent, avec indifférence , sans manières et ouverts aux autres.
Toutefois Brigitte devenue veuve est bouleversée , peut-être pas uniquement à cause de la mort de son époux,
Seul le présent des personnages compte.
Et le début du récit?
Le narrateur Paul arrive à Saint-Girons plage afin d'aider un couple d'amis à déblayer le sable devant la porte de leur maison de vacances.Nulle trace d'eux. Ils sont injoignables. Aucune réservation a l'hôtel pour Paul à qui le réceptionniste propose de partager la chambre à deux lits d'un certain Charles
Dugain-Liedgester. Charles accepte , sa femme Ingrid occupe une autre chambre dans le même hôtel…
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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Brigitte, en tout cas, venait de quitter son mari. Un peu tard, certainement. Un peu trop tard, certainement. Un peu trop tôt, bien sûr. Ou elle n’avait pas voulu le voir partir. Les Dugain n’avaient pas osé la laisser seule, donc. Ils avaient abandonné en revanche Jean-Marc Vecten. En attendant, j’étais là. L’officiant prélevait des roses sur une couronne qu’on avait déposée près de la fosse. Nous les tendait. Nous défilions maintenant devant Jean-Marc Vecten, nous délivrant, l’un après l’autre, de nos roses dans une sorte de lâché jeté, avec des variantes selon les personnes, certaines observant la chute de la fleur jusqu’à son terme, d’autres conservant le regard droit, tout un chacun s’effaçant, ensuite, vers un côté de la fosse pour reformer un groupe qui se figeait dans l’attente. J’avais moi-même lancé ma rose d’un geste égal, quoique concentré, en me penchant un peu pour voir. Quand nous fûmes au complet sur le côté, l’officiant déclara qu’on pouvait s’arrêter près de l’entrée du cimetière, où les registres se trouvaient disposés sur des tréteaux, pour y écrire quelques mots à l’intention du défunt et de sa famille. Il signala, également, que la cérémonie était close. Quelques personnes vinrent trouver les parents de Jean-Marc Vecten, qui, l’air perdus, semblaient ne rien comprendre à ce qui venait de se passer, comme si la mort de leur fils, maladroitement pleurée en l’absence de la veuve, se couvrait d’une opacité supplémentaire, voire était remise en cause en quelque étrange façon qui échappait à l’entendement. L’humiliation, en outre, se lisait sur leurs visages stupides.
Je décidai de leur signifier qu’ils ne devaient pas partir comme ça
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"Non, dis-je, c'est révoltant, les gens n'ont aucun sens de l'humour, de l'humour vrai, j'entends, ils préfèrent le burlesque."
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Je pris ma voiture, atteignis Blaye en un quart d'heure, m'excentrai vers la gare à l'aide d'un fléchage efficace, qui m'amena droit, au bout d'une impasse, sur un petit bâtiment résolument quadrangulaire, de facture ancienne, fleuri aux fenêtres, et dont on peut trouver l'équivalent, miniaturisé, au bord des circuits de trains électriques.
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Je n'avais jamais cru à Saint-Girons-Plage, du reste. Dès ma première visite, j'avais pris le paysage de haut, incertain d'y jamais entrer ni de fouler réellement le sol où il s'inscrit. Sauf peut être dans la rue, à cause du bitume et des boutiques. Et encore. La rue, on en voit très vite le bout et de nouveau c'est l'indistinction du sable et l'infinie répétition de l'eau, avec toujours ce vent qui ne lie rien et qui altère les sons. Aucune précision. Pas de recul. Tous est là, bruyant
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Dugain me parlait d'autre chose, revenant sur Saint Girons, me disant ce qu'il pensait, me demandant ce que j'en pensais..., revenant à ce qu'il en pensait lui, évoquant le ciel et le vent, les maisons posées sur le sable, la mer comme étendue et comme limite, et la forêt, on ne pense pas tellement à la forêt, là bas, me dit-il, alors qu'elle nous pousse, de toute sa masse, vers l'océan, on est comme pris en étau entre la mer et elle, de sorte que la seule issue, en fait, c'est le ciel.
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Christian Oster - La vie automatique .Christian Oster vous présente son ouvrage "La vie automatique" aux éditions de l'Olivier. Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/1934121/christian-oster-la-vie-automatique Notes de Musique : Free Music Archive: Gillicuddy - All Eventualities. Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Dailymotion : http://www.dailymotion.com/user/Librairie_Mollat/1 Vimeo : https://vimeo.com/mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Tumblr : http://mollat-bordeaux.tumblr.com/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Blogs : http://blogs.mollat.com/
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