Chambre 34 : Journal d'une libération

« Chambre 34 » m'a émue jusqu'aux larmes. L'optimisme de Kalya Ousmane, sa force, ses hésitations, sa détermination, sa douleur, ses larmes.. m'ont énormément touchée. Son sourire, que j'arrivais à voir à travers ses mots, est un rayon de soleil. Un rayon d'espoir, un rayon d'amour, d'amitié, un rayon de liberté.. le témoignage de Kalya s'adresse à toutes les femmes du monde, et parle au nom de toutes celles qui, en silence, par gêne, par honte, par tabou.. n'arrivent pas à s'exprimer.
Bien qu'il soit pénible, elle a réussi, grâce à sa plume chaleureuse si je puis dire, de parler de son combat de manière positive. Ses mots transmettent une énergie qui encourage la résilience et la libération ! Se délivrer de la douleur, de la peur, du jugement, du repli sur soi...
Je te remercie Kalya d'avoir écrit ce témoignage intime et de le partager avec nous. J'invite non seulement les femmes à le lire mais également les hommes, pour mieux apprendre sur ce sujet très peu abordé.

Un témoignage de 17 pages, d'une auteur talentueuse mais surtout d'une femme.
Il est des sujets que l'on n'aborde pas. Ou très peu : honte, méconnaissance, repli sur soi, ... trop d'excuses !
Kalya nous livre son combat de tous les jours face à l'endométriose. Cette maladie du dedans, qui fait mal aux creux des femmes et les laissent souvent cloîtrées chez elles. de l'acceptation à la prise de décision : quel chemin !
Ce témoignage est fort car il n'est pas sombre. Loin du patho, c'est un appel à vivre mieux, à s'accepter et à se sentir femme jusqu'au bout. Une positivité et une énergie irradient de ses mots jusqu'à notre sensibilité ancrée. Concernée ou non, ce texte résonne.
À lire d'urgence pour cesser de taire ces maladies gynécologiques qui mettent à mal la vie de femmes. Car oui, on peut être une femme sans être mère. On peut être une femme qui n'en souffre pas (ou plus) ; mais il est fort possible qu'à un moment, on en souffre toutes.

Chambre 34, un cadeau, celui d'une histoire vraie, celui d'une femme qui se livre sans faux semblant.

Chambre 34 ou le récit une délivrance, celle d'une maladie qui touche une femme sur dix. Pourtant il n'y a que peu de temps que les médias en parlent alors qu'elle apporte tant de souffrance. Certaines subissent même les douleurs sans savoir de quoi elles souffrent. Alors merci Kalya Ousmane de mettre en lumière l'endométriose.

Chambre 34 est sans filtre, nous transportant au gré des oscillations entre doutes, questionnements mais aussi joie.

Chambre 34 est un appel à l'acceptation de soi, vibrant d'espoir parce que oui on peut être une femme sans être mère.

Chambre 34 est surtout une nouvelle à partager sans compter.

Mon coeur de maman te remercie infiniment car tu m'as ouvert à la vigilance envers ma fille qui a si mal une fois par mois.

Un témoignage…
Chambre 34 est une histoire vraie, le témoignage de son auteur sur une maladie dont on parle peu, mais qui concerne énormément de femmes : l'endométriose. Non, ce n'est pas un gros mot, mais bien une maladie qui touche 1 femme sur 10, parmi celles diagnostiquées. Or, il est admis que de nombreuses femmes en souffrent sans même le savoir. Kalya Ousmane nous livre ici son récit de vie, ces quelques instants, un peu fragmentés, un peu flous qu'elle a vécus. Elle nous expose son combat, ses souffrances, sa détresse. Pour nous permettre de porter un autre regard sur cette maladie, pour aider d'autres femmes qui en sont victimes, mais également, sans doute, pour alerter.

Une écriture froide…
Si j’ai apprécié lire ce récit, j’en suis cependant ressortie assez surprise. Plus que la thématique évoquée, c’est bien le style de l’auteur qui m’a étonnée. Tout est froid, sans émotions, presque sans saveur. On a quelques jeux de style mais rien de transcendant. Rien de marquant. Rien de bouleversant. J’ai donc lu ce récit comme si j’avais lu une liste de course, ce n’est pas tant négatif. Cela provoque cependant un drôle d’effet. Déstabilisant, rendant ce texte encore plus pénétrant. Peut-être même d’une certaine façon, encore plus douloureux. Cela marque une sorte de distance, comme si l’auteur avait voulu s’éloigner de ces épisodes de sa vie si douloureux. Si j’ai trouvé ça dommage, je le comprends tout à fait. Certains événements sont si difficiles, que tous les moyens sont bons pour s’en protéger. Ici, Kalya Ousmane a pris le parti de prendre de la distance via son écriture. J’émettrai, pour finir, un dernier bémol. À mon sens, ce texte est bien trop court. Trop lisse, pas assez en relief. Trop fugace pour que j’arrive véritablement à saisir tous les éléments et leur profondeur.
Lien : https://leshistoiresdameliae..

Ce petit livre est le témoignage de l'auteure sur l'endométriose.
Kalya Ousmane nous parle de ses doutes, de ses douleurs, de se questionnements par rapport à sa maladie ainsi que de son long parcours médical.
C'est un récit émouvant et touchant.
C'est une lecture très rapide, ce fut un peu trop court pour moi. Il me manquait quelques petites informations auxquelles l'auteure a répondu. Donc si vous en avez à la fin n'hésitez pas à aller lui parler 😊
Un témoignage nécessaire pour faire connaître la maladie.
Bref, j'ai beaucoup aimé !