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EAN : 9782756431116
384 pages
Pygmalion-Gérard Watelet (17/02/2021)
4.29/5   7 notes
Résumé :
Passionné d’histoire, George R.R. Martin a parsemé Le Trône de Fer de références à notre monde, créant une saga culte aux contours familiers.
De la guerre des Deux-Roses (1455-1485) à la guerre des Cinq Rois, de l’Anarchie anglaise (1135-1153) à la Danse des Dragons, de la guerre de Cent Ans (1337- 1453) aux rébellions Feunoyr, en nous contant ses conflits inventés, George R.R. Martin nous entraîne dans les couloirs de l’histoire. Si le Moyen Âge est au cœur ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Les deux auteurs, passionnés par le Trône de Fer (adapté à la télévision avec Game of Thrones) nous proposent de retrouver toutes les inspirations historiques de l'univers, qui sont nombreuses et parfois cachées (l'univers est constitué de la saga principale le Trône de Fer, mais aussi Les Aventures de Dunk et l'Oeuf, Les Origines de la Saga et Feu et Sang).

En avant-propos, ils indiquent que GRRM s'est plutôt nourri des romans historiques et de la popular history (l'histoire racontée de manière à plaire au grand public) que de ressources universitaires. Certains clichés démentis par les historiens se retrouvent dans ses récits, et c'est assumé : GRRM s'adresse à notre imaginaire et marque ainsi nos esprits. Mais cet essai s'attachant à la précision, il détaille les écarts entre les idées reçues et la réalité, et souligne que la connaissance de l'Histoire elle-même a évolué. La saga ayant été imaginée dans les années 90, il n'est pas surprenant d'apprendre que des recherches récentes contredisent ce que nous pensons savoir.

La majeure partie de l'ouvrage décrypte les diverses périodes historiques qu'on retrouve dans la saga, de la préhistoire à l'époque moderne, aussi bien sur le continent européen qu'ailleurs dans le monde. le voyage est passionnant ! Des contrées au-delà du Mur rappelant les hommes préhistoriques aux îles du Sud évoquant les pirates des Caraïbes, des Fer-Nés inspirés des Vikings aux Dothrakis mélangeant Scythes et Amérindiens, le Trône de Fer ne se résume pas à un Moyen Âge européen fantasmé. Pour tout amoureux de l'Histoire qui se respecte, chaque chapitre est l'occasion de retracer des pans entiers de l'Histoire, et fourmille d'anecdotes parfois croustillantes.

Travail érudit tout en restant pédagogique et clair, le découpage chronologique permet d'avancer dans le temps selon un schéma que nous connaissons. C'est très appréciable.

Au-delà des peuples, les deux auteurs relèvent nombre d'évènements de la saga directement tirés des guerres de notre monde, et décortiquent les personnages pour les rapprocher d'hommes et de femmes ayant marqué leur temps. Même les retournements de situation les plus sanglants des livres et les protagonistes les plus effrayants trouvent leur source dans la réalité. Il est aussi amusant de constater comment GRRM a mélangé les « briques » historiques (pour reprendre le mot des auteurs de l'ouvrage) pour créer des peuples et des trames originales et marquantes : par exemple, certaines villes de son univers empruntent à la fois à l'Antiquité et de la Renaissance, comme Braavos.

Contrairement à d'autres livres ou numéros spéciaux sur Game of Thrones qui ne considèrent que la série télévisée ou mélangent la série et les livres, cette analyse fouillée se concentre sur la saga littéraire, bien plus riche. Toutefois, la série n'est pas oubliée et fait l'objet d'encarts spécifiques. C'est appréciable quand on a aimé les livres, et regretté certaines digressions de la version télévisuelle.

J'ai appris beaucoup de choses sur l'Histoire, je m'en suis remémoré d'autres, et j'ai aussi pris du plaisir à me replonger dans l'univers de GRRM. Je me suis régalée à la lecture de cet ouvrage qui s'emploie à faire un parallèle entre la « vraie » histoire, ou celle qui est nous racontée, et l'histoire du Trône de Fer. On voit bien que les références historiques sont parfois mélangées entre les époques et les zones géographiques. Je pense que tout amateur de la saga va savourer cette lecture.

Un essai qui donne envie de relire le Trône de Fer !
Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Ce n'est pas toujours évident de déterminer précisément pourquoi telle saga va vous plaire et faire de vous un fan inconditionnel. Les personnages, l'intrigue, l'univers tout ça se mélange parfois à tel point qu'il nous est parfois difficile de dire pourquoi on s'attache à un récit. Sans oublier la frénésie de lecture qui s'empare de nous dès qu'un nouveau volume de notre saga préférée apparaît sur les étales des librairies. Heureusement certains auteurs sont là pour nous permettre d'y voir plus clair dans notre passion.

C'est à cela que m'a servi personnellement ce nouvel essai consacré à la saga littéraire de George R.R. Martin. Car outre la somme d'informations historiques condensées dans les 500 pages nécessaires pour faire le tour des influences de l'auteur, l'ouvrage manifeste surtout la passion dévorante de Martin pour l'histoire avec un grand H. Une passion qui l'a amené à voyager, à s'immerger dans les vestiges historiques, comme le mur d'Hadrien en Écosse, pour nourrir ses influences et l'immense fresque épique qu'est la saga du trône de fer.

Un cri d'amour pour une matière qui reste l'une des plus ludiques que l'on nous enseigne à l'école. Pour peu que l'on est comme professeur un passionné, les cours d'histoire peuvent vite devenir un exutoire à l'imagination. Les leçons sur les conquêtes romaines font résonner le bruit des batailles, le fracas des épées sur les boucliers, le reflet du métal des armures au soleil tandis que les chapitres des livres d'histoire consacrés à la Grèce antique nous ramènent à une époque chargée de légendes et de mythologie tandis que l'histoire des rois et reines nous en apprend beaucoup sur la nature humaine et la folie du pouvoir. C'est cet amour pour l'Histoire que George R.R. Martin exprime dans sa saga et je crois que c'est pour ça que je l'apprécie autant, pour être parvenu à créer son propre univers à partir de références universelles.

Car avoir su réunir autant de références différentes, d'époques diverses et d'influences aussi variées tout en gardant une cohésion et une maîtrise de son oeuvre, révèle déjà d'un travail formidable. Celui effectué par le tandem Aurélie Paci et Thierry Soulard n'en est pas moins impressionnant. L'ouvrage est extrêmement bien organisé, l'on passe de la préhistoire à l'antiquité gréco-romaine en passant par le tant décrier Moyen-âge, sans oublier ses chers vikings. Toutes ces influences sont replacés dans leurs contextes, les auteurs n'oublient pas de préciser que la saga du trône de fer à commencer à être rédigé durant les années 1990 et que la manière d'étudier l'histoire a changé depuis. Ils nous démontrent comment l'auteur s'est emparé d'un élément historique pour le remplacer dans son oeuvre, avec des encarts spécialement réservés à la série télévisée. Un même personnage, citée ou arc scénaristique du trône de fer peut être donc un patchwork de multiples références historiques.

La première partie s'accentue sur les rapports ambigus entre le genre littéraire de la fantasy et l'Histoire. Il ne s'agit pas seulement d'une introduction au propos générale du livre mais aussi d'une réflexion sur comment raconter une histoire, comment créer un univers fantastique sur la base d'éléments historiques. le sujet de la fantasy historique, qui réécrit l'histoire en y incorporant des éléments fantastiques ou la popular history, un genre littéraire qui romance les grands moments de notre histoire, y sont abordés. L'Histoire n'a pas fini d'inspirer nombre d'auteurs.

Cette partie est également l'occasion de se pencher sur la narration malicieuse de Martin dont certains des récits annexes au trône de fer sont narré par des mestres, qui sont des personnages à part entières de son récit, dans une réflexion autour de la notion de conteur et d'historien. À travers leur étude exhaustive de l'oeuvre de Martin le tandem Paci-Soulard nous montre que l'auteur est parvenu à intégrer cette problématique à sa saga et à densifier l'histoire de celle-ci par des mystères historiques et des sources contradictoires, rendant sa saga encore plus riche et passionnante. le duo d'auteur parvient à illustrer de manière claire et concise ces éléments introductifs aux propos principals.

La guerre des deux roses, un immense morceau de l'histoire anglaise, est également évoquée au cours d'un chapitre dont la lecture m'a paru plus laborieuse que les précédents. Je pense qu'il est nécessaire de s'aventurer dans cette partie en ayant déjà une certaine connaissance des événements de cette période trouble de l'Angleterre. Les multiples renvoie au récit de Martin ont parasité ma lecture et perturbé ma compréhension de cette guerre de succession. Il faut dire qu'il y a un nombre impressionnant de personnages concernés, que ce soit dans l'histoire véritable que dans le récit de Martin, et le duo n'a pas forcément le temps de tous les introduire correctement

Mis à part cette partie dont la lecture fût plus ardue que le reste. Cet essai se révèle être, pour qui veut encore plus explorer l'univers du trône de fer, une mine d'informations intarissables sur la saga de George R.R. Martin. Un ouvrage qui se veut comme un passeur de savoir, qui permet de rajouter une nouvelle brique à l'édifice gigantesque dont Martin a entrepris la construction il y a de cela maintenant une trentaine d'années.
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Si vous aimez la saga du Trône de fer et l'Histoire, alors ce livre est pour vous. Aurélie PACI (professeur d'histoire) et Thierry SOULARD (journaliste) ont su resituer les personnages et les événements marquants du Trône de fer dans les contextes historiques qui ont pu inspirer GRR MARTIN.
Au terme de recherches dignes de Sherlock Holmes, se fondant sur des matériaux très variés, les deux auteurs ont réussi à mêler harmonieusement littérature de fantasy et histoire.
L'épaisseur des "Mystères du Trône de fer, tome II" peut paraître impressionnante, mais cet ouvrage se lit très facilement. C'est un peu comme suivre une enquête policière.
La première partie fait référence aux différentes sources inspirations de Martin. Celles qu'il a pu revendiquer lors d'interviews ou sur son blog. On s'aperçoit alors que s'il a lu énormément de livres d'histoire, il s'intéresse surtout aux anecdotes, aux faits romancés, même s'ils ne sont pas toujours avérés scientifiquement.
La deuxième partie, compare les romans avec leurs références historiques, qu'elles soient revendiquées par MARTIN, ou bien supposées par nos deux auteurs. La chronologie n'est pas celle de la saga, mais celle de notre histoire. Ce qui rend ce livre plus facile à appréhender pour ceux qui comme moi ne sont pas des spécialistes en la matière. Un grand travail pédagogique a été réalisé afin d'amener l'histoire, avec un grand H, à la portée de tous.
En fait, pour apprécier les Mystères du Trône de fer, il faut surtout connaître les livres de GRR MARTIN.

Nous découvrons au fil des pages que pour certains évènements ou certains lieux, MARTIN a mixé les sources d'inspiration (Antiquité et Renaissance par exemple). Et que le Moyen Âge n'est pas la seule période qui sert de référence, contrairement à ce qui se dit souvent sur les réseaux sociaux. Loin de là !
La force de cet ouvrage réside aussi par les idées reçues qui sont battues en brèche au détour d'un chapitre. A titre d'exemple, nous découvrons que "Viking" ne désigne pas un peuple, ou que drakkar ne signifie pas bateau…
En réétudiant les péripéties qui ont marqué Westeros et Essos, nous revisitons notre propre Histoire, sur une période très large qui va de la Préhistoire jusqu'à l'époque moderne.
Certains épisodes du Trône de fer sont très proches des faits historiques, comme l'assassinat de Jon Snow, si semblable à celui de Jules César. La mise ne lumière des deux événements est fascinante.
La Guerre de Cent Ans et la Guerre des Deux Roses sont sans soute les périodes les plus marquantes. Peut-être parce que ce sont celles que nous connaissons le mieux en tant que français, mais aussi parce que ces époques ont connu des soubresauts dignes de romans d'aventures !
Je recommande vivement cet ouvrage, basé sur un vrai travail de recherche scientifique. Et aussi passionnant à lire qu'un roman à suspense.

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Rédigé par deux talentueux membres de "la Garde de Nuit", ce site internet francophone entièrement dédié à la Saga de Georges Martin, cet ouvrage met en évidence les références historiques multiples qui ont inspiré l'auteur dans la construction de son oeuvre.
Partant d'une connaissance encyclopédique des romans et de la série, les auteurs ont mis en évidence les rapprochements à faire avec des pages entières de l'histoire, qu'il s'agisse des Rois Maudits français, de la Guerre des Deux Roses britannique ou des incursions des vikings en Europe du Sud.
Les passages concernant l'histoire événementielle sont clairs et suffisamment précis pour distiller des connaissances synthétiques dans l'esprit des lecteurs.
Les références aux éléments romancés sont étayés par une étude scrupuleuse des déclarations de Georges Martin mais ne faut il pas reconnaître à ce dernier le droit de faire pleinement usage de son imagination pour créer des personnages et des situations romanesques ? Et même si celles-ci paraissent coller à une réalité historique particulière, est-ce vraiment voulu ? La fiction ne pourrait elle que s'ancrer dans une réalité ? Laissons la plutôt prendre le pouvoir et nous emporter sur ses ailes (comme la belle Daenerys sur son fidèle dragon ...)
Une lecture à réserver exclusivement aux ultra-fans (les autres risque de zapper une bonne partie du texte.)
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La saga du Trône de Fer nous est souvent présentée comme une représentation du Moyen-Age. Ce second tome des Mystères du Trône de Fer nous montre à quel point GRR Martin s'est en fait inspiré de nombreuses briques de notre histoire, en brassant des influence bien plus larges que le seul Moyen-Age. Mais surtout, le livre nous montre comment l'auteur a construit un mur avec ces briques historiques, voulant un univers cohérent, mais surtout au service de son récit. Les Mystères du Trône de Fer ne se contentent donc pas de nous dire "oui mais en vrai le Moyen-Age c'était pas comme ça" (sans blague !) il nous montre quelles sont les points, parfois très précis, sur lesquels Martin s'est appuyé, certains d'une historiographie datée, certains très romancés (l'auteur étant friand de "popular history"), et questionne avec intelligence ce qu'il en fait dans son récit. Très documenté et sourcé, le livre revient sur une quantité incroyable d'influences historiques qui nourrissent le monde de Westeros.

Un travail énorme qui transparaît, et qui est bien loin de la soupe opportuniste qu'on nous vend parfois parce que "game of thrones c'est la mode".
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Mais le monde du Trône de Fer, c'est aussi un monde où notre histoire se fait géographie, où chaque espace possède une ambiance et des caractéristiques propres à chacune de nos périodes historiques.
L'au-delà du Mur est en pleine préhistoire. Le nord de Westeros flotte entre le temps des Celtes, le haut Moyen-Age et l'Ecosse médiévale. Les Iles de fer rappellent l'Age des Vikings, le Bief le duché d'Aquitaine au temps d'Aliénor, Dorne, l'Espagne musulmane, etc.
A Essos, les influences sont encore plus mélangées. les régions des Cités Libres s'ancrent à la fois dans le monde grec antique et dans le monde italien des communes, deux périodes qui, nous le verrons, se répondent. La mer Dothrak même les "peuples des chevaux". La baie des Serfs plus à l'est s'éloigne dans le temps, et baigne dans une antiquité à la fois romaine, orientaliste et biblique, entre Babylone et l'Egypte des pharaons.
Au-delà de la chaîne montagneuse des Os, l'histoire laisse la place aux mythes et aux références littéraires : on entend parler d'antiques pays peuplés de centaures, d'hommes-lézards, d'hommes volants et d'amazones...
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Probablement apparu au cours du Xe siècle, le tournoi devient courant au XIe siècle. La joute équestre quant à elle apparaît au XIIe siècle.
Très prisés, les tournois constituent un apprentissage du métier des armes pour une classe nobiliaire très liée au militaire, une façon de régler certaines rivalités aristocratiques, un moment de divertissement. Ils sont aussi un espace où chacun peut se montrer - dans les tribunes, en lice - et le moyen d'acquérir gloire et renommée. Le chevalier, quand il participe à un tournoi, peut devenir un champion. Ses exploits distraient les foules, sont l'occasion de paris, seront éventuellement l'objet de chansons.
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La "chute de l'Empire romain" en elle-même - au Ve siècle de notre ère - a très longtemps été représentée par les historiens comme une période de déclin, de décadence des mœurs, de luttes intestines, de faiblesse des empereurs, d'orgueil, de corruption, parfois de cruauté, conjugués aux "invasions barbares" et épidémies, qui eurent raison de l'Empire (...). Cette image cristallisée, reprise par certains auteurs romantiques ou orientalistes du XIXe siècle - comme Lord Byron - et par certains péplums du XXe siècle est un sujet souvent réinvesti dans la littérature de l'imaginaire. Elle est aujourd'hui totalement dépassée et retravaillée par les historiens qui parlent de "fin d'Empire romain" mais ni de décadence ni de chute et qui évoquent surtout la disparition d'une structure centralisée, remplacée par d'autres formes politiques. Pourtant, l'image persiste, et, réemployée, elle donne une dimension tragique au destin de Valyria et renforce la violence de sa disparition.
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L'histoire de Novgorod continue d'inspirer George R.R. Martin : la fin de l'Intégrale 5 prépare largement à une grande bataille entre les forces des Bolton et celles de Stannis Baratheon, autour ou sur un lac gelé. Affrontement qui semble bien parti pour s'inspirer de la bataille du lac Peïpous - qui se déroula en 1242, et qui opposa l'ordre teutonique au treizième prince de Novgorod, Alexandre Nevski, sur un lac gelé. En russe, elle est nommée "la bataille de glace", un terme que George R.R. Martin utilise pour la sienne.
Plus précisément, George R.R. Martin s'inspirera possiblement de l'image légendaire que cette bataille a prise après la diffusion du film soviétique "Alexandre Nevski", sorti en 1938, qui montrait que la glace s'était effondrée sous la charge des Chevaliers Teutoniques. Le film est clairement destiné à montrer la valeur guerrière des Russes - Alexandre Nevski - face aux envahisseurs teutoniques - d'origine allemande - dans un contexte d'expansion nazie.
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L'autre genre cité par George R.R. Martin, très souvent en lien avec la fiction historique, est la popular history.
"Je dis que j'aime l'histoire, mais je tiens à préciser que je ne suis pas un historien professionnel", expliquait-il en 2019. "Ce que je lis et que j'aime, c'est la popular history, pas l'histoire académique. Si vous tombez sur [cela], sur ce qu'écrivent les historiens professionnels, vous vous endormez très vite."
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