C'est avec un pincement au coeur que l'on s'apprête à quitter cette trilogie et ses personnages riches en émotions.
Dans ce volet, on va faire un bon dans le futur de vingt ans et se concentrer sur
Césariot le fil de
Fanny.
Césariot est un enfant d'une vingtaine d'années calme et sérieux il s'apprête à rentrer à polytechnique. Mais il devient un enfant sans repère quand il apprend que l'homme qui l'a élevé n'est pas le père qu'il pensait avoir. Pendant vingt ans
César et la mère de
Fanny ont gardés le secret. Mais ça ne fait pas de doute, le père de
Césariot c'est
Marius !
Dans ce troisième volet on se concentre sur ce personnage, sur sa recherche de ses racines. C'est une belle fin d'histoire pour une pièce qui nous a montré l'évolution de ces vies. Un livre qui nous montre la vérité sur l'importance de ces origines. Sur les mensonges que l'on est prêt à croire pour se prouver que l'on avait raison ou pour se rassurer tout simplement.
Dans cette pièce on nous montre avant tout l'état de pensées que l'on pouvait avoir dans les années vingt. Par un manque évident de soutient de sa famille,
Fanny a été obligée de se marier, de mentir et de cacher un secret lourd de conséquence.
Cette trilogie est belle car elle nous fait passer par un grand nombre de sentiments. On s'accroche à tous ces personnages et on apprend à les aimer ou les détester. La tournure des événements rappelle une tornade qui d'un simple coup de vent entraînerai et détruirai tout sur son passage.
On est content que la promenade s'arrête car on est à bout de souffle. Mais pour nous, pour ces personnages qui sont devenus nos amis et dont on espère qu'ils pourront enfin vivre pleinement leurs choix et le reste de leurs vies.
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