Tu te caches derrière cette attitude de bad boy pour éviter de t’attacher à quelqu’un. Tu as trop peur d’être qui tu es, peur que les gens ne découvrent que tu n’es pas si méchant que ça au fond.
Tristan m'assène-t-il, cette fille ne vas pas te tuer parce qu'elle t'aime. Et lui avouer tes sentiments pour elle ne vas pas te tuer non plus. Par contre, l'amour peut finir par mourrir si tu ne te bouges pas le cul.
- Ce n’était pas le jour, je réponds en tentant de dissimuler au mieux ma colère dans le son de ma voix.
Je n’ai même pas besoin de la regarder pour savoir que mon ton était trop dur et que mon excuse ne la satisfait pas. Je ne sens plus sa peau sur mon bras. Et, bizarrement, j’éprouve déjà un manque.
- Je comprends. Le premier jour des règles est toujours insupportable, déclara-t-elle en me tapotant le genou.
Le truc sympa quand on habite dans une ville qui n’est ni perdue dans la campagne ni aussi étendue que Toulouse, la grande ville la plus proche d’ici, c’est que les gens ne s’occupent pas des uns et des autres.
- Il n'y a rien de plus facile.
- Si. Prendre le bus. Tu n'as qu'à t'asseoir dedans et attendre qu'il te dépose là où tu veux aller, rétorque-t-elle.
Cette fille ne va pas te tuer parce qu'elle t'aime. Et lui avouer tes sentiments pour elle ne va pas te tuer non plus. Par contre, l'amour peut finir par mourir si tu ne te bouges pas le cul.
J'ai toujours eu besoin d'entendre que mon père était fier de moi. J'ai attendu ce moment pendant des années. Puis, un jour, je me suis dit que ça ne servait à rien.
Je pense qu'un homme fort doit aussi l'être intellectuellement
L'amour [...] Ca ne finit pas toujours mal. C'est plus fort que ça. L'amour, c'est nous qui choisissons de le faire vivre
- Ce n'est pas le bon jour, je réponds en tentant de dissimuler au mieux ma colère dans le son de ma voix.
[...]
- Je comprends. Le premier jour des règles est toujours insupportable, déclare-t-elle en me tapotant le genou.