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Critique de PegLutine
"Sept princesses au destin étonnant,
sept histoires merveilleuses
inspirées des contes des Mille et Une Nuits."
Voici ce qui est annoncé sur la quatrième de couverture. Elle s'appelle Nawelle et vient des régions de l'Atlas, Hazar est la princesse des oasis, Aziyadé , Soraya vient de Perse, Leïla Princesse des souks à Damas, Maya vient de Bagdad et Kamila princesse du Nil.
Les images sont très belles, le texte est facile à comprendre, les histoires parlent de paix, de famille, de tradition.
Dans mon histoire préférée, l'héroïne doit passer trois épreuves et si elle réussit son père acceptera de lui céder le trône sans qu'elle soit mariée. Ça montre qu'il ne faut pas se sentir supérieur aux autres avant d'avoir bien réfléchi à la situation. Maya est maline car dans cette histoire elle essaie de toujours se fier à son bon sens et à répandre le bien autour d'elle.
Dans ma deuxième histoire préférée, Aziyadé a une vie difficile, elle vit dans un harem, elle n'a plus de famille mais elle ne se laisse pas aller au désespoir, même quand elle se retrouve emprisonnée: elle chante pour adoucir sa peine et le prince la remarque et en fait sa conseillère. Ça parle de la vie des femmes et de leur liberté, parce que Aziyadé ne pense pas que les hommes sont supérieurs aux femmes et elle défend son idée jusqu'au bout.
Je pense qu'on peut lire les histoires à partir de 7 ans.
Critique rédigée par Suzie, 9 ans.
sept histoires merveilleuses
inspirées des contes des Mille et Une Nuits."
Voici ce qui est annoncé sur la quatrième de couverture. Elle s'appelle Nawelle et vient des régions de l'Atlas, Hazar est la princesse des oasis, Aziyadé , Soraya vient de Perse, Leïla Princesse des souks à Damas, Maya vient de Bagdad et Kamila princesse du Nil.
Les images sont très belles, le texte est facile à comprendre, les histoires parlent de paix, de famille, de tradition.
Dans mon histoire préférée, l'héroïne doit passer trois épreuves et si elle réussit son père acceptera de lui céder le trône sans qu'elle soit mariée. Ça montre qu'il ne faut pas se sentir supérieur aux autres avant d'avoir bien réfléchi à la situation. Maya est maline car dans cette histoire elle essaie de toujours se fier à son bon sens et à répandre le bien autour d'elle.
Dans ma deuxième histoire préférée, Aziyadé a une vie difficile, elle vit dans un harem, elle n'a plus de famille mais elle ne se laisse pas aller au désespoir, même quand elle se retrouve emprisonnée: elle chante pour adoucir sa peine et le prince la remarque et en fait sa conseillère. Ça parle de la vie des femmes et de leur liberté, parce que Aziyadé ne pense pas que les hommes sont supérieurs aux femmes et elle défend son idée jusqu'au bout.
Je pense qu'on peut lire les histoires à partir de 7 ans.
Critique rédigée par Suzie, 9 ans.
