J'ai retrouvé avec plaisir Amalia (et ses enfants Fer, Emma et Silvia, et sans oublier ses chiens...), l'héroïne fantasque et attachante d'
Une mère, le tome précédent et j'ai aimé en apprendre plus sur cette famille.
Le livre se lit bien, c'est parfois très drôle (les quiproquos et malentendus provoqués par la mère sans qu'elle s'en rende compte sont savoureux) même si le ton du roman est plutôt triste dans l'ensemble. Toutefois, ce roman m'a moins plu car il y a des longueurs et des répétitions et soyons franc, il ne se passe pas grand-chose.
Je trouve dommage que le titre originel « Un chien » n'ait pas été conservé pour être cohérent avec le titre du premier tome.
Par contre, les couvertures des livres poche réalisées par Mügluck sont sublimes.
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