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4,06

sur 4318 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce deuxième tome est plutôt égal au premier. le style s'améliore, s'affine. L'histoire est toujours aussi prenante, malgré quelques longueurs.
Le tome 1 était centré uniquement sur Eragon. Dans ce tome 2, le récit s'éclate et le lecteur suit plusieurs personnages : Eragon dans son apprentissage à Ellesmere, Nasuada qui prépare le combat dans le Sud, et Roran qui cherche à comprendre pourquoi il se retrouve impliqué dans tout ça. Il n'y a rien de vraiment original dans l'idée de départ, un jeune garçon qui découvre sa destinée exceptionnelle et qui est obligé de grandir et d'apprendre vite, c'est du déjà vu, mais c'est bien mené. J'espère pouvoir enchaîner rapidement sur la suite.
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Les pions (Eragon, Arya, Nasuada, Roran, Murtagh) bougent sur les cartes dessinant les sentiers de la guerre.

Le tome est initiatique pour l'intégralité des personnages et peuples (apprentissage des leçons de vie, du pouvoir, développement de connaissances, de savoirs, de la survie...)

Ce tome II relate une bataille qui prédit une guerre imminente engageant tous les peuples.

Par rapport à beaucoup d'ouvrages du genre ce que j'apprécie particulièrement c'est la philosophie et l'humanité spécifique à Mr Paolini. Ce qui peux rebuter ceux qui sont à la recherche du sang à tout prix dans toute histoire, mais ce sont ces retournements intelligents qui me plaisent et qui me porteront jusqu'à la lecture du tome III.

Motion spéciale pour la qualité du paysage mouvant dépeint.


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Enfin ! Après tant de mois passés sur ce livre (que j'ai, je l'avoue, souvent délaissé pour des lectures scolaires) je l'ai enfin terminé hier soir.
Et qu'en dire ? Je l'ai trouvé meilleur que le premier, qui, s'il n'était pas mauvais, était un peu plat. L'histoire était intéressante et bien écrite, mais je n'avais pas ressenti grand chose à la lecture. Ce point s'est amélioré dans ce tome ci, surtout avec l'arrivée des nouveaux personnages tels qu'Oromis et Glaedr, à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Sinon, l'histoire est prenante malgré quelques passages un peu longuets, l'auteur parvient à nous tenir grâce à l'alternance entre l'épopée d'Eragon et les mésaventures des habitants de Carvahall. Ces derniers finissent par se retrouver à la fin du tome, pour mieux se tourner vers la quête du tome 3, ensemble.
Un petit - : Eragon est parfois idiot, et prend un peu de temps à acquérir une certaine sagesse. Je comprends le but de l'auteur, mais l'effet donné est un peu exagéré... (exemple des préjugés qu'il a pour les Urgals).

to sum it up = un tome meilleur que le premier, qui nous donne envie de lire la suite afin de voir comment tout cela va se finir.
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J'avais pourtant lu des avis très contradictoires sur ce tome, et plutôt négatifs dans l'ensemble ! C'est peut être pour cela que j'ai eu du mal à le commencer, en tout cas les 200-300 premières pages ne m'ont pas totalement emballée. Mais après ..! On se laisse emporter, et comme le premier opus j'ai fini par le lire très rapidement, plongée dans l'histoire et rêvant de dragons! Et puis quelques retournements de situations, avec des éléments imprévisibles, donc bien bien très bien! Je le conseille à tous ceux qui ont lu L'Héritage et souhaitent poursuivre l'aventure ... Quant à moi, j'entame le troisième directement !
Lien : http://mon-poisson-jaune-est..
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La saga de L'Héritage occupe une place particulière dans mon coeur : c'est grâce à ces livres que j'ai noué une belle – bien qu'éphémère – amitié. J'étais au collège, et j'avais cette (vilaine) manie de lire pendant les cours, le roman installé en équilibre précaire sur mes genoux. Et c'est ainsi que mon voisin de table, en latin, m'a un jour vu en train de dévorer le premier tome de la saga … et a aussitôt déclaré que c'était son livre préféré. Et c'est ainsi que pendant toute une année scolaire, Vivien est devenu Eragon, Orphée est devenu Saphira, François est devenu Roran, et je suis devenu Arya. le terrifiant contrôle de maths représentait à nos yeux une épique bataille contre les armées de Galbatorix, et les sorties scolaires étaient l'occasion de vivre de nouvelles aventures fictives. J'ai le souvenir très net d'une randonnée en raquettes durant laquelle nous avons fait tourner le guide en bourrique à force de nous poursuivre en hurlant (les boules de neige devenant dans notre imagination des sortilèges mortels !) … Et je ne peux le nier : aujourd'hui encore, Eragon porte les traits de Vivien, et Saphira a la voix d'Orphée !

L'attaque des Urgals a été repoussée … mais à quel prix ? Les Vardens ont perdu leur chef, les Nains pleurent la destruction d'un joyau de leur architecture, et Eragon n'est plus que l'ombre de lui-même depuis qu'il a vaincu le terrible sorcier Durza. le dos déchiré par une douloureuse cicatrice, le jeune homme sait pourtant qu'il ne peut manquer à ses devoirs de Dragonniers : c'est pourquoi il prête allégeance à Nasuada, nouvellement nommée à la tête des rebelles, et se rend chez les Elfes afin d'achever sa formation, entamée par Brom. Son séjour à Ellesméra sera riche en surprises, mais aussi en désillusions … Pendant ce temps, son cousin Roran doit lui aussi faire face à de terribles épreuves : les Ra'zacs sont de retour au village, et le jeune homme est prêt à tout pour protéger ses voisins et amis. Mais malgré tous ses efforts, il n'a pu empêcher les créatures de Galbatorix d'enlever sa fiancée, Katrina. Fou de rage et de douleur, celui que l'on nomme désormais Puissant Marteau va convaincre les villageois de se lancer dans la plus folle des épopées : rejoindre les rebelles Vardens au sud du continent …

Je gardais un souvenir plutôt mitigé de ce second tome, qui s'est finalement avéré être une excellente (re)découverte ! Sans doute est-ce dû à la différence d'âge : à quatorze ans, seules les grandes batailles m'intéressaient, alors que maintenant, je suis bien plus sensible à l'évolution des personnages, à leurs luttes intérieures … Et indiscutablement, malgré quelques échauffourées, ce second tome comble parfaitement mes attentes actuelles ! Nous suivons Eragon et Saphira dans leur apprentissage auprès d'un vieux Dragonnier désormais incapable d'utiliser la magie et de son dragon mutilé. Jusqu'à présent, Eragon n'était encore qu'un garçon de ferme, un peu naïf et très impulsif, jeté en pâture face à un destin qui le dépassait. Il n'était animé que d'un simple désir de vengeance, alors qu'on attend de lui qu'il rétablisse la paix et la justice dans le pays. Il agissait sans jamais réfléchir aux conséquences de ses actes pour les autres, car il n'avait pas encore conscience de toutes les responsabilités qu'impliquait son nouveau statut de Dragonnier. Au fil de ce tome, Eragon murit : il devient plus réfléchi, plus sensible aussi. Il se rend compte que ses incroyables pouvoirs ne peuvent et ne doivent pas être utilisé à la va-vite, n'importe comment. Il se rend compte qu'il ne peut pas se permettre d'être égoïste ou de faire des erreurs … ce qui ne l'empêche pas d'en faire. Car Eragon n'est pas parfait, loin de là, et c'est ce qui le rend si attachant !

A côté de cela, nous suivons également Roran dans son combat contre les sbires de l'Empire, venu semer la terreur au village. Je dois le reconnaitre, au début, je n'étais pas vraiment ravie de quitter Eragon pour suivre son cousin, fier, colérique et belliqueux à souhait. Je comprends sa douleur d'avoir perdu son père dans des circonstances aussi cruelles, mais je le trouve très dur à l'encontre d'Eragon, son presque-frère, qu'il connait depuis toujours : le premier tome les montrait très proches et soudés, et on a le sentiment que l'auteur a fait subir un lavage de cerveau à Roran pour des facilités scénaristiques ! Heureusement, cela s'arrange au fil du temps, et Roran doit lui aussi faire face à ses responsabilités nouvelles : le voici propulsé à la tête d'un village honni par Galbatorix, et il est le seul à pouvoir leur éviter l'esclavage ou la mort. Les actes de Roran sont terribles, mais dictés par la nécessité, et c'est un crève-coeur de le voir ainsi renoncer à son intégrité pour le bien collectif. Je l'admire pour cela, même si je n'ai pas réussi à m'attacher autant à lui qu'à Eragon … ou à Nasuada, que nous suivons également tout au long du roman. Nouvellement nommée chef des Vardens, la jeune femme a dû imposer son autorité face aux Conseil des Anciens ou aux magiciens du groupe. J'ai beaucoup aimé son ouverture d'esprit, elle n'hésite pas à mettre de côtés ses propres ressentiments et préjugés pour mettre en place de nouvelles alliances bénéfiques pour la cause. Elle est bien plus sage qu'Eragon, bien plus douce que Roran, et c'est un régal de mieux la connaitre !

Trois personnages, trois intrigues parallèles, qui finissent par se rejoindre lors du grand final. Je dois l'avouer, le premier tiers du roman traine en longueur : il faut mettre en branle ces trois récits, et cela prend un peu de temps. Par la suite, même s'il semble ne pas se passer grand-chose – Eragon étant en plein apprentissage, Roran en plein voyage, et Nasuada en pleins préparatifs –, on se laisse happer par l'histoire, et par la plume majestueuse de Christopher Paolini, qui affirme ici tous ses talents de conteurs. Les descriptions sont d'une beauté rare, les dialogues sont superbement bien menés, et les scènes d'action ou de révélation sont tout simplement palpitantes … Plus d'une fois, mon coeur s'est emballé, plus d'une fois, mes yeux se sont embués. Au fil des chapitres, on se laisse complétement immerger dans cette histoire d'une intensité incroyable. Fini l'émerveillement du premier tome, Eragon, Saphira et le lecteur doivent faire face à la terrible réalité : c'est tuer ou être tué. C'est la lutte entre le despotisme de Galbatorix et l'espoir que représentent le jeune Dragonnier et sa dragonne. C'est l'éternel combat entre le bien et le mal, entre la lumière et l'obscurité. Oui, ça peut paraitre manichéen, mais dans un livre de fantasy tel que celui-ci, c'est tout simplement époustouflant !

En bref, vous l'aurez bien compris, j'ai vraiment adoré ce second tome ! Ce fut un vrai plaisir que de cheminer aux côtés de personnages aussi « authentiques », d'apprendre à mieux les connaitre (j'aimais déjà beaucoup Arya auparavant, mais je l'apprécie de plus en plus à chaque page), de les voir évoluer tandis que se prépare l'affrontement final. On le sent, si Eragon et Saphira sont les héros de cette éprouvante épopée, ils ne seraient rien sans leurs compagnons … Et cela d'autant plus que la fin de cet opus laisse Eragon face à une terrible vérité : parviendra-t-il à assumer cet effrayant héritage qui est le sien ? Dans un univers où chacun se présente comme « fils de » ou « fille de », cette parenté nouvellement découverte ne risque-t-elle pas de remettre en question son identité même ? Même si je suis tout aussi effarée et chagrinée qu'Eragon par cette improbable découverte, je dois avouer être fort curieuse de voir comment il va se dépatouiller avec tout cela. Car c'est un joli sac de noeud que cette histoire, mais quel régal ! On en redemande toujours plus, et on voudrait ne jamais avoir à interrompre sa lecture ! Un excellent tome qui m'a donc bien plus convaincue que la première fois !
Lien : https://lesmotsetaientlivres..
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cette série est divertissante,
vous y trouverez de tout : de la magie, de la sorcellerie, des combats, la lutte du bien contre le mal, des personnages attachants, détestables : nains, elfes... sans oublier les dragons.

divertissante et c'est tout.
on peut être charmé mais on peut aussi se lassé, ce fut mon cas : j'ai tenu sur les 3 premiers volumes mais n'ai pas continué.
l'auteur semble "surfer" sur son succès pour écrire un autre roman puis un autre mais le soufflé retombe. malheureusement.
il aurait peut être mieux fallu condenser les 4 volumes en 2 ?
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Alors que les Vardens célèbrent la victoire d'Eragon sur Durza, Ajihad est tué dans une dernière escarmouche et les Jumeaux et Murtagh, disparus, sont présumés morts. Eragon va se retrouver mêlé aux intrigues politiques avant de partir effectuer sa formation de dragonnier chez les Elfes.
Pendant ce temps, à Carvahall, Roran doit faire face aux menaces et aux attaques des Ra'zacs, à la recherche d'Eragon et de sa pierre.
L'Ainé se termine sur un champ de bataille : Eragon, venu soutenir Nasuada et le Vardens, se retrouvera confronté à un autre Dragonnier, et devra affronter la vérité sur ses origines.
J'ai davantage pris plaisir à suivre Roran et Nasuada qu'Eragon dans ce tome. J'ai trouvé les passages chez les Elfes longuets et parfois très moralisateurs. En revanche, le(s) coup(s) de théâtre du final sont magistraux !
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Un deuxième tome meilleur que le premier de mon point de vue. Je l'ai trouvé plus fluide et bien plus facile à lire. Il est toujours aussi dense en personnages et histoires, mais ça passait bien plus facilement !

On suit deux histoires en parallèle : celle d'Eragon et celle de Roran. Eragon continue son apprentissage de dragonnier en allant chez les elfes. On découvre en même temps que lui les croyances et coutumes des elfes mais aussi des dragonnniers.. On le voit apprendre petit à petit les compétences nécessaire pour faire un bon dragonnier, on le voit également faire des erreurs et apprendre de celles-ci.

Roran de son côté, revient dans son village et découvre la cruauté de Galbatorix. En effet, il a envoyé une armée à sa recherche, qui fera tout pour le capturer. Il devient, un peu malgré lui, le chef de son village qui se rebelle et combat Galbatorix et ses armées.
J'ai beaucoup aimé l'alternance entre les 2 histoires, cela m'a permit de ne pas sentir de lassitudes, temps morts.

Petit bémol sur le comportement d'Eragon qui m'a pas mal agacée avec, notamment, son obsession pour Arya et son 'insistance'.
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Si le rythme entre les deux tomes est différent, et que précédemment il semblait plus soutenu, les révélations dévoilées dès la moitié du tome sont inattendues et valaient l'attente des deux cents premières pages.

Dans ma précédente critique, j'ai oublié de citer que j'ai été agréablement surprise par la manière dont l'auteur apporte du réalisme à son univers. Saga écrite au moment où le genre fantasy young-adult ne possédait pas un choix aussi varié de romans, Paolini décrit les particularités et la culture de chaque espèce. le lecteur apprend beaucoup sur les traditions des elfes, la religion des nains, l'histoire des humains ou encore les capacités physiques des dragons. On s'attache ainsi aux différents personnages et on parvient à mieux les comprendre.

N'étant plus très adepte des sagas, de part leur longueurs, celle-ci m'a beaucoup plu et j'ai hâte de découvrir le destin d'Eragon et de Saphira.
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Me voici de retour dans le monde d'Eragon avec ce second tome plutôt épais.

Comme pour le premier tome, l'univers crée dans cette série est intéressant, très bien construit avec l'apprentissage de la culture naine et elfique pour cette opus. C'est agréable de lire sur un univers riche en détails et en points culturels assez diversifiés.

Pour les personnages, Eragon recommençait à m'agacer au début du récit mais heureusement tout ce qu'il vit dans ce tome le fait mûrir assez vite et son côté langue pendue se dissipe un peu. Il devient plus réfléchit même si sa nature revient de temps à autre. Saphira m'a bien fait rire au début de la vie chez les elfes, pour un jeune dragon, elle est très mâture. Il y a bien un couac mais elle se relève assez vite de son humiliation.

Quant à l'histoire, elle est très dense et j'ai pu m'ennuyer à certains moments. Cela n'enlève en rien le fait que j'ai apprécié ce tome qui fut agréable à lire et intéressant. J'avoue un pincement au coeur pour Murthag et ce qu'il doit vivre. J'apprécie l'évolution d'Eragon et de Saphira. La rencontre avec Oromis et Glaedr est cultivante.

Pour conclure, j'ai passé un bon moment avec ce deuxième opus et je lirai avec plaisir le troisième tome.
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