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EAN : 9782723497169
56 pages
Glénat (26/08/2015)
2.88/5   13 notes
Résumé :
"Le sourire de Léonard... 1516. Le roi François Ier, qui cherche à ajouter encore à son prestige, fait venir de Florence le célèbre peintre Léonard de Vinci. On chuchote que le souverain a fait aménager un passage souterrain entre son château et le Clos Lucé où réside le génie de la Renaissance. Sur place, Lorenzo, le jeune apprenti du maître, l'interroge sans relâche sur l'un de ses portraits commencé à Florence en 1503 : le sourire de Mona Lisa. Léonard, qui s'amu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Cette BD retrace l'histoire de Léonard de Vinci, arrivé en France en tant qu'invité de François Ier, à partir de flash-backs successifs et de confidences – vraies ou fausses, nul ne le saura… - sur les secrets de son plus célèbre tableau : Mona Lisa.
Côté historique, l'essentiel est là : les années de formation, l'inventeur, l'ingénieur militaire, les commandes peu ou pas finies, la prétention de l'artiste, et ses goûts pour la gent masculine…
Côté dessins, Olivier Pâques fait de la simple l'illustration, pas très fouillée, ni détaillée. Dommage, car on est là en train de parler d'un grand artiste et le dessin aurait du viser plus haut.
Les notes finales de l'historien de l'art Dimitri Joannidès complètent bien l'album.
Reste une bonne introduction au génie florentin. Une BD à offrir à un ado suite à une visite au clos Lucé – quand la période sera plus calme, et permettra de passer un peu de temps à s'interroger sur le passé...
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Cette bande dessinée n'est pas déplaisante à lire, mais l'intérêt s'arrête là. Ramener la peinture à une série d'anecdotes, c'est toujours ce que je redoute dans les biographies, cela réduit l'art à la starification de l'artiste, ça ne nous apprends pas à s'émouvoir devant les oeuvres, au contraire, on en revient au fameux “Il faut avoir vu”. Donc pour résumer, il y a Leonard de Vinci d'un côté, et La Joconde de l'autre, ça serait la même chose avec un autre artiste, comme Piero Manzoni par exemple… En fait, tout ça, on s'en fout. le graphisme est assez banal, c'est un comble, il n'y a pas le moindre échange entre les auteurs de cette bande dessinée et les oeuvres de Leonard de Vinci, donc pas plus avec le lecteur. Laisser penser qu'une oeuvre d'art doit renfermer un secret caché pour être fascinante est une erreur monumentale qu'on retrouve pourtant souvent chez certains historiens d'art classiques. L'application de ce principe amène à une fascination artificielle de ce qu'il “faut avoir vu”, le “il faut” prend le pas sur le “vu”, ce principe amènerait à être autant fasciné par Kim Kardashian que par la Joconde, imaginez l'horreur ! Comment ça ? c'est déjà le cas ?
Le secret de la fascination il faut aller le chercher dans la tête de celui qui est fasciné. Il faut apprendre à regarder, à se servir de ses yeux, pas à connaître.
Bref, je ne vois pas où se situe l'intérêt de cette bande dessinée.
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Les 7 dernières pages ont plus de valeur en résumant succinctement la biographie que le reste du livre. La bande dessinée est assez déplorable, tant pour des dessins sans style attrayant que pour une histoire relatant de quelques petites péripéties de la vie du génie. Il n'y a aucune référence à ses inventions, son "ingénieurie", ses principaux tableaux, son caractère, ses relations avec ses protecteurs, ...
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Déception avec cette BD sur un maitre qui pourtant, pouvait donner de la matière et ouvrir tous les possible à son auteur. L'histoire tourne autour d'une série de suppositions autour du portait de la Joconde. Qui est-elle? le Maître passe de soit disant vérité en vérité en fonction de son auditeur sur le nom de son modèle. La thèse longtemps considérée comme la plus crédible est celle de Lisa Gherardini, épouse du marchand florentin Francesco del Giocondo, d'où son appellation Joconde.
Mais en 1517 cette thèse serait invalidée par le secrétaire du Cardinal d'Aragon et le nom nouveau avancé serait celui de Mona Lisa, une certaine Dame florentine proche du prince de Médicis.
Au final, cela importe peut et rend l'album encore plus décévant d'autant qu'il ne va pas jusqu'à cette explication.
Le dessin est simpliste, là encore bien loin de talent de son sujet.
Dommage.
Seul point intéressant : les dernières pages sur l'histoire de Léonard de Vinci. Mais nul besoin de BD pour lire un texte articulé autour des points suivant :
- les premiers pas d'un autodidacte
-l'éclosion d'un talent hors-norme
-l'apogée florentine
-le colère des Médicis
-une fin française
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Voilà que la collection de Glénat sur les grands peintres s'attaque au plus illustre de ceux-ci à savoir Léonard de Vinci. C'est sans doute le titre le plus attendu. le résultat ne parvient pas à briller. C'est toutefois correct mais sans le plus qui nous aurait permis de comprendre ce génial inventeur.

Les auteurs s'attaquent au mythe le plus célèbre à savoir percer le sourire de la Joconde. Qui était Mona Lisa ? Toutes les théories seront délivrées au cours de cette épisode qui voit l'arrivée du vieux maîtres dans la Cour de François 1er. On a droit à l'auto-portrait travesti, celui de la mère ou encore de la maîtresse mais point de vérité absolue.

Les auteurs ont pourtant voulu donner dans l'authenticité. le dessin semble sans âme et le scénario est trop classique. Dommage pour décrire la personnalité de celui qui n'a jamais été oublié près de 500 ans après sa mort. Il fascine toujours encore tout comme le sourire de Mona.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Cela faisait plusieurs années que Léonard poursuivait son apprentissage dans l'atelier de Verrocchio, à Florence.
En qualité d'élève, il avait été soumis à la stricte discipline du maître qui n'hésitait pas à battre les apprentis qui ne lui apportaient pas satisfaction.
Mais l'apprentissage fut à la hauteur des espérances de Léonard qui devint maître à l'âge de vingt ans.
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Léonard de Vinci : Si l'on conçoit que rien n'est en tout, tout n'est rien.
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Le secret du talent est aussi de ne pas ignorer sa propre valeur.
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Grâce à votre génie, nous allons construire une ville nouvelle, sur les principes antiques de Vitruve. Et mon château sera le plus beau du monde.
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Piètre disciple, qui ne surpasse pas son maître !
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