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Citations sur Une enquête de Nicolas Le Floch : La Pyramide de Glace (35)

Les réformes commencent toujours mal. Les débuts sont difficiles et le Français est rétif à toute nouveauté, bien qu'emporté régulièrement par des modes successives.
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Ainsi surgissaient, pénétrant le commun de stupeur effarée, une foule de prodiges et d'apparents mystères. Deux mondes basculaient l'un sur l'autre ; le nouveau, empruntant à l'ancien ses arcanes, usait de ce que la science lui prodiguait pour en redoubler l'efficience. Le tout constituait une chaîne entravant le libre jugement des crédules qui se laissaient séduire.
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Ce dur hiver a pétri les esprits au point de les rendre malléables à merci et ouverts aux plus irréelles folies.
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Nos parisiens sont comme les mouches qu'une ordure attire. Ils sont avides du moindre drame et plus celui-ci est sanglant, plus ils accourent en nombre.
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- A cela s'ajoute aussi que l'enlèvement des neiges et des glaces n'est guère respecté. L'audience de police du Châtelet, nous le savons, ne cesse de condamner des récalcitrants. On a même tenté de former des compagnies de balayeurs de la cité.
- Et, répondit Nicolas, tu sais que le remède a été pire que le mal. Elle a persuadé le bourgeois que le balayage n'était plus une obligation. Il paraît s'en laver les mains puisque la police se chargerait de tout.
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- Hum ! Je me méfie lorsque vous êtes aussi urbain avec moi. Cette politesse est un miroir sur lequel l'alouette vient se heurter. Vous ne m'avez pas toujours traité ainsi.
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Flatteur ! Mon apparence t'a mis, j'le croyons, la Russe à l'oreille...
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Sachez, Nicolas, que dans les loges il y a ceux qui travaillent au progrès de l'humanité et ceux qui œuvrent pour eux-mêmes.
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Que plus les Lumières éclairaient le siècle et plus les crédules devenaient des proies faciles.
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Quelque pitié qu'on éprouve pour eux, il reste que ces gens sont dangereux par leur oisiveté et leurs besoins. Ils demeurent les ennemis les plus à craindre du repos de la société à laquelle ils sont, hélas, absolument inutiles et à charge.
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