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Critique de Felina


Felina
27 septembre 2018
Cette série pour pré-adolescents à l'air de dépoter. Entre la BD post-apocalyptique et le roman, "Kepler62" s'insère dans une niche littéraire qui risque de très bien fonctionner. Les auteurs se proposent de faire une série composée de 6 tomes. Timo Parvela est également l'auteur de la série très humoristique dans l'esprit du "Petit Nicolas", de "Moi et super ma bande".

Dans le premier tome, "L'appel", Ari et Joni, quasiment livrés à eux-même, vivent dans un monde en voie de disparition, dont les ressources sont très appauvries. Tous deux rêvent de pouvoir jouer au jeu vidéo Kepler 62, qui promet une récompense bien mystérieuse à celui qui arrivera à finir le jeu. Jusqu'au jour où Joni revient à la maison avec...

Dans "Le compte à rebours", Marie est la fille d'une riche fabricant d'armes, qui s'ennuie à mourir. En arrivant à la fin du jeu, elle ne s'attendait pas ça. La jeune fille, conduite sur une base militaire, a été choisie pour une mission en compagnie d'Ari et Joni. Mais quel est réellement le but de cette mission? Marie sent que d'autres choses sont en jeu.

L'univers de Kepler 62 est très post-apocalyptique, et très sombre. Cet aspect est parfaitement mis en valeur par les illustrations qui occupent, à certains moments du récit des pages entières, comme dans une BD. le texte semble venir en second. C'est très intéressant comme façon de raconter une histoire, et ça risque de bien fonctionner avec les jeunes d'une dizaine d'années. La série est écrite à quatre mains, avec Timo Parvela et Bjorn Sortland. La différence de plume se ressent d'un tome à l'autre.

Bien sûr, le récit s'adresse à de jeunes lecteurs, donc il est beaucoup moins développé qu'il aurait pu l'être. Néanmoins, le lecteur passe un bon moment lors de cette lecture, et la découverte de cet univers promet. (...)
Lien : http://lillyterrature.canalb..
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