[Cette critique a été rédigée par Abettik, auteur du blog Sf et al]
Atmosphère, atmosphère. Quelques références cinématographiques qui me sont spontanément venues à l'esprit au fur et à mesure que je m'enfonçais dans le récit serviront de fil conducteur pour évoquer l'ambiance particulière de ce roman.
Mad Max (George Miller, 1979), pour la violence impitoyable qui est devenue la norme dans une vision très sombre de l'avenir. Pas d'horizon lointain et poussiéreux ici, au contraire, du béton, de la pluie, les égouts comme seules perspectives. Sous prétexte d'éradiquer définitivement les crimes et en contrepartie d'une application apparemment très dure et inflexible de la « tolérance zéro » (absurde oxymore démagogique) face à ces actes violents , une sous-classe de citoyen est créée, les vics (pour victimes) qui serviront de défouloirs humains à toutes les pulsions contenues des citoyens plus fortunés.
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