Lorsqu'il écrit sur Picasso dès 1905, sur Matisse dès 1907, puis sur Braque, Delaunay, Derain, Léger, Picabia, Kandinsky...Guillaume Apollinaire se place résolument à l'avant-garde de son temps. Mais le restreindre à ce seul aspect de "Saint-Esprit du cubisme", c'est oublier que, par goût autant que par obligation, il s'est intéressé à tout ce qui faisait l'actualité artistique de Paris, du cubisme à l'orphisme, certes, mais en passant également par les Salons "offi...
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