Je suis ton soleil

Je n'ai même pas de mots assez fort pour décrire mon émotion lorsque j'ai enfin pu poser mon livres, après quelques instants, les yeux dans la vague.
Il y a tant de choses à dire, parce qu'il est vraiment incroyable. Réaliste, il nous parle de sujet très forts, tels que l'avortement ou le suicide. Pourtant, Marie Pavlenko n'émet aucun jugement. On peut même sentir, à travers son écriture, de la bienveillance.
De plus, c'est un roman addictif. Impossible de le lâcher avant d'avoir terminé son chapitre. Je l'ai dévoré en quelques heures, et même quand je n'avais pas le nez dans mes livres, j'y pensais sans cesse, c'était plus fort que moi.
Je pourrais le lire, relire et relire encore sans m'en lasser. C'est pour moi, ma plus belle découverte de cette année 2020.

Déborah commence son année de Terminale, ses impressions ne sont pas bonnes. Mais ce n'est pas ça le pire, c'est sa mère, elle qui reste dans le salon et qui découpe obsessionnellement dans les magazines. Et puis il y a également son père au bras d'une autre femme...

Une histoire captivante, touchante, des personnages intéressants, en particulier Déborah et sa façon de s'exprimer totalement honnête et drôle. Au fur et à mesure que l'histoire avance la mentalité des personnages aussi, on en apprend plus sur leur passé, leurs personnalités...
Les sujets abordés sont également intéressants : La dépression, la vie de couple/divorce, l'acceptation, l'homosexualité (brièvement) ...
Tout cela pour dire que "Je suis ton soleil" est un livre sublime et émouvant sur la vie d'une jeune fille.

Coralie (2nde3)

À l'occasion de la parution du nouveau roman de Marie Pavlenko aux éditions Flammarion j'ai eu envie de partager avec vous sur le blog la chronique de Je suis ton soleil qui m'avait ravie le coeur et dont mon avis avait été publié dans le numéro de février de feu le magazine BLOGGERS'.

L'année de terminale de Déborah commence de manière catastrophique, et rien ne laisse penser que cela ira en s'améliorant. Entre une mère déprimée qui adopte un chien-clochard et un père qui embrasse une inconnue au café, les choses vont de mal en pis. Heureusement, Déborah peut compter sur ses nouveaux amis, ses livres, son humour et son courage pour affronter les nuages qui s'amoncellent, et les transpercer tel un rayon de soleil.

Il est assez difficile de chroniquer un livre comme Je suis ton soleil, au sens où il ne ressemble à aucun autre. Il s'agit du genre de roman sur lequel on a tant à dire que si on n'y prend pas garde, on se retrouve vite à raconter toute l'histoire. Mais c'est aussi le genre de livre pour lequel il est très difficile de trouver des arguments autres que « il est génial ! » tellement c'est un tout, un assemblage de petites choses qui le rendent unique et un peu fou.

Donc, en conclusion, ce livre est génial, lisez-le absolument. Fin de la chronique. Si d'aventure ce seul argument, associé à la génialissime couverture dorée parsemée de coquillettes ne vous a pas convaincus, voici quelques arguments supplémentaires pour vous inciter à découvrir cette histoire. Son héroïne, en premier lieu.



Déborah entre en terminale ; elle possède un humour noir et cynique absolument désopilant, une passion pour les romans et les expressions imagées, ainsi qu'une capacité particulière à ne pas se laisser envahir par la poisse, le pessimisme et la déprime qui l'entourent. En résumé tout pour nous la rendre immédiatement sympathique et attachante.

Ajoutez à cela des personnages secondaires assez géniaux, comme les deux nouveaux amis de Déborah, aussi marginaux et décalés qu'elle, le chien complètement toqué recueilli par sa mère, ou encore sa libraire favorite qui fait aussi office de psy et de maître à penser, et vous verrez naître quelques situations à mourir de rire à chaque page ou presque de ce roman.

Mais vous ne ferez pas que rire, car Marie Pavlenko raconte avec beaucoup de franchise et de second degré, mais avec beaucoup d'émotion également, l'année de terminale très spéciale de Déborah. Et sans que l'on s'en rende compte, derrière cette chronique de la vie ordinaire se joue quelque chose de bien plus grand, de bien plus grave, qui enfle jusqu'à exploser et tout bouleverser sur son passage, en commençant par la vie de Déborah jusqu'à nos petits coeurs de lecteurs.


Pour conclure, ce roman est un de ces ovnis, une de ces pépites que l'on lit, qui nous bouleversent, nous transportent, que l'on offre, que l'on recommande. Et qu'on relit bien sûr, pour mettre un brin de soleil et de folie dans le quotidien chaque fois que la vie est vache, grise et moche !
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Déborah, n'est pas la plus jolie, ce n'est pas la plus intelligente. Elle est même très maladroite et c'est ce qui la rend très sympathique. Lors de la rentrée en terminale, elle découvre qu'elle n'est plus dans la même classe que sa meilleure amie Éloïse. Déborah décrit alors son quotidien de lycéenne avec ses joies et ses chagrins, les modes et les codes vestimentaires de ses congénères, et de grands éclats de rire. Dans sa nouvelle classe, elle va se rapprocher de deux garçons, l'étrange Jamal et ses mygales et le beau Victor dont le coeur est déjà pris et au charme duquel elle n'est pas insensible.
Déborah décrit ses camarades de classe avec beaucoup d'humour, de justesse, d'ironie et de tendresse. Elle sait se moquer d'elle-même et des autres pour aborder les sujets difficiles de la vie : la déprime de sa mère, les moyens financiers, les sentiments amoureux, les cours à suivre, les devoirs à rendre et les notes.
Ce récit à la première personne est découpé en chapitres courts qui rendent la lecture facile et haletante. Haletante car cette année de terminale devient une véritable aventure avec du suspens. Déborah va t-elle réussir à surmonter ses difficultés scolaires, familiales, sentimentales ? Va-t-elle réussir à décrocher son baccalauréat ?
On referme ce livre avec un grand sourire. C'est un vrai coup de coeur pour cette anti-héroïne, cette fille normale. L'auteur Marie Pavlenko manie l'auto-dérision pour livrer un roman touchant et profond sous des allures désinvoltes. Un beau roman pour apprendre à grandir.
Amélie

Une lecture extrêmement agréable.

On suit la vie de Déborah une adolescente de terminale: le bac, les secrets de son père, sa mère dépressif, et j'en passe.
Ça fait beaucoup, mais c'est une histoire très réaliste.

Je ne peux que conseiller ce livre, parfait pour se remonter le moral.

Ce livre porte très bien son nom car c'est une invasion de lumière et de bonne humeur (malgré des événements moins marrants) dès que l'on l'ouvre.

Hélène

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Je n’aime normalement pas trop ce genre de romans, mais ce livre m’a captivé. On pénètre avec une simplicité encourageante les pensées de Déborah, on suit avec émotion les mécanismes (et les théoèmes) de sa vie et on découvre avec bonheur le chemin emprunté par l’héorine pour se construire.
Tout cela est amplifié par le style d’écriture entraînant de l’auteure, qui laisse transparaître son amour des livres et des mots, notamment grâce aux citations qui ponctuent le livre.
Je ne peux que le conseiller.

Charline

C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Déborah, le jour de sa rentrée en Terminale elle remarque deux garçons, un qu'elle trouve beau et l'autre moche. le garçon qu'elle trouve le plus beau est un idiot et bourreau des coeurs et la trouvera moche alors que celui qu'elle trouve moche sera tout le contraire de l'autre et il tombera amoureux d'elle mais sans retour car elle tombera amoureuse du plus beau mais sans retour non plus.
Je n'ai pas aimé ce livre car je trouve qu'il n'y a pas beaucoup d'action, à part le triangle amoureux de Déborah et les deux garçons.
Note : 1/5
Jessica, 1BPGA, 2019-2020

Déborah vit ses dernières années au lycée entourée de ses parents, ses amies, son amour et son chien. Sa vie va basculer au fil de l’histoire à cause de situations difficiles comme le divorce de ses parents, l’avortement, le suicide… Mais dans ces situations, elle pourra toujours compter sur sa mère avec qui elle a une très bonne complicité.
Je n’ai pas aimé ce livre car les thèmes ne m’ont pas plu. Ils sont très négatifs et tristes.
Note : 2/5
Nadjaria, 1BPGA, 2019-2020

Ce livre parle de l’histoire de Déborah, une adolescente un peu «perturbée». L’histoire parle de dépression, d’isolement , d’angoisses et de suicide.
Je n’ai pas apprécié ce livre car il est un peu long ; il a une vision sombre de la vie ; et l’histoire est assez déprimante.
Note : 3/5
Oriane, 1BPGA, 2019-2020

Une agréable surprise ! Un style d'écriture très agréable et une famille très attachante, hâte de lire d'autres livres de cette auteure !
Lien : https://leslecturesdalex.wor..

Alors que c'est pas mon style, j'ai adoré ce livre!

Déjà, quand j'étais en terminale, j'avais les mêmes références que Déborah donc je me suis tout de suite identifiée à elle. de plus, toute la première partie j'ai ris, mais tellement ris, l'humour est génial. Mention spéciale à Jamal et à l'épisode "caca de chien" qui est à mourir de rire!

D'ailleurs, j'adore Jamal. Je trouve ce type génial, avec ses mygales. S'il existait vraiment, j'aimerais beaucoup le rencontrer et manger une pizza avec!

L'histoire est également très bonne, parlant de sujets sérieux et durs, mais avec une légèreté certaine qui nous empêche de tomber dans le dramatique.

Seul point un peu négatif pour moi: je ne me suis , mais alors pas du tout, attachée à Victor ^^ Mais ça reste minime, le reste étant incroyable :)
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Je ne pensais pas apprécier de peur que l'écriture me paraisse trop "adolescente" mais ce fût un véritable coup de coeur ! Tout simplement sublime et émouvant, avec des tournures de phrases drôles et recherchées et des références variées qu'on prend plaisir à reconnaître au fil des pages.

COmment dire ? C'était tellement inattendu que j'aime autant cette histoire. Je pensais lire un roman jeunesse sans prétention, bien écrit, et passé un chouette moment sans plus : Une petite lecture détente qui fait du bien. Mais punaise, c'était tellement, tellement plus. Je ne sais pas par quel miracle, l'auteure arrive à faire d'une histoire de quotidien, un roman si puissant, si vrai et si bouleversant. Elle donne vie à Déborah, jeune fille de dix-sept ans qui entre en terminal. C'est une jeune adulte admirable. Même dans les moments les plus difficiles, Débo n'est jamais, jamais égoïste, ni méchante. C'est plutôt elle qui, parviendrait à nous remonter le moral. Elle ne s'apitoie par sur son sort, pourtant parfois, elle en aurait le droit. Non, c'est une jeune femme qui se questionne, qui apprend de ses erreurs et qui se remet en question. Et puis, elle est si drôle !

Ce roman c'est comme la vie de tous les jours : on rit, on pleure. On mange de la pizza aussi, on fait de nouvelles rencontres, on dit au revoir à certaines relations…

Cette année Déborah doit préparer le bac. Ce fameux truc dont les prof nous rabâchent l'importance, blabla, dès le 1er septembre. Mais cette année-là, Débo n'arrive pas trop à réfléchir, à se concentrer sur ses devoirs. Sa tête essaie plutôt de comprendre pourquoi son père rentre de plus en plus tard, tandis que sa mère passe ses journées à découper des magasines. Et Elo, sa meilleure amie est occupée à embrasser Erwan…

Si ce résumé peut vous paraître cliché, ou déjà-vu, je vous en supplie, ne vous arrêtez pas là. Parce que oui, le point de départ de cette histoire c'est ce bazar dans la vie de notre héroïne. Mais tout est beaucoup plus complexe, et si bien traité par l'auteure. Elo n'est pas la meilleure amie lâcheuse dès qu'un mec se pointe… Son père n'est pas un infidèle sans scrupules…

Puis cette année, n'est pas que déceptions et épreuves pour Déborah. Son éloignement avec Elo, lui permet de se rapprocher de deux garçons de sa classe. Avec eux, c'est des soirées pizzas à gogo, c'est de l'amour, de l'amitié, des séances de cadavres exquis… Puis il y a aussi Isidore, ce chien que Débo apprend doucement à aimer…

Je suis ton soleil, vaut son pesant d'or. Je vous le promets. le titre et les coquillettes sur la couvertures sont parfaits. J'ai tout adoré, sincèrement. le traitement des relations parents/enfants ou même élèves/enseignants, de l'amitié, de l'amour, de la famille. Je suis ton soleil n'est pas qu'un simple roman qui fait du bien, c'est vraiment, vraiment tellement plus.

Ok. Je l'aime d'amour ce roman. C'est tout. Alors, ne passez-pas à côté et lisez-le.
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