La Mort est une femme comme les autres

Vous voulez de l'originalité, du loufoque sur une histoire sensible et magnifique ? Alors, "La mort est une femme comme les autres" vous attend ! Un livre sans prétention qui cache entre ses pages un petit bijou de littérature grâce à la plume délicate de Marie Pavlenko.

Dans ce roman, on suit le personnage d'Emm qui n'est autre que la grande faucheuse. En plein burn-out, elle s'enlise dans une dépression et donne l'impression de traverser le monde sans vraiment y faire partie. Las, elle décide de faire un break : la mort est en vacances ! Dit comme ça, cela peut paraitre anodin et sans conséquence mais cette situation va très vite dégénérer. La Terre se transforme en théâtre d'horreur lorsque le monde se rend compte que plus personne ne meurt.

Ce roman amène la réflexion sur notre quotidien et la façon que l'on a de "vivre" sa vie. Véritable niche à contraste, on jongle entre les "vacances" d'Emm et le chaos qui règne. L'auteure pousse la métaphore en créant un lien particulier entre Emm et l'une de ses prochaines victimes. Suzie, jeune femme charmante et pleine de vie apprend qu'elle est atteinte d'un cancer en phase terminale. Une amitié très forte va naitre entre les deux jeunes femmes. Suzie va indiquer la route de la vie à la personne qui est censé la lui prendre. Oh, que c'est beau ! D'un côté, nous avons envie qu'Emm aille mieux et que l'équilibre terrestre se rétablisse mais d'un autre côté, cela impliquerait une fin assez noire pour Suzie. Quel dilemne ! Je vous laisse découvrir la finalité de cette histoire ;-)

Ce roman complètement loufoque cache une histoire sensible sur deux femmes cherchant tout simplement à profiter de la vie. Il est très facile de s'identifier et s'attacher aux personnages car l'auteure trouve les mots justes. Je vous recommande fortement ce livre. Très rapide à lire, vous passerez à coup sûr un excellent moment et découvrirez la belle plume de Marie Palvenko qui sera dorénavant, une auteure à suivre !
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Emm est peux être la mort mais c'est surtout une femme qui veux profiter un peu de sa vie et comprendre les humains dans leur vie mais aussi dans leur refus de mourir quand elle vient les chercher. L'auteur décrit de façon drôle mais souvent juste la vie humaine, donc notre vie.

Il n'y a pas que de la légèreté, il y a aussi des choses plus sérieuse comme le ressentie de la personne face à l'annonce d'une maladie et ce qu'elle endure durant cette période. Pourtant cela n'est pas mis sur une note » mélodrame », mais cela rend le livre un peu plus sérieux.

Les personnages principaux sont pour moi le gros plus de ce roman : il y a Emm la fille drôle que j'ai plutôt vue comme la bonne copine, et Suzie la femme fragile qu'on à envie de rassurer. Elles sont différentes mais pourtant complémentaire.

L'histoire quand à elle est assez simple , j'ai apprécié le fait qu'il soit cours car il n'y a pas de longueur. de plus l'écriture est fluide ce qui permet une lecture aérée et agréable.

En conclusion une lecture sympathique qui ne restera pas gravée dans ma mémoire, mais qui m'a permis de passer un bon moment de légèreté , et des fois ça fait du bien
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Un gros coup de Coeur pour ce livre. "la mort est une femme comme les autres". Un petit bijou de bonne humeur.

J'ai acheté La Mort est une femme comme les autres à Livre Paris 2016 et je ne le regrette absolument pas !
J'ai adoré cette lecture ! Quel roman incroyable ! C'est pour moi un formidable coup de coeur !

La couverture m'a attirée, le titre m'a intéressée et le résumé m'a séduite ! Mission accomplie !

C'est l'histoire de la Mort qui fait un "burn out", le syndrome de l'épuisement professionnel. du coup, elle arrête son travail et les humains ne peuvent plus mourir...

C'est drôle, envoûtant et surprenant (dans le bon sens du terme). J'ai ri plusieurs fois à gorge déployée (heureusement je l'ai lu chez moi) ! Cela ne veut pas dire qu'il s'agit uniquement d'une comédie. La narration passe de la tristesse à l'humour en quelques lignes et vice versa.
Les personnages sont très attachants et bien que l'histoire se déroule sur plusieurs semaines, il n'y a pas de lenteurs dans le récit.
L'écriture est fluide, je suis rentrée instantanément dans l'histoire.

J'ai tout aimé !
Je le recommande fortement !

J'ai découvert La mort est une femme comme les autres suite à 2 vidéos postés sur Babélio en faisant les louanges. Je me le suis vite procuré et démarré ma lecture.

Pour moi ca ne sera pas un coup de coeur certes, mais c'est un livre qui m'a permis de sourire. Ce livre se lis très vite mais il nous emmène dans un univers bien particulier et loufoque. ce fût donc une lecture très agréable

Nous retrouvons Emm qui n'est rien d'autre que la mort en personne accompagné de sa fidèle faux qui nous fait vivre son Burn out! et oui elle en a raz le bol de bosser et de tuer les gens et décide de rester dans son canapé tranquille les doigts de pied en éventail.
Le problème bien sûr c'est que ca la fou mal quand dans le service de soin palliatif on débranche les vieux et qu'ils ne meurent pas, ça la fou mal quand on étouffe quelqu'un et qu'il ne meurent pas bref un monde où personne ne meurent c'est la merde totale!
Emm se retrouve plongé dans le désordre et le chaos qu'elle a créée en suivant une partie de vie de Suzie, une jeune femme malade. Elle va suivre et s'intégrer dans le monde des humains qu'elle déteste ou croyait détester pour les observer de plus près et essayer de les comprendre.
J'ai évidement adoré le personnage de Emm, une petite chose frêle d'apparence qui est plutôt un mélange d'un ninja et de Hulk maniant les armes comme personne. elle ne connaît rien à la manière de se comporter avec les humains et dit tout se qui lui passe par la tête, une personne l'ennui et BIM un coup de boule, peu importe qu'il s'agisse d'une grand mère ou non.

Merci aux bloggeuses de Babélio de m'avoir fait découvrir ce livre

Un roman surprenant, à la fois drôle et tendre. Marie Pavlenko a su rendre la mort humaine et sacrément humaine, ce qui est assez contradictoire. Mais l'humour, les personnages choisis par l'auteur la rendent intéressante.

Ce livre à la couverture merveilleuse m'a laissé rêveuse.
Moi qui est côtoyée la mort à travers le décès de mes parents il y a peu de temps. J'aurai aimé que Emm qui incarne le personnage de la mort soit véritable et se mette en congé pour mes parents tant adorés.
Alors se livre m'a fait rêvé, trop tard mais quand même.
Ce livre donne de l'espoir quand tout peut paraître noir comme la mort.
Ici, il est question du principe de la vie qui se combine avec le principe de la mort.
Etre en adéquation avec la mort serai-ce pas être en adéquation avec notre propre vie?
La vie et la mort sont des vases communicants.
Sans la vie , pas de mort.
Sans la mort , pas de renouvellement de la vie terrestre.
Et c'est en cela que ce livre fait réfléchir.
L'une ne va pas sans l'autre.
Mais penser que l'on peut arrêter la mort pour quelques temps, ce n'est plus vivre au fond, car l'échéance de la mort nous pousse à faire des choses tous les jours et parfois à nous dépasser.
Ce livre est un bel hymne à la vie et à la mort.
Tout dans ce livre est symbolique et parlant pour chacun d'entre nous.

Et si la Mort faisait un burn-out ?


Anatole Paladru est médecin dans un service de soins palliatifs. Alors qu'il accompagne une personne âgée en fin de vie, la respiration de la malade reprend. Très vite, ce sont tous les hôpitaux qui sont surpeuplés et les médecins ne savent plus où donner de la tête. Rapidement, la panique s'installe face aux risques de surpopulation et à son cortège de maux.

Tout ça, parce que Emm, la Mort, fait un burn-out et a décidé de ne plus prendre la vie des hommes. La Faux, sa compagne inséparable, fait tout pour l'aider à aller mieux et à reprendre le travail. En vain… Jusqu'au jour où elle décide de l'emmener dans le monde des vivants où Emm rencontre Suzie dont la gentillesse l'émeut...

Dans ce roman à l'humour décalé, l'auteure livre de façon légère une réflexion sur la société et l'humanité.

A livre décalé, à livre original, à livre qui m'a retourné, chronique décalé. La Mort est une femme comme les autres de Marie Pavlenko est un de mes coups de coeur de l'année 2015. Un gros. J'ai adoré. Ne lisez pas le synopsis. Ne vous arrêtez pas à la couverture. Le beau gosse se cache sous le titre. Si si... Enfin, la belle. La sublime, la maléfique, Emm. La Mort qui a un burn-out ça se voit pas tous les jours. Je t'arrête? Dépressive la Mort? Allons allons... Préparez-vous!!!

Chaque apparition de Emm réserve son lot de surprises. Barrée, complétement barrée. La Mort est incroyablement surprenante. Mais mon personnage favori demeure à jamais La Faux. J’ai eu le coeur brisé à un moment. La Faux qui parle, avec un sarcasme à faire pâlir les plus durs des gangsters a définitivement bousculé mon coeur.

A chaque page, je m'attendais à voir une nouvelle surprise, à piquer une crise de rire, à avoir des larmes tellement l'humour piquant de Marie Pavlenko aurait agi. Emm décroche. Elle part et laisse les vivants se dépatouiller sans elle. Plus personne ne meurt. Autant vous dire que c'est le bazar total sans la Faucheuse. (Imaginez des personnes à la place du linge, plus de morts, que des vivants qui se posent partout)

Sans force, déprimée, Emm erre, sa route croise Suzie cancéreuse. Le destin réserve des surprises. Les deux femmes fortes, intelligentes, vont s’apporter ce qu’il manque à l’autre. Complémentaire dans un sens, leur univers ne sera plus jamais pareil après leur rencontre. Suzie est adorable.

Pourquoi j’ai fondu? Pour Emm, La Faux, Suzie. Mais le gros atout charme du roman, assez court du haut de ses 200 pages est le style de son auteure. Un vrai festival d’humour, de métaphores, de trésors insoupçonnés de répliques plus surprenantes les unes que les autres. Une petite critique de la Mort, de notre lien et notre réaction face à elle, mise en scène avec ironie, sympathie et un plaisir infini à donner naissance à des situations totalement improbables. La fluidité des mots transportent. Emportant dans son sillage, comme si Emm nous avait transporté dans son sac. Le talent de l’auteure réussit à captiver du début à la fin, à emprunter des chemins avec des pincées de tendresse pour son personnage principal peu banal. -

Un roman frais, décalé, barré, avec des personnages haut-en-couleur. Si vous rêvez de voir la Mort sous un autre angle, foncez!!!

Merci Babelio pour cette délicieuse découverte.
Lien : http://www.newkidsonthegeek...

Ce court roman est l'histoire d'un burn-out… mais pas de n'importe qui : de Emm, femme dont le dur labeur est, depuis la nuit des temps, de mettre fin à la vie de chaque homme, armée de sa faux !
Un jour, Emm ne veut plus se lever et donc plus tuer, c'est le spleen, au grand désarroi de sa chère faux, qui va jusqu'à lui trouver un psy.
Dans le monde, il est maintenant impossible de mourir : les gens souffrent, les organes à l'air, dans les services de soins palliatifs, les hôpitaux sont envahis de malades, de médecins débordés. La surpopulation est prévisible, avec toutes ses conséquences (pénuries des denrées, guerres…). Bref, c'est le chaos, qui laisse Emm indifférente à tout sans aucune empathie pour ces humains geignards !
Cependant, poussée par sa fidèle faux, Emm découvre le monde des Hommes et rencontre Suzie, la très malade et normalement mourante avec qui elle sympathise, ainsi qu'Anatole, charmant médecin dont la mère lui pollue la vie et qui aimerait bien que ses malades meurent dans son service de soins palliatifs !
‘La Mort est Une Femme Comme Les Autres' est un formidable roman qui mêle humour et réflexion philosophique sur le difficile et très sérieux thème de la Mort... entre deux éclats de rire !
A lire absolument pour savourer la vie comme elle le mérite, avec un début et une fin !
Un très grand merci à Babelio et aux Editions Pygmalion pour cette découverte et la rencontre avec Marie Pavlenko, qui semble s'être beaucoup amuser dans l'écriture de ce conte philosophique !
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