A Venise, l'un de membres du comité Tiziano qui vient pour authentifier les oeuvres du Titien, est assassiné. le général Bottando, Flavia et son ami Jonathan, que nous avions découverts dans le premier tome des aventures de la brigade nationale italienne chargée des vols d'objets d'art, vont essayer de dénouer cette pelote de fils. Faite de nouveaux meurtres et de quelques vols de tableaux, comme il se doit pour que la brigade intervienne, cette nouvelle intrigue nous permet de connaître un peu mieux les rouages du monde très fermé de l'art et de ses marchands, et qui sait, de réécrire l'Histoire ?
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"Venise : ses canaux, ses ruelles, ses musées... et son comité Tiziano chargé par le gouvernement de recenser et d'authentifier les oeuvres de Titien. La vie serait belle et douce dans ce décor somptueux si l'un des membres du comité n'avait pas été retrouvé assassiné dans les Giardinetti Reali, au beau milieu d'un parterre de lys. La séduisante Flavia di Stefano se rend à Venise où elle retrouve Jonathan Argyll, négociant en art. Nos deux complices vont tenter de percer le mystère du comité qui s'épaissit à mesure que sont perpétrés de nouveaux crimes et que des tableaux de valeur disparaissent. Crimes passionnels ? Affaire d'état ? Vaste trafic international ?
Une intrigue inquiétante se joue dans le monde de l'art, monde dont Iian Pears, historien de l'art, est plus que familier. Ses connaissances précises de la peinture servent admirablement ce roman où humour, charme et suspense forment un cocktail détonant."
Page des libraires - Quatrième de couverture 10-18 de 2003.
Je trouve agréable de plonger dans un policier, de prendre plaisir à découvrir une énigme tout en apprenant plein de petites choses sur l'art, une période, un artiste...
Un mix qui tout en s'appuyant sur des bases très érudites, réussit à ne pas nous ennuyer, voire à nous captiver et donner envie d'aller plus loin dans la connaissance du sujet.
Cela reste un très bon "policier"
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Ce petit comité international, mais subventionné par l'Italie, est en charge d'analyser et authentifier les peintures italiennes. Installés à Venise, ses membres décèdent un par un. Rome envoie une enquêtrice spécialiste de l'art. Elle se retrouve face à une police locale braquée contre elle. Les raisons de cette opposition ne sont pas seulement les plus apparentes.
Tout cela est très bien écrit. Mais les personnages principaux manquent de précision dans la description de leurs rapports entre eux ainsi que de leurs pensées. Un peu plus de clarté dans les explications donnés par les enquêteurs et enquêtrice, surtout lors du dénouement final, m'aurait comblé.
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