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Critique de bina


Iain pears nous promène de Florence à Londres dans les pas de ses personnages. D'une par Flavia di Stefano, enquêtrice au Service de Protection du Patrimoine à Florence, d'autre part Jonathan Argyll, son amoureux, d'origine anglaise, revendeur de tableaux trop honnête pour faire des affaires.
Argyll part pour un court séjour à Londres, et en profite pour rechercher des renseignements sur une affaire en cours levée par Flavia et son chef.
Comme à chaque fois que Jonathan se lance dans quelque chose pour aider Flavia, rien ne se passe comme prévu. L'homme qu'il doit rencontrer est mort quelques heures plus tôt, et ce n'est pas un accident!
Il était soupçonné de vol de tableau depuis 30 ans, sans laisser d'indice.
Argyll élabore d'après ses recherches une théorie, dont il persuade Flavia de sa justesse, malgré quelques zones d'ombres.
Peu de temps après, il se rend compte de son erreur. Doit-il donner la nouvelle version des faits à Flavia, au risque de la perdre, ou doit-il se taire, quittant Londres avec un dessin de Léonard de Vinci pour prix de son silence? Son intégrité morale en prend un coup, mais c'est ça quand on mène une enquête à l'affectif, on perd son objectivité!
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