Sorti d'affaire grâce à une pluie de napalm en fin de tome 1, Walter Duncan se voit confier une mission périlleuse. Suite à l'élmination d'un créateur de cartes permettant de manipuler l'étendue des possible et donc d'influer sur l harard, Stargate a perdu un pion important. Walter Duncan doit donc retrouver la mentor de ce créateur afin de récupérer un nouveau concepteur de cartes.
Cette mission va emmener Walter Duncan à Prague puis en pays basque. Il y sera confronté à des nonnes particulièrement sexy en combinaisons de cuir et maniant mieux l'uzi que le crucifix.
Pécau maîtrise son sujet. Il distille les infos sur l'univers de manière raisonnable et mesurée. de cette manière, le lecteur progresse dans le récit tout en ayant son content d'action et d'adrénaline. Bien vu. le tome 2 est plus rythmé, moins dense que le premier, mais on a une meilleure vision des enjeux et des factions (avec l'entrée du Vatican dans la bagarre). On apprend également que les cartes peuvent se concevoir, mais qu'elles sont connues des grandes familles depuis des siècles. C'est d'ailleurs un enjeu majeur: si on peut créer des jeux de cartes, l'hégémonie des vieilles familles risque d'en prendre un sacré coup, elles qui sont détentrices de tarots centenaires. Cela ajoute une dimension intéressante. Après un tome 1 très orienté mythologie maya, on revisite quelques mythes européens.
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Deuxième tome, on est déjà un peu moins perdus par rapport à cette histoire d'Arcanes. Enfin, ça commence quand même par une scène d'action ou on ne sait pas qui attaque qui. Mais bon, on comprend vite qu'un gamin capable de dessiner ces fameuses cartes magiques a été envoyé par le fond, et sur ordre d'un groupe de prelats au Vatican. Comme dans un James Bond, l'action rapide et violente nous fait oublier qu'on saute d'une scene a l'autre sans plus de logique qu'une fuite en avant. C'est assez visuel et sympa. Notre héros du tome 1, Duncan n'a pas trop l'air de connaître la source de son pouvoir, il la joue à l'instinct, version casse cou. Il est envoyé à la recherche de la soeur jumelle du gamin assassiné et pour ça, il doit faire équipe avec une femme mystérieuse à Prague, elle même traquée par les agents du Vatican. oui, ça ressemble à rien mais ça a de la gueule et cette femme semble pouvoir faire appel à un golem. Normal, on est à Prague…
la suite est tout aussi cooool, ils sont traqués par des bonnes soeurs en combinaison de latex moulant. Enfin, la ou on voit que c'est bien décousu, c'est qu'une fois refermé la BD, on ne se souvient plus du contenu. Mais ça promet, ça promet. Par contre, ça dilue tellement les infos qu'il faudra les lire 5 par 5 pour en savoir un peu plus…
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La suite a le mérite de clarifier le 1er tome que j'ai trouvé confus et un peu bâclé côté explication. le lien entre les 2 tomes est ténu. Ici les personnages s étoffent et l histoire de construit mieux pour nous laisser encore en.plein questionnement.
Je n'ai toujours pas compris clairement qui est qui, leurs motivations. le melange fantastique et reel tient la route et c'est ce qui fait qu au final je envie de voir ce qui se passe au 3e tome.
Le heros est doté de don aidé de cartes spéciales façonnees par des cartiers ( ceux qui créent les cartes). Walter évolue de mission en mission sans trop savoir comment utiliser au mieux des pouvoirs et decouvre petit à petit le potentiel des cartes.
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Deuxième volet de la série Arcanes : On continue notre quête des joueurs à travers le monde. Un joueur, c'est un individu qui a le don de manipuler les lignes du temps et le hasard en utilisant des cartes.
En apparence, ces cartes ne sont que des arcanes d'un jeu de tarot. Mais après lecture de la série Histoires Secrètes, on apprend que le tarot a lui-même été fabriqué par des religieux pour suivre les désirs des archontes, héritiers d'un grand pouvoir magique.
Mais l'utilisation des cartes a un prix, elle nécessite de la chance ou de voler la chance de quelqu'un, tout en sachant que la chance tourne.
Cette série est la moins passionnante des trois, mais elle reste tout de même intéressante et bien construite, le scénario se tient, même si les multiples personnages ont rendu ma lecture confuse.
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Te plains pas... Dans notre branche,ce sont ceux qui en savent le moins qui vivent le plus longtemps...
"Jour J, qui a tué le président ?", Fred Duval, Jean-Pierre Pécaud, Colin Wilson, éditions Delcourt
Conseil lecture de la bande dessinée par Stéphane Nappez, co-fondateur de l'association Baraques Walden.
Entretien mené à l'Abbaye de Jumièges (département de la Seine-Maritime)
Vidéo : Paris Normandie