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C'est le troisième et dernier livre de l'autrice Michèle Pedinielli que je lis. Je trouve que son écriture à évoluer dans le bon sens. Son premier "Boccanera" est pas mal, c'est un polar de bonne facture. Son. deuxième "Après les chiens" est nettement mieux. Les deux premiers romans se passe dans le Vieux-Nice où Diou Boccanera, l'héroïne qui est détective privée enquête sur des meurtres. Ce troisième opus se passe en Corse. Son ex, Joseph Santucci, vient de perdre sa nièce, Letizia, elle a été assassinée et brûlée dans une voiture. Il se rend à l'enterrement en Corse et emmène Diou avec lui pour qu'elle fasse son enquête et confonde le meurtrier avant la police . Diou est native de Corse par ses grands parents, mais cela faisant longtemps qu'elle n'était pas revenue sur l'île et ne maîtrise plus les codes. C'est à travers cette magnifique région, qui sent bon les épices et le maquis que Diou va enquêter. Entre les terres qui brûlent, les spéculations immobilières et le mutisme des habitants de l'Alta Rocca, Diou à fort à faire. Heureusement qu'il y a quelques personnes sympathiques qui vont l'aider, l'air de rien.
Un très bon polar qui sent bon le Sud.
Je vous le conseille bien volontiers.
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Troisième enquête pour Ghjulia Boccanera (Diou pour les intimes) et troisième réussite pour Michèle Pedinielli.
C'est du roman noir, comme les deux premiers opus, avec la touche d'humour qu'il faut pour faire passer les traumatismes et la violence psychologique. Et dans le genre, c'est très réussi.
Jo Santucci, flic de Nice et ex de notre détective privée lui demande d'enquêter sur la mort de sa nièce, dont le corps a été brûlé dans une voiture. le point de départ est très classique, me direz-vous et vous aurez raison ! Sauf que l'affaire se déroule en Corse. Diou qui est originaire de l'île mais qui n'y était jamais retournée depuis des lustres (trop de souvenirs), doit faire avec la famille, le silence, les opérations plus ou moins légales. Et dans un décor de rêve, excellemment rendu par l'autrice dont on sent bien qu'elle connaît intimement les lieux.
En vérité l'intrigue, comme souvent dans les romans noirs, n'est pas importante. On aimerait bien savoir ce qui est arrivé à la nièce journaliste qui semble s'être intéressée d'un peu trop près à une affaire louche (et ça en Corse, ça pardonne pas!), mais c'est surtout la découverte de l'île qui retient l'attention. Pas celle des guides touristiques, celle des habitants, des relations sociales, des relations familiales empruntes de tradition et de modernité, du rôle des femmes ...
L'enquête progresse lentement, entre fausses pistes et faux semblants dans un style toujours aussi vif et dynamique. Un polar d'un peu plus de 200 pages qui se dévore d'une traite et qu'on oublie pas.
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Une fois n'est pas coutume : je lis un polar corse.

Nous sommes du côté de Propiano, dans des paysages magnifiques. Une jeune journaliste de France 3 Corse, Letizia, très appréciée des siens comme de ses collègues, est sauvagement assassinée et son corps brûlé dans un coffre.
Son oncle Jo Santucci, flic à Nice, aimerait s'occuper de l'enquête, mais c'est impossible. Alors il se résout à en parler à Ghjulia Boccanera, qu'on appelle plus simplement Diou, 50 ans environ, née en Corse mais travaillent elle aussi à Nice, et native de Corse, et détective privée de son métier.
Diou est aussi l'ex compagne de Jo, et connaît très bien Letizia et sa mère Antoinette. Elle ne peut refuser d'aider son ex, même si cela signifie retourner sur ses terres natales et retrouver des gens qu'elle a quittés comme à regret il y a quelques temps.

Commence alors une enquête en parallèle de celle que mène la police : Letizia a-t-elle été tuée à cause de ses enquêtes en tant que journaliste ? de mystérieux feux démarrent sur des parcelles ciblées, et pourraient faire l'affaire de promoteurs peu scrupuleux. Mais il y a aussi des oliviers centenaires sauvagement déracinés et replantés fort opportunément dans des jardins somptueux : un trafic qui semble rapporter gros à ces malfrats qui saccagent ces arbres qui ne résisteront pas longtemps à ce déménagement.
Diou est têtue. Sa ténacité est nécessaire, parce que nombreux sont ceux qui essayent de la détourner de son enquête en sous-main. Mais elle le fait pour son ex belle famille, et notamment pour la petite Marie Stella, deux ans et demie, la fille de Letizia, privée subitement d'une mère que tout le monde aimait dans son village.

La vérité éclatera dans les dernières pages. Comme toujours elle se cache derrière des apparences trompeuses. Mais l'intérêt principal n'est pas là, mais plutôt dans la description fidèle de paysages corses, de personnages secondaires savoureux – à l'image du maire du village, octogénaire, érudit, qui donne à Diou les clefs pour comprendre ce qui se passe autour d'elle.
Une écriture plutôt râpeuse et non sophistiquée mais efficace pour mener un bon polar jusqu'au bout.
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Michèle Pedinielli délocalise, si on peut dire. La dernière enquête de Ghjulia Boccanera (prononcez Diou, comme tout le monde), détective privée, se déroule en Corse, dans l'île où elle a vécu avec le commandant Joseph Santucci, maintenant son ex. C'est lui qui est venu la voir, au petit matin, pour lui annoncer un vrai drame : Letizia est morte. On a retrouvé son corps carbonisé dans le coffre d'une voiture. Letizia, c'est la nièce de Jo, celle que Diou a pris dans ses bras quand c'était encore un bébé, celle qui venait sur ses genoux pour écouter des histoires. Letizia avait vingt-six ans, elle était journaliste, elle avait épousé Jean Noël, un journaliste sportif. Jo ne peut pas enquêter sur place, il aura les mains liées, et en plus, il craint des tiraillements entre les gendarmes et les policiers. Diou peut-elle faire quelque chose ? Bien sûr, il est évident qu'elle ne sera pas toujours bien reçue…
***
Amateurs de thrillers trépidants, ce bon polar n'est pas pour vous. L'enquête prend son temps, l'ambiance se construit petit à petit. Il faut apprivoiser les habitants, d'autant que les questions de Diou dérangent parfois. Et puis on est en Corse, une terre de taiseux. Diou connaît bien pourtant : elle y a vécu avec Jo, et sa famille est originaire d'une vallée voisine, mais il y a longtemps qu'elle n'est pas venue. Elle a perdu certaines manières de se comporter, elle a parfois l'impression d'être une intruse, mais elle saura s'attirer les sympathies et se faire accepter.
***
J'ai retrouvé Diou avec beaucoup de plaisir. J'aime vraiment son ton, son humour, sa lucidité envers elle-même, et le regard critique et clairvoyant qu'elle pose sur les gens et sur les événements. C'est valable pour l'image qu'elle nous donne de la Corse, de ses paysages d'hiver, de cette île désertée par les touristes, mais pas par les spéculateurs ni les trafiquants d'oliviers millénaires. On ne retrouve Dan, le coloc gay de Diou, qu'au téléphone, et j'avoue qu'il m'a manqué ! En revanche, on rencontre un octogénaire fort sympathique, amateur de poésie, qui amène une vraie respiration dans cette sombre histoire. La Patience de l'immortelle est un bon roman, avec un final déroutant qui laisse Diou aux prises avec un terrible dilemme.
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Comme j'en avais marre du temps froid, j'ai choisi un polar qui se déroulait en Corse. À moi le soleil chaud !

Putain de merde, l'enquête se déroule en janvier et même si les températures sont plus hautes que celles qui règnent, en ce moment, dans notre Nord, il n'en restait pas moins que ce début d'année, c'est bingo, Lotto et quinté+ dans mes choix de lectures : c'est le sixième roman qui se passe, comme dans la réalité, en janvier et/ou dans le froid.

En commençant par la troisième opus des enquêtes de Ghjulia – Diou – Boccanera, j'ai fait connaissance avec une enquêtrice privée spéciale, attachante et qui, bien que se plantant durant son enquête, n'en reste pas moins une bonne enquêtrice. Parce que enquêter sur l'assassinat de la nièce de son ex, ce n'est pas chose facile.

Dans ce polar régional, il n'y a pas que les décors, grandeurs nature, de la Corse, qui font de l'effet. Il y a aussi les autres personnages, leur histoire, leur culture et surtout, des émotions fortes, notamment lors des funérailles de Letizia, 26 ans, trop jeune pour mourir et maman d'une gamine de 2,5 ans.

J'ai apprécié l'écriture de l'autrice, simple à lire (sans être simpliste), agréable, sans oublier les petites touches d'humour qui parsèment certains dialogues ou dans les réflexions de notre Diou, qui est revenue dans sa Corse natale, après l'avoir quittée il y a longtemps et en avoir perdu les codes. Pas facile quand tout le monde vous reconnaît, mais que vous, vous n'arrivez plus à remettre les personnes qui vous sourient.

Dans son enquête, notre Diou va se frotter à des maisons qui sentent mauvais le fromage (gaffe à ne pas faire exploser le tout en allumant une bougie) ou qui sentent bon les épices, mais aussi, sur des terrains qui puent les incendies volontaires, les magouilles et tout ce qui va avec, dans le but de se faire plein de fric, comme toujours.

Non, ce polar n'est pas qu'une énième enquête, même si oui, il faut découvrir qui l'a fait, qui l'a commis, ce crime horrible, affreux, dégueulasse, dans cette région où l'on parle de vendetta, de règlements de comptes entre soi, de mafia ou de promoteurs immobiliers sans scrupules (synonyme, sans doute). C'est aussi un polar qui parle d'écologie, de dureté de la vie, de violences et d'homophobie.

Non, ceci n'est pas un polar trépident, c'est un polar qui prend son temps, même s'il se lit, lui aussi, sur une grosse soirée (difficilement lâchable, lui aussi), tant les ambiances sont corsées, prégnantes.

C'est un roman qui met en scène un crime atroce, dans une île de beauté, qui cache bien la noirceur des Hommes… Il faudra beaucoup de ténacité et de courage à Diou pour trouver le coupable et vivre avec un terrible dilemme.

Un très beau roman policier !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un polari corsu ? Pourquoi pas ? Une héroïne qui se retrouve rapidement en ligne de myrte après être retournée au pays pour tenter d'élucider un crime odieux et familial.
Nous suivons donc Ghjulia dans le maquis. L'intrigue policière, qui ne casse pas trois pattes à un âne fût-il local, est avant tout un prétexte pour dresser un inventaire sans concession de quelques spécialités insulaires : l'incendie volontaire, le braconnage des oliviers, l'homophobie, le détournement des subventions agricoles…
Bien sûr, le lecteur apprendra ce qui est arrivé à cette pauvre Letizia, occasion d'aborder une autre problématique dont on ne peut que soutenir la cause.
A la lecture de la biographie de l'auteur, il semble que les personnages de la narratrice et la défunte parente empruntent beaucoup de la vie de Michèle Pedinielli. Impression personnelle qui n'est peut-être que pure spéculation, mais qui crée un indéniable sentiment de sympathie.
Le récit est fluide, ponctué de bons mots même si parfois Pedinielli a la main un peu lourde. On pourra également regretter que trop des différents protagonistes ressemblent à des caricatures de Corses, une version écrite d'Astérix en Corse, en quelque sorte, avec une référence obligée à Mérimée.
Néanmoins, ce livre se dévore assez facilement, de préférence accompagné d'un assortiment de charcuteries corses (attention aux contrefaçons) et d'une 3 Monts bien fraîche (je veux bien être tolérant mais la Pietra c'est quand même franchement dégueulasse).
Si vous projetez de passer le mois d'août quelque part entre Bastia et Bonifacio, cet ouvrage peut se glisser dans votre valise… La concomitance du littéraire et du voyage occasionne presque toujours de belles sensations.
Attention, cependant, vu que « La patience de l'immortelle » évoque quelques laideurs de l'Ile de Beauté, s'exhiber avec ce livre pourrait froisser certains autochtones, dont la susceptibilité est excessive, c'est bien connu.
Coluche prétendait que si l'on chasse le naturiste, il revient au bungalow. L'assertion n'est valable que si la construction n'a pas été malencontreusement plastiquée. A bon entendeur, salute !
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Les rapports familiaux ne sont jamais chose facile. Ceux qui animent les familles corses peuvent prendre des tournures dramatiques quand on connaît leur caractère bien trempé et leur sang chaud.
Gjhulia (Diou pour les intimes) Boccanera a quitté depuis longtemps le nid et l'Ile de Beauté pour s'installer sur le continent, à Nice, où elle exerce le métier de détective privée. C'est justement à ce titre que Jo Santucci - commandant de police à Nice et l'ancien compagnon de Gjhulia -lui demande de l'aide. Sa nièce, journaliste à FRANCE 3 Corse, vient d'être sauvagement assassinée et il a besoin de son concours pour découvrir son meurtrier.
Direction la Corse donc et la région de l'Alta Rocca où la famille Santucci est installée depuis plusieurs générations. Lors de son enquête Gjhulia va ainsi (re)découvrir les us et coutumes d'un pays qu'elle a perdu de vue mais aussi que la journaliste tenait un blog évoquant différentes affaires sur lesquelles elle avait investigué de manière confidentielle. Une de ces enquêtes privées recèlerait-elle une des raisons qui pourrait expliquer ce crime ? À moins qu'en arrivant à briser l'omerta elle découvre un secret de famille bien gardé pouvant également la mener vers une piste sérieuse…

J'ai immédiatement été conquis par l'écriture lumineuse de l'auteure. Une prose qui vous plonge dans ce passionnant récit d'où transpirent d'odorantes senteurs , de magnifiques couleurs qui donnent envie de partir dans cette île si captivante par sa beauté authentique entre montagne et mer au bleu azuréen .
On y suit notre héroïne qui fait un come-back remarqué dans sa terre natale. Elle qui se plaît dans l'urbanité, retrouve le maquis et une certaine ruralité revendiquée , l'âpreté des habitants comme cette suite de virages à n'en plus finir , à l'image du caractère tortueux des corses. Elle va également faire connaissance de beaux personnages qui ont de fascinantes histoires à raconter et qui sont aussi la mémoire vive du village. Côté face cachée, elle va apprendre ce qu'est l'écobuage immobilier, cette pratique qui consiste à brûler une terre non constructible que l'on veut transformer en futur paradis pour promoteurs. L'imagination et l'appât du gain n'ayant aucune limite, certains ont également eu la riche idée de déterrer des oliviers millénaires pour les vendre à des bobos ou à des collectionneurs.
Un roman qui s'engloutit en quelques heures avec l'impression de ne pas avoir vu le temps passer et d'avoir redécouvert à travers ces pages cette Corse éternelle qui peut abriter malgré elle de sombres drames.
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Cela fait un bout de temps que j'attendais pour lire ce roman : je voulais de la couleur locale pour mes vacances en Corse, et je n'ai pas été déçue ; j'ai eu la chance de l'ouvrir juste après avoir visité certains des lieux cités et décrits dans cette fiction très plaisante à lire : Olmeto, Propriano, Sartène...  Un polar de bonne facture, une détective privée corse, installée depuis des années à Nice et qui revient sur l'île de Beauté pour mener à bien une enquête spéciale de par l'identité de la victime : la nièce de l'ex-compagnon de l'héroïne, journaliste sur la chaîne France 3 Corse.  Ghiulia Boccanera, Diou pour les intimes, est très humaine : ce n'est pas l'héroïne sans failles et sans défauts, elle fonce sur de fausses pistes, mais sait faire machine arrière, reconnaître que son intuition n'est pas toujours excellente, retomber sur ses pattes avec beaucoup de modestie.  Elle possède un humour qui dépote et qui l'aide à surmonter les angoisses, les horreurs et frayeurs de son métier.  Vous ajoutez insomniaque, droguée au café, sensible au charme masculin mais toujours un peu amoureuse de son ex-compagnon, capitaine de police à Nice, désobéissante et cachottière envers la police, ce qui pimente l'enquête, et vous obtenez une héroïne attachante.

L'ambiance et l'âme corses sont bien restitués, je m'y serais crue !  Ah, mais au fait, j'y étais... Et j'ai doublement apprécié ! 

Lorsque j'ai débuté la lecture, j'ignorais que c'était le troisième tome d'une trilogie, et cela ne m'a pas du tout perturbée.  J'ai d'ailleurs enchaîné sur les premier puis deuxième tomes, tout aussi savoureux.  Les trois romans se lisent rapidement, les enquêtes sont accrocheuses, classiques, bien construites.

Les deux autres enquêtes, Boccanera et Après les chiens, se déroulent à Nice : par chance, j'y suis allée il y a quatre ans, ce qui m'a rappelé de beaux souvenirs.
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Ce que je retiens de ce polar ? Des scènes fortes. La première, c'est celle pendant laquelle Diou, détective privée, apprend l'assassinat de Letizia, est confrontée à l'horreur et l'aberration de cet acte. Diou ne se contente pas de voir cette jeune femme, morte, elle se souvient du nouveau né qu'elle a tenu dans ses bras – et c'est pire. Létizia est la nièce de son ancien compagnon, policier de son état. Pour lui, impossible de laisser ce crime atroce impûni – le corps de Letizia a été retrouvé brûlé dans le coffre d'une voiture. Après cela, vous pouvez essayer toutes les formules les plus convenus, vous restez quand même avec l'horreur de cette scène.
Qui pouvait en vouloir à cette jeune journaliste, que les enquêtes de fond n'effrayaient pas ? Ceux qui craignaient qu'elle débusque des scandales ? Peut-être. Diou est retournée en Corse, avec Jo, et se demande, finalement, pourquoi elle n'est pas retournée ici plus tôt – ses grands-parents étaient corses. Anecdotique ? Non. Parce que Diou connaît cette région, repart sur les traces de son passé et se confronte à ses souvenirs. Ce sont les siens, cela veut dire aussi qu'ils sont forcément partiels, partiales. Diou enquête, oui, doit faire avec ceux qui n'ont pas envie qu'elle découvre certains faits. Doit faire avec aussi ce qu'elle n'a pas su voir. Même de très bons détectives peuvent s'arrêter aux apparences, parce que l'on aura tout fait pour qu'ils s'y arrêtent.
Une oeuvre forte, qui exploite des thèmes actuels, en nous montrant qu'ils ont toujours été là, si ce n'est qu'on ne les voyait pas.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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J'ai beaucoup aimé cette troisième enquête de Ghjulia Boccanera car elle se passe en Corse, qui plus est dans ma région. Outre le cadre enchanteur des lieux, très bien décrits par l'auteure, la lecture nous plonge dans un récit avec des personnages authentiques et travaillés qui partagent des valeurs intrinsèques et des paradoxes. J'espère qu'il y aura d'autres enquêtes en Corse.
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