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4,03

sur 762 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Simon Muchat est un auteur de bandes dessinées. En mal d'inspiration depuis plusieurs mois, il n'arrive pas à faire quoi que ce soit et, en plus, il trouve mauvais tout ce qu'il a fait jusqu'ici. Sa vie est bancale aussi, il se demande s'il doit continuer à vivre avec Claire, d'autant plus que celle-ci le bouscule un peu pour qu'ils achètent une maison ensemble. Mais, pour ce faire, Simon doit demander de l'argent à son père qu'il ne voit qu'occasionnellement, ce qui ne sera pas chose facile. Pour occuper son temps, Simon donne des cours de dessin dans les écoles, ce qui ne l'enchante pas plus que ça. Invité au mariage de sa cousine qu'il n'a pas vu depuis 20 ans et n'ayant plus aucun contact avec sa famille, il explique à Claire qu'il ne compte pas s'y rendre. Chez sa psy, qu'il voit depuis deux ans, il lui explique qu'il sent comme un vide en lui, qu'il ne se sent nulle part chez lui et n'arrive pas à s'attacher aux gens. C'est alors que Simon se rend au Portugal, son pays natal, pour un festival de BD où il doit dédicacer son dernier album...

C'est lors d'un festival de BD au Portugal que Pedrosa imagine la genèse de cet album. Autobiographique, l'auteur nous présente Simon Muchat, un dessinateur d'origine portugaise mais vivant en France. Même si une certaine part de fiction semble de mise, ceci ne fait que romancer un peu plus ce one-shot. Ce sera lors du mariage de cette cousine puis de son voyage au Portugal que notre héros commencera à s'intéresser à sa propre famille. Pourquoi a-t-elle quitté le Portugal ? Dans quelles circonstances ? Qu'est devenue sa famille restée au pays ? Notre héros va alors commencer un long chemin vers le passé et vers ses origines.
Le dessin, quant à lui, est tout simplement magnifique: des palettes de couleurs tantôt sombres tantôt lumineuses, un trait fin et délicat, des superpositions incroyables, un cadrage subtil, une mise en page originale... bref, pas moins de 260 pages de pure merveille ! Pedrosa a su se renouveler au fil des planches et on en prend plein les mirettes !
Il nous offre un récit introspectif passionnant, efficace, réconfortant, chaleureux et profondément humain.

Portugal... retour aux sources...
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Trentenaire auteur de bandes-dessinées, Simon mène une existence sans saveur. Il semble avoir perdu le goût de ces petits riens qui font le sel de la vie. Il n'a plus envie de faire d'autres bouquins, il n'a pas vraiment envie d'acheter une maison avec sa petite amie, il n'a pas vraiment envie de se fixer, il n'a pas vraiment envie, il n'a pas vraiment d'envies… de quoi a-t-il envie ? Il ne le sait pas lui-même… Invité à se rendre au Portugal, terre de ses ancêtres, à la faveur d'un festival, il va, sur place, se trouver comme submergé par une vague de bien être, une sorte de plénitude inattendue…

Une langue et des accents chantants, des odeurs enivrantes, des couleurs chatoyantes et soudain, c'est toute son existence qui reprend des couleurs, les couleurs du soleil, du sable et de la terre, les couleurs chaudes de son Portugal

« J'étais fasciné et heureux. Un vrai crétin. Et je me demandais bien d'où venaient cette étrange colère, puis cette douce mélancolie qui m'étaient tombées dessus sans crier gare en moins de vingt-quatre heures. »

Le mariage d'une cousine en Bourgogne va le conforter dans son envie, lui apporter un regard nouveau, une foultitude de questions sur la famille, le passé, ses racines et le conduire à nouveau au Portugal.

« C'est vrai… C'est des vielles histoires. Mais ce sont les nôtres… »

« Tu sens cette odeur ? [..] Ça sent la rivière. J'avais oublié comme ça sentait bon... »

Des personnages forts, attachants, auxquelles on ne peut que croire et qui emportent facilement notre affection. En ce qui me concerne, j'ai particulièrement apprécié le cousin Alessandro dont j'ai immédiatement entendu, et pour longtemps, résonner à mes oreilles le verbe haut et l'accent chantant.

« - Je fais le cours de philo pour mes étudiants le matin, mais après c'est bon.
- Tu travailles pas dans un vidéo-club ??
- Sim. Les deux, mon cousin, les deux… Professeur de philosophie et le vidéo-club, le fin de semaine… Hé… C'est le Portugal. »

D'inspiration autobiographique, toute ressemblance avec l'histoire de Cyril Pedrosa, l'auteur, n'est pas purement fortuite… Douces réminiscences, saveurs oubliées qui ressurgissent, travail sur la création, la famille, les racines, l'histoire d'un peuple, Portugal, c'est tout ça et beaucoup d'autres choses encore à côté desquelles il serait vraiment dommage de passer. du concentré de bonheur et à la deuxième lecture, c'est encore meilleur !

Portugal, un vrai régal !


Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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Une longue bande dessinée sur l'identité, le retour aux source. Il nous raconte le long cheminement de Simon vis à vis de ses origines portugaises, du reniement, de l'oubli, au le respect, à la curiosité. C'est raconté sous forme de tranches de vie, d'une vie très ordinaire, plein de pudeur, de silences, d'errements, de non-dits, avec un jeu de couleurs, d'ambiances, un graphisme parfois brumeux pour les moments d'isolement, plus marqué pour les ambiances de groupe. C'est beau et subtil, il faut prendre le temps de se laisser parfois endormir par l'histoire, et de se laisser envouter par ce rythme lent pour en absorber toute la richesse. Ce n'est que longtemps après la lecture qu'on en aperçoit sa véritable dimension.
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Indispensable ! Cet ouvrage devrait avoir sa place dans toute bibliothèque parce qu'il nous parle de nous avec pudeur et émotion d'un trait fin et de splendides couleurs qui expriment la beauté des saisons, des lumières du petit matin comme celles ombrées d'un garage-cellier quand sa porte s'ouvre par un bel après midi d'été .
Il est à la mi-temps de sa vie, pas loin de la maturité (?) quand un voyage professionnel va le plonger dans le Portugal de ses origines, déjà un peu lointaines. Et les parfums et les sons de son enfance, quand il y venait en vacances, lui reviennent en bouquet. Il pourrait en rester là, sauf que quand le "destin", le "hasard" s'y met...Un mariage d'une cousine perdue de vue le précipite (presque au sens chimique du terme) dans ces histoires de famille, celles que tout un chacun a écouté d'une oreille distraite et qui tout à coup l'interpellent, le font se décider à profiter d'une opportunité pour aller rencontrer ces cousins du Portugal qu'il n'a jamais rencontrés. Et là ce n'est que du bonheur, pour lui ce héros de tous les jours et pour nous, lecteur émerveillé.
Le texte est tout en émotions et pudeurs, complètement servi par le graphisme. Ces traits légers dessinent des silhouettes presque transparentes, noyées dans la foule ou isolée sur une plage par une belle nuit d'été, juste le trait fin sur un fond de couleur. Ce sont des pages entières qui ont la même couleur de fond, si bien choisie pour évoquer un moment, une ambiance.
Et quand il se sent perdu, mal à l'aise, cette difficulté, cet ennui, cette souffrance l'auteur nous la fait palper en dessinant son personnage en train de se trouver de plus en plus immergé dans une eau froide qui monte, monte, le recouvre et lui flotte dans un monde nautique où il divague...
Rares sont les auteurs comme Cyril Pedrosa capables de maîtrise la couleur avec autant de brio, d'en faire un vecteur d'émotions, au point de faire ressentir au lecteur les odeurs, entendre les bruits environnant, sentir la chaleur ou le froid ou l'humidité ambiante.
A lire et à relire pour peut-être trouver une réponse à la question philosophique "Est-ce que je suis le pays où je suis né ...ou Est-ce que JE SUIS, peu importe le pays ?".
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Superbe roman (autobio)graphique. Simon Muchat, auteur de bande dessinées, en plein désarroi, questionnement, se cherche. A l'occasion d'un court séjour au Portugal dans le cadre d'un salon de bande dessinée auquel il est invité, il découvre ce pays, ses ambiances, ses couleurs, ses gens et petit à petit c'est son passé qui ressurgit et qu'il va redécouvrir. Cette démarche de recherche et de souvenir lui permettra de se retrouver. Une histoire très tendre et nostalgique pleine d'espoir. Un dessin merveilleux, plein de couleur qui joue subtilement entre des dessins très oniriques, des graphismes très stylisés, des mélanges d'aplat de couleur et du trait qui fait vibrer le dessin et donne à ressentir la chaleur dans les ruelles de Lisbonne, le chant des dialogues dans une langue que ne comprend pas Simon, mais aussi le froid de l'angoisse et de la solitude ou la douceur du vent dans les branches. Un magnifique album qui demande à être déguster page à page.
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« Portugal » est un roman graphique sorti il y a bientôt dix ans mais que je n'avais pas encore eu l'occasion de lire. Voilà c'est chose faite et je ne regrette nullement mon escapade lusitanienne et cette plongée mordorée qui m'a fait oublier la grisaille au dehors ! Simon Mucha(t) est un auteur de BD trentenaire en panne dans sa vie professionnelle et personnelle. Englué dans une routine, il subit et n'a plus d'envies … jusqu'au jour où, invité dans un festival à Lisbonne, dans le pays d'origine de ses ancêtres, il se sent de nouveau vivant ; puis, quand il se rend au mariage d'un cousine qu'il n'a pas vue depuis vingt ans et retrouve sa famille paternelle, ses rancoeurs et ses non-dits, il va avoir envie d'en savoir plus sur son histoire.
*
Portugal c'est un peu le journal d'une dépression (ou plutôt « saudade » !) et d'une renaissance. Pour se trouver ou se retrouver Simon va effectuer un périple introspectif et se rendre dans le village de ses ancêtres à la rencontre de cousins qu'il ne connaît pas et qui l'accueilleront avec une chaleur dont sa propre famille semble dépourvue. Il va retrouver la lumière en la faisant sur son passé, sur sa famille.
*
La colorisation, le style du dessin lui-même (plus ou moins crayonné, avec ou sans décors) évoluent selon les états d'âme du personnage principal. On oscille entre les couleurs vives du Portugal, celles sépia des souvenirs et celles plus tourmentées à dominante verdâtre du marasme. le travail sur la lumière et sur le mouvement est remarquable ainsi que le jeu de transparences et l'utilisation de l'aquarelle.
*
La structure narrative en trois temps est aussi très aboutie. Trois "points de vue" se succèdent : celui de Simon avec ses souvenirs d'enfance et ses états d'âme de trentenaire, puis le point de vue de son père, au moment de l'épisode du mariage en Bourgogne et enfin le point de vue « recréé » d'Abel son grand-père, parti tenter sa chance en France dont le souvenir avait disparu, comme ses cendres. Ces trois chapitres sont autant d'étapes dans l'acceptation de soi grâce à un voyage à la fois réel et intérieur.
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Pedrosa nous livre dans son épais roman graphique un beau récit qui évoque trois générations d'hommes et l'histoire familiale complexe d'immigrés Portugais. le récit est porté par des personnages fort bien croqués et pittoresques et surtout par des dialogues d'une grande justesse. Ceux qui sont en portugais ne sont pas traduits pour nous permettre de nous identifier au héros et plonger avec lui dans cet univers étranger et chantant. Les silences sont aussi très parlants …
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C'est une fiction partiellement autobiographique à laquelle Cyril Pedrosa a consacré deux ans de labeur. Mais loin d'être nombriliste et autocentré, ce roman graphique est touchant par tous les thèmes qu'il aborde.
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Très beau récit de vie superbement illustré. Des personnages attachants.
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Simon Muchat est auteur de bandes dessinées. En cruel manque d'inspiration, il est en proie à une mauvaise passe et considère ses précédents albums comme mauvais. Pour gagner sa vie, il se contente alors de cours de dessin à l'école.
À la maison, sa compagne voudrait qu'ils achètent pour avoir quelque chose à eux. Mais sa vie actuelle ne lui plaît pas. Il n'est pas sûr de vouloir s'implanter ici, dans cette ville... Il se cherche.


J'ai toujours considéré Cyril Pedrosa comme un auteur talentueux. À vrai dire, je connais peu ses oeuvre à part l'excellentissime Trois Ombres, conte onirique sur la mort amplement salué par la critique (et auréolé du Prix Nouvelle République au festival BD Boom 2007). Portugal est un album à fort caractère intimiste... je ne sais pas si l'auteur considère vraiment ses précédentes parutions comme mauvaises, je suis pour ma part formel : Trois Ombres est merveilleux ! Portugal s'inscrit dans la même veine, même si le récit est fondamentalement différent.

Différent pourquoi ?
Tout d'abord dans sa teneur, puisqu'il n'est pas ici question de la mort, ni d'un récit narré sous la forme d'un conte. Portugal est un album empreint de poésie qui évoque en premier lieu l'introspection et la recherche de ses racines. L'histoire, racontée avec une grande simplicité, fait état de choses de la vie difficiles à cerner, à exprimer. Elle évoque des choses que l'on ne voit pas : les sentiments.
Une différence qui s'inscrit aussi dans son approche graphique : là où Trois ombres optait pour des traits virevoltant et déformés en parfaite équation avec la forme onirique du récit, Portugal adopte un dessin plus réaliste, expressif et contemplatif. Une force d'écriture renforcée par une colorisation chaude qui nous transporte au gré des voyages de Simon.


La suite à lire sur BenDis...
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Quand j'ai terminé le lecture de "Portugal" de Cyril Pedrosa édité chez Dupuis, la première chose qui m'est venu à l'esprit c'est : MERCI.
Oui MERCI à Cyril Pedrosa d'avoir passé 2 ans de sa vie de créateur à produire un si bel album, rempli d' humanité et dont chaque page, magnifiquement illustrée, recèle une multitude de petits détails de vie, de notre vie, qui nous enchante ou nous émeut.
MERCI à ce petit salon de BD, perdu au Portugal, d'avoir invité Cyril Pedrosa et de lui avoir ainsi donné, comme à son héros, l'envie d'écrire cette histoire de racines et de quête d'identité.
MERCI et BRAVO de réussir la prouesse de nous passionner en suivant Simon, jeune auteur de bande dessinée, à l'inspiration en panne, dont la vie ne va guère mieux et qui va redécouvrir, en se perdant dans le Portugal et l'histoire de sa famille, le goût de vivre.
MERCI et BRAVO de nous promener avec autant de talents dans les émotions et les sentiments les plus secrets avec seulement la magie du dessin et la fabuleuse palettes de couleurs qui accompagnent avec délicatesse le cheminement des personnages.
MERCI aux éditions Dupuis d'avoir osé publié ce gros album de 260 pages et d'avoir ainsi permis à un de nos meilleurs auteurs de pouvoir s'exprimer librement. Car ici, et surtout dans la troisième partie, le dessin de Cyril Pedrosa explose littéralement, à l'image de son héros qui s'ouvre à la vie.
Vous l'avez compris, dans cette rentrée littéraire, mon premier coup de coeur est pour une bande
dessinée. Je ne résiste pas au plaisir de citer Cyril Pedrosa, l'Auteur qui fait dire à son héros, perdu au milieu de cousins portugais qu'il ne connait pas : " Je parviens à peine à communiquer avec la plupart d'entre eux. Quelques phrases de mauvais anglais, des gestes de la main, parfois rehaussées d'un sourire ou d'un sourcil levé. Ce langage sommaire, concentré sur l'essentiel, aussi frustrant qu'il soit, permet de ne montrer que le meilleur de nous mêmes. Les signes infime, qui trahissent, dans une langue maternelle, la bêtise ou la jalousie, sont ici effacés. Je ne vois que leurs sourires." Ajouter à cela un dessin à l'émotion palpable et vous obtenez un pur moment de bonheur littéraire.
Encore une fois MERCI!




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Simon n'a plus d'envie. Que ce soit son travail d'auteur, La future maison avec son amie.. Il ne sait plus. Vient cette invitation d'un festival du Portugal. Lors d'une escapade, il ressent ce pays qu'il n'a pas revu depuis vingt ans. Pourquoi ici ? C'est un mariage familial qui va commencer à lui donner des réponses. Qu'est-ce-que la famille Muchat ?

La première chose qui vient à l'esprit quand on a Portugal en main, c'est le poids : plus de 260 pages en couleurs, une couverture qui invite à l'ouverture et aussi un prix : 35 euros. Mais ce n'est pas qu'une bande dessinée, c'est un livre-objet. Par sa densité, son concept et la narration particulière. La deuxième idée fut d'acquérir un deuxième livre. Un premier à lire, à chroniquer et le deuxième à garder religieusement pour la beauté de l'objet.
Cyril Pedrosa nous invite à la lecture d'un roman graphique. Portugal se divise en trois parties pour déterminer ce qu'était le passé de Simon Muchat, mais aussi son futur. A travers ce récit, l'auteur s'interroge sur les racines familiales et nous interroge à notre tour. Loin de s'enfermer dans un récit monosyllabique, Portugal propose quantité de personnages proches de Simon. Des personnages qui vont affecter les pensées et les actions du héros. Indissociable du récit, le trait de Cyril Pedrosa est reconnaissable. Elancé, souple, sauf que ce serait réducteur de s'arrêter à çà. Puisant dans ce qu'il a appris, l'auteur propose un vaste champ graphique et semble ne plus se donner de limites. Un pari risqué qui sert magnifiquement l'album et lui donne une deuxième lecture. On se saurait passer sous silence le travail de la couleur. Trois façons de traiter la couleur pour les différentes parties de Portugal. Trois appels d'émotions qui feront soupirer de plaisir le lecteur.

Emotion, c'est le mot qui revient quand on parle de Portugal. C'est un véritable coup de poing qui se répercute jusque dans les entrailles, mais sans violence. Emotion déjà vécue à la "pré-lecture" sur 8comix. Portugal est un tour de force narratif et graphique. Il est très difficile de traduire ce qu'on ressent de Portugal. Lisez-le et appréciez.

Lien : http://temps-de-livres.over-..
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