L'auteur est un paléontologue américain un peu dérangé. Sa théorie situe l'Atlantide à la place de l'actuelle île grecque de Santorin, détruite par l'explosion de son volcan en 1628 avant JC, suivant ainsi la théorie de l'archéologue grec Spyridon Marinatos. La démonstration de Pellegrino alterne de passionnantes découvertes archéologiques avec des élucubrations grotesques. Dommage…
Commenter  J’apprécie         00
Hiver 1982. Les brésiliens abattaient et brûlaient une partie de la forêt amazonienne. […] En conséquence, leur système de production libéra une quantité phénoménale de carbone. Celui ci s’attaqua aux systèmes respiratoires et immunitaires, et fit tomber des pluies acides et défoliantes. Le taux de dioxyde de carbone dépassa de loin ce que les arbres, en nombre maintenant réduit, et les diatomées marines pouvaient absorber, et la température de la Terre commença à monter lentement. (p.108)
En 1982 après JC, des plongeurs découvrirent à Rio de Janeiro une épave qui datait du 1er siècle avant JC […] Ces urnes que l’on appelle des amphores avaient été, sans aucun doute possible, fabriquées à Rome. […] En 1987, on trouva une autre épave de navire au Venezuela. (p.120)
Pourquoi nous est-il si difficile d’admettre qu’à l’époque des Minoens on connaissait vaguement des rudiments d’électricité ? (p.274)
Si Santorin n’avait pas explosé, on y aurait peut-être vu des télévisions à l’époque du christ. (p.123)