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Critique de Sachenka


Dans le dernier tome, l'Épervier a dû se rendre à ses opposants. En effet, même si sa ruse et la supériorité de ses forces semblaient évidentes, Villeneuve et de la Motte détenaient la comtesse de Kermellec et menaçaient de la tuer. Malgré cette légère déconfiture, personne ne doute que le corsaire et aventurier réussira à reprendre le dessus dans ce sixième et dernier tome, Les larmes de Tlaloc. Effectivement, il peut compter sur sa connaissance du pays (la faune et la flore de la Guyane ont peu de secrets pour lui) et sur ses nombreux amis. C'est que l'Épervier, de son vrai nom Yann de Kermeur, a su nouer des relations utiles grâce à son charisme et sa loyauté.

Le dénouement de cette aventure était prévisible et approprié. Après tout, un pareil héros pouvait-il vraiment échouer? Toutefois, il ne rafle pas tout : le trésor aztèque et l'amour semblent l'éluder. Mais c'est mieux ainsi, on ne veut pas que l'Épervier se retire dans un sombre château breton pour épuiser une fortune. Plutôt, l'on souhaite pour qu'il puisse partir vers d'autres aventures sans attaches. Pour ce qui est des autres personnages, ils connaissent la fin qu'ils méritent.

Côté dessin, je ne peux que continuer à vanter la grande maitrise de Patrice Pellerin. Je peux relever, entre autres, les nombreux levers et couchers de soleil, ainsi que les intérieurs éclairés à la chandelle. Bref, toutes ces teintes de jaunes, qui ont particulièrement attiré mon attention et qui donnaient le ton à cette intrigue située dans les terres australes.

Il me tarde le me lancer dans le prochain cycle des aventures de l'Épervier!
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