Inexorablement, le vivant se dégrade : il est fragilisé, agressé et n'est pas respecté.
Deux biologistes de renommée mondiale, le botaniste et pharmacien
Jean-Marie Pelt et le chercheur en biologie moléculaire,
Gilles-Eric Séralini, dénoncent ardemment cette altération inéluctable du vivant, témoignant ainsi de l'urgence à la dénoncer afin que le monde entier prenne conscience, juge de la situation et surtout, agisse en conséquence en luttant avec ses propres moyens contre cette lente disparition.
Les atteintes à la biodiversité sont légion : pollutions chimiques et génétiques, épuisement des ressources naturelles : eau douce, pétrole, gaz, forêts…
L'homme ne doit-il pas être capable de léguer à sa descendance une planète en bonne santé ?
Chaque être vivant ne doit-il pas sa place au rôle qu'il joue par rapport aux autres ?
Alors, «
Après nous le déluge » ou devons-nous reconsidérer très vite notre usage du monde ?